samedi 6 septembre 2008

Allochtones dans leur propre pays.


Les Flamands dénient à Bruxelles le statut d'entité fédérée à part entière.




Nier l'existence de Bruxelles est une manie chez les flamingants pour mieux l'absorber et flamandiser ensuite. Ceci afin de mettre la main sur l'argent de la région et avoir une plus grande visibilité dans le monde. Ce qui les fâche, c'est que Bruxelles n'a pas besoin d'eux et ne veut pas se flamandiser.

Hypocrisie ....... et propagande.



Depuis 1981, avec cette manifestation, et comme les chats, ils marquent le territoire de la périphérie bruxelloise et font comprendre aux belges francophones qu'ils sont des étrangers en flandre !!! De vrais fascistes insupportables ! De par leurs actes, leurs paroles, leur propagande nauséabonde et leur haine, ils sont dignes de leur cousins germains des années 1930 et 1940.

Prêcheur de haine en Flandre.

vendredi 5 septembre 2008

Un plan flamand pour la périphérie - La Libre Belgique

Politique - périphérie bruxelloise

Un plan flamand pour la périphérie

M.Bu.

Mis en ligne le 05/09/2008

Le gouvernement flamand planche sur des pistes pour développer les communes autour de Bruxelles. Mobilité, économie,... Les interactions proposées avec Bruxelles-Capitale sont inexistantes... Qui a dit ceinture ?

Alors que quelques milliers de piétons et cyclistes flamands s'apprêtent à revêtir leur t-shirt siglé "Splits BHV, nu !" et à pédaler autour de Bruxelles à l'occasion du Gordel de ce dimanche, "La Libre" s'est procuré une note de 40 pages estampillée "confidentielle" rédigée par la "Task force Vlaamse Rand". Ce groupe est mandaté par le gouvernement flamand pour consolider l'assise flamande dans la périphérie bruxelloise - en ce compris les six communes à facilités - et développer cette "ceinture" autour de la capitale.

Une série de recommandations détaillées viennent d'être faites par la "Task force" au gouvernement flamand. Cette "task force" est divisée en plusieurs groupes thématiques qui, chacun, "doivent plaider auprès des administrations compétentes afin de disposer des moyens suffisants pour réaliser les investissements nécessaires dans le territoire urbain flamand autour de Bruxelles" . Revue partielle.

1 Mobilité. Deux axes sont développés : l'édification de nouvelles infrastructures et l'amélioration des infrastructures déjà existantes. "Le développement de la périphérie flamande passe par plus d'actions dans le domaine des transports publics (train, tram, bus) mais aussi pour les cyclistes et les piétons" , souligne le document.

Trains. En marge du projet "Diabolo" (pour garantir un meilleur accès à l'aéroport de Zaventem), plusieurs gares devront être construites et/ou renforcées : à Kerklaan Machelen, à Pontbeek Asse (pour desservir Zellik), à Huizingen et à Buizingen.

Bus. "Le renforcement de cette infrastructure est essentiel pour désenclaver la périphérie flamande" . L'adaptation des lignes De Lijn déjà existantes et la connexion aux lignes de tram est "du plus grand intérêt" .

Trams. Développement d'un réseau de trams en périphérie flamande : plusieurs pistes d'allongement et/ou d'élargissement de voies sont étudiées.

-La ligne de tram peut être prolongée vers l'aéroport via l'Otan et la station de Diegem.

-Une ligne de tram entre les stations de Vilvorde et de Diegem serait utile pour soutenir la reconversion de la zone Machelen-Vilvorde. Une ligne de tram entre l'hôpital de Jette et Vilvorde devrait être construite.

-Prolongation de la ligne 4 (97) vers Drogenbos et Ruisbroek, prolongation de la ligne 39 de Wezembeek vers Tervuren.

2 Habitation. Soutien aux propriétaires qui veulent construire ou rénover leur habitation, lutte contre la spéculation immobilière. L'offre d'habitation "payable" pour les habitants de la périphérie flamande est trop limitée : ceci constitue un "défi très important" pour l'avenir.

