
Francophones de Bruxelles et de sa périphérie, nous attirons votre attention sur les agissements "anti-francophones" des politiciens et extrémistes du Nord. Ne soyons plus les victimes de leur duplicité !
samedi 7 juin 2008
Bras de fer pour trois maïeurs en périphérie.

Leterme Ier : coûteux cabinets
Albert II à la retraite, le souhait des Flamands
Albert II à la retraite, le souhait des Flamands
FAMILLE ROYALE jeu 5 juin
Les Flamands verraient bien Albert II prendre sa pension. Selon un sondage du quotidien flamand Het Nieuwsblad, 43% des Flamands estiment que le roi doit se retirer du trône l'an prochain à 75 ans. Tandis que 24% préfèrent qu'il reste en place.
Et pour eux (46%), le prince Philippe n'est pas prêt à devenir roi (pas tout à fait près: 21,3%, pas du tout prêt: 25%). Seuls 6,7% des personnes interrogées trouvent qu'il est absolument prêt. C'est ce qu'écrivent ce jeudi les journaux du groupe Vers l'Avenir.
Une république ?
Par ailleurs, 35% des Flamands disent que la Belgique n'a plus besoin de roi et imaginent une république. Quelque 31% des personnes interrogées estiment ainsi que personne ne doit succéder au roi Albert, la royauté devant laisser la place à la république. 38% des Flamands interrogés considèrent que c'est le prince Philippe qui doit lui succéder, contre 15% qui voudraient que ce soit la princesse Astrid. Les autres ne savent pas (7%) ou proposent le prince Amadeo (2,1%), fils aîné de la princesse Astrid, ou encore le prince Laurent (1,4%).
Pour plaire davantage à la Flandre, la prince Philippe doit devenir plus spontané, selon plus de la moitié des Flamands (52%). Pour d'autres, il doit travailler son néerlandais (42%), améliorer son rapport aux médias (48%) ou encore mieux connaître ses dossiers (30%).
Le sondage a été réalisé auprès de 1.000 Flamands en prélude à une émission diffusée ce jeudi soir par la VRT.
Après avoir torpillé la famille royale de toutes les façons, celle-ci est nouvelle. Le roi est mort, vive la république Flamande et vive le président flamingant. Ils ne se retiennent plus au Nord et leurs ambitions, comme leur propagande sont nauséabondes.
jeudi 5 juin 2008
La Flandre, pas si prospère !
Brussels expo flamandisé.
Les flamingants veulent nous dicter leur volonté.
Pour mieux supprimer les écoles francophones.