En outre, l'offre d'habitations sociales en périphérie flamande est trop limitée également : une série d'opportunités pour corriger cela doivent être prises. Ainsi "Vlabinvest" (structure de prêt pour le "Rand") doit-il bénéficier d'un input financier de 25 millions d'euros. Rappel : "les titulaires d'une habitation sociale doivent se montrer disposés, comme le demande le Wooncode, à apprendre le néerlandais" .

3 Economie et emploi. Il reste de l'espace en périphérie flamande pour le développement d'activités économiques. Cela passera, notamment, par la création de lieux de travail supplémentaires et l'encouragement des gens à travailler dans leur propre région. De cette manière, on pourra éviter les trop grands mouvements de navetteurs. La qualité de vie joue un rôle central dans le processus de développement de la région. Mise à disposition de terrains pour les entreprises, création de parking, soutien financier, diversification des activités économiques,... sont des outils à utiliser. Le développement du tourisme dans le "Platteland" est, notamment, cité.

4 Espaces non bâtis. Un réseau d'espaces non bâtis (bois, eau, nature, champs,...) est une condition importante à la réalisation de la périphérie flamande. Une vision globale doit être développée, au croisement des axes social et économique. "Les espaces non bâtis créent un contexte positif et ajoute de la valeur pour habiter, travailler et se distraire". Mais il s'agit, aussi, de mettre un terme "à l'élargissement rampant de la Région bruxelloise" .

Des projets spécifiques devront être développés comme le "plateau de Moorsel" ou la revitalisation des abords de "Renault Vilvorde".

Une série de travaux précis à réaliser à Grimbergen, Machelen, Zaventem, Zellik,... sont également énumérés.

Bien sûr, "le Rand n'est pas une île autour de Bruxelles" , indique la "Task Force" à la p. 32..., "des liens doivent être développés avec la capitale : les rivières, les problèmes d'érosion,... ne s'arrêtent pas aux frontières de la périphérie flamande"... Ah bon ?

Conclusions du Résistant: les flamingants font de la surenchère à qui sera le plus anti-francophone, anti-belge, anti-royauté et n'arrêteront jamais de nous emmerder. C'est pourquoi il faudrait divorcer maintenant afin qu'ils ne puissent plus rien faire sur Bruxelles et sa périphérie. Qu'ils restent chez eux "waar de flaminganten thuis zijn". Nous n'avons pas besoin d'eux. Buiten.

jeudi 4 septembre 2008

L'agenda caché des flamingants enfin dévoilé.



Ils ne cachent même plus leurs intentions de nous flamandiser par la force et de s'emparer de Bruxelles sans tenir compte de nos droits, culture et langue.
FLAMINGANTEN BUITEN.

mercredi 3 septembre 2008

Linkebeek interdit le Gordel aux flamingants

Linkebeek interdit le Gordel aux flamingants

(03/09/2008)

© BELGA
Lien documentaire

* Tensions communautaires : le Gordel menacé

Les drapeaux, tee-shirts et tracts à contenu politique seront bannis de cette commune dirigée par le FDF Damien Thiéry

BRUXELLES Si la 28e édition du Gordel prévue ce dimanche en périphérie bruxelloise n'est pas "purement sportive", le bourgmestre de Linkebeek, Damien Thiéry (FDF) demandera l'intervention de la police, indique mercredi La Libre Belgique.

"Si la manifestation ne revêt pas un caractère purement sportif, afin d'assurer le maintien de l'ordre public, je devrai prendre les mesures de police administratives qui s'imposent", menace M. Thiéry dans une lettre adressée à la responsable du Bloso (l'équivalent flamand de l'ADEPS), qui organise le Gordel.
Concrètement, cela signifie que, dimanche, les participants du Gordel pourraient se voir interdire l'accès au territoire de la commune de Linkebeek, écrit La Libre.

Damien Thiéry ajoute "qu'en aucune manière, les organisateurs n'autoriseront ni ne toléreront, de la part des participants, l'expression de messages sous quelque forme que ce soit (drapeaux, tee-shirts, distribution de tracts, calicots...), en rapport avec l'actualité politique belge".