Pour les aveugles, on vous signale que ceci n'est que le premier pas de la suppression des écoles francophones des communes de la périphérie de Bruxelles.
Flaminganten buiten !
Excellent résumé sur les flamingants ....
Ce que la presse française dit de la Belgique... Imaginez qu'il y serait interdit d'envoyer des convocations électorales en français aux Francophones, sous peine de suspension. Et que l'on appellerait Boulogne-Billancourt une «commune à facilités». C'est cela, la question linguistique en Belgique aujourd'hui. Ah oui. Imaginez enfin que les Francophones aux droits si limités seraient installés là depuis deux, trois, quatre ou cinq générations. De vrais immigrés, en quelque sorte. Mais dans leur propre pays. Oiges nous donne un bel exposé, où le mot «racisme» apparaît plusieurs fois. Il s'agirait du racisme des Francophones envers les Flamands. C'est étrange, parce que les seuls Flamands qui font état de ce racisme habitent... en Flandre. Les tags «Wallons dehors» ne sont, eux, presque jamais effacés. Efficacité avant tout. Quant aux panneaux «Là où les Flamands sont chez eux» qui ornent l'entrée de plusieurs communes flamandes, quelquefois même des ponts entiers, et ce, sur les ordres de l'autorité locale, il ne sont pas racistes. C'est une simple précision. Ensuite, sur un blog, on vous dit : vous, les Francophones, vous êtes des racistes. Ce n'est pas du surréalisme belge, c'est tout simplement la vision flamande d'aujourd'hui, et c'est tout simplement atterrant. Raciste, le wallon?C'est bizarre, parce que le site Wallonie.be " href="http://wallonie.be/%3E" rel=nofollow existe en 6 langues, alors que le site Flandres.be " href="http://flandres.be/%3E" rel=nofollow n'existe qu'en néerlandais et en... anglais. SI on veut la version francophone, on tombe sur une page qui dit que c'est en construction, et qu'en attendant, on doit aller sur l'une des deux autres versions.C'est même très bizarre, parce que pour qui parle couramment le néerlandais (ce qui est mon cas), il y a sur le site Vlaanderen.be " href="http://vlaanderen.be/%3E" rel=nofollow tout un chapitre qui explique aux habitants de Flandre quand ils ont le droit (ou pas) de parler une autre langue que le néerlandais, alors que sur le site wallon, rien de tel. Bien sûr, il y a l'histoire. Bien sûr, il y a cent ans de domination francophone, mais cette discrimination tenait avant tout de la ségrégation de classe : ces Francophones qui ont brimé les Flamands étaient en réalité des bourgeois et des nobles... flamands. Mais plus sérieusement, oui, il faut le reconnaître, impérativement : il y a eu de graves injustices envers les soldats flamands pendant la grande guerre, comme avec les Bretons bretonnants, les Germanophones ou les Corses en France, comme avec les Harkis plus tard, comme avec les tirailleurs sénégalais. Et évidemment, les épitaphes en français pour des soldats flamands étaient une infamie. Mais c'était en 1914. De 1940 à 1945, bien des nationalistes flamands se sont associés aux nazis pour défendre leur «cause» (alors que depuis 1930, il y avait des bataillons flamands et des bataillons francophones). L'histoire n'est pas simple. L'histoire de Belgique moins encore. Alors revenons à l'actualité : il y a quelques signes qui ne devraient tromper personne, et qui sont autant de signaux d'alarme que l'ambiance complexe du pays et le double langage de certains rendent presque imperceptibles, au point qu'aucune presse ne les relève. S'alarmer! Quand le Vlaams Belang, toujours lui, veut mettre une loi à l'agenda de la chambre. Cette loi exige la séparation immédiate du pays. Le préambule de 30 pages est une véritable diatribe antifrancophone. On vous expliquera que la démocratie, en Flandre, c'est de laisser libre cours à l'expression des idées fascistes (et authentiquement fascistes) de l'extême-droite au nom de la liberté d'expression. Ce sont ces mêmes partis qui, interrogés par une presse étrangère, affirment haut et fort qu'ils sont absolument contre une éventuelle séparation du pays. S'alarmer, donc, quand la complaisance envers les idées du parti néo-nazi le plus puissant d'Europe (qui n'est rien de moins que le premier parti au parlement flamand...) a inondé les cénacles et la presse. Non pas par peur de leur violence, mais par peur de l'opinion publique. Mais bien sûr, c'est du passé, tout ça!Noir tableau que celui que je dresse là? Oui, noir, à dessein, et par la force des choses. Mais ce sont des faits que je reprends ci-dessus, pas des discours, des simples faits, vérifiables, précis. Autre fait : en 1999, le Parlement flamand a voté une série de lois qui définissaient l'avenir de la Belgique. Ceci devrait convaincre : 60% de la population a décidé de l'avenir de 100% de la population, sans consulter les 40% restants. C'est comme si les Suisses allemands décidaient de tout et imposaient ensuite leurs décrets aux Suisses francophones. Pardon, ce n'est pas «comme si», c'est «exactement comme si». Aujourd'hui, les représentants de ce parlement «négocient» avec les francophones pour faire passer leurs décrets unilatéraux, qui comprennent notamment la scission de la sécurité sociale. Et pour mieux faire «accepter» ces idées, ils expliquent à qui veut l'entendre (et l'écrire) que c'est à l'avantage des francophones, que ceux d'entre ces derniers qui disent «non» les «humilient» (c'est le terme exact utilisé par Bart de Wever, président d'un des partis qui négocient le futur gouvernement avec les Francophones«.) Mais le problème de l'extrême droite est soigneusement laissé de côté dans la presse flamande autant que dans la politique. Tache d'huile : le journal le plus lu de Flandre n'utilise déjà plus le terme »Régions«, qui correspond à la définition légale (on peut penser que cela intéresse les journalistes). Elle utilise plus généralement le terme »états fédérés«, qui correspond à sa vision et à celle des partis. Or deux états fédérés sont bien deux états distincts. Une presse qui se détache à ce point de la sémantique nationale (belgicaine) ne fait plus du journalisme, elle fait du militantisme. J'ai bien dit »militantisme«, pas »propagande«. Je n'ai pas écrit »propagande«, parce que seuls 80% des journaux flamands en sont vraiment déjà là. Et pour cette dernière phrase, je reconnais que j'ai pêché : ce chiffre n'est pas vérifiable. | |||
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lundi 2 juin 2008
dimanche 1 juin 2008
Le Belang s'attaque aux fourons.
75% des nuisances sonores de Zaventem sont pour les francophones

L'aéroport de Zaventem est controlé par les flamingants qui envoient les nuisances sonores chez les francophones et conservent les profits en Flandre.
La gestion de l'aéroport est politique et ne tient aucunement compte des règles fondamentales de sécurité. Le jour où il y aura des morts, ces ministres responsables ne seront même pas condamnés pour meurtres !
Méprisable.
Des juges flamands excusent l'incivisme anti-BHV
Le Conseil d'Etat censure Dewael
De Nicolas Vadot à propos du Wooncode
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30 05 08 Dorénavant, toute personne souhaitant acheter un terrain à Zaventem devra parler le néerlandais ou s’engager à l’apprendre. |
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