© La Dernière Heure 2008
Van Rompuy: "Une atteinte à la liberté d'expression

La menace que fait planer le bourgmestre faisant fonction de Linkebeek, le francophone Damien Thiéry (FDF), sur le passage du Gordel dans sa commune constitue une atteinte à la liberté d'expression, a répliqué mercredi le député flamand Eric Van Rompuy (CD&V). "Thiéry cherche ainsi à se venger du refus du gouvernement flamand de le nommer bourgmestre et à se faire entendre dans la presse francophone. En pratique, il ne peut évidemment pas concrétiser sa menace", estime Eric Van Rompuy.

Le député rappelle que le Gordel, randonnée sportive qui ceinture symboliquement la Région bruxelloise pour souligner le caractère flamand de sa périphérie, a toujours revêtu un caractère politique flamand.
Depuis plusieurs années, Eric Van Rompuy participe au Gordel revêtu d'un T-shirt portant un slogan en faveur de la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde.

Damien Thiéry a indiqué mercredi dans la presse francophone qu'il ferait intervenir la police si le Gordel ne revêtait pas dans sa commune un caractère purement sportif. Il évoque des motifs de sécurité.
Il a écrit une lettre en ce sens à l'administration flamande des sports, qui organise le Gordel, l'enjoignant de veiller à ce que les participants n'expriment pas de message en rapport avec l'actualité politique belge.
Damien Thiéry est l'un des trois bourgmestres francophones des communes à facilités de la périphérie bruxelloise dont le gouvernement flamand refuse la nomination depuis les élections communales d'octobre 2006.


Van Hoobrouck ne veut pas de slogans racistes ou extrémistes

A l'occasion du "Gordel", le bourgmestre de la commune bruxelloise à facilités de Wezembeek-Oppem, François Van Hoobrouck, ne réagira que contre des débordements racistes ou extrémistes.

Des T-shirts portant des slogans tels que "splits BHV" (scindez BHV) ou, dans un autre registre, "Rattachement des communes à facilités à Bruxelles" seront tolérés, au nom de la liberté d'expression, a-t-il affirmé mercredi. Il a envoyé une lettre expliquant sa position aux organisateurs du Bloso (pendant flamand de l'Adeps) mais n'a visiblement pas reçu de réponse satisfaisante.

Pour sa part, le bourgmestre faisant fonction de Linkebeek, Damien Thiéry, avait annoncé que si la balade flamande cyclo-pédestre du Gordel ne se limitait pas à ses aspects purement sportifs sur le territoire de sa commune, il demanderait l'intervention de la police. Il l'avait aussi fait savoir au Bloso.
De son côté, le bourgmestre de Wezembeek estime que des calicots ou tracts portant des slogans tels que "Franse ratten rolt uw matten" (Rats francophones, faites vos bagages) ou "Franstaligen verhuis" (Francophones, déménagez), ne sont pas tolérables.

De même, il avertit ne pouvoir tolérer que des militants de groupements tels que le Voorpost viennent envenimer les choses.

Le Bloso étonné des déclarations de Thiéry

L'administration flamande du sport, le Bloso, se dit étonnée des menaces émises par le bourgmestre faisant fonctions de la commune à facilités de Linkebeek, Damien Thiéry, de faire intervenir la police à l'occasion du "Gordel" de dimanche, si celui-ci ne se limite pas à son aspect purement sportif sur le territoire de sa commune.

Au Bloso, on se dit étonné de cet "accès de francophonie", alors que l'on croyait que tout était arrangé. On rappelle à ce propos que des accords ont été conclus sur le plan de la sécurité avec les services du gouverneur du Brabant flamand et les corps de police et que l'on a assuré les organisateurs que tout était en ordre.

On fait aussi remarquer que les propos de M. Thiéry repris par le quotidien "La Libre Belgique", ne parlent pas de faire interdire la manifestation cyclo-pédestre.

Par ailleurs, le bourgmestre faisant fonctions d'une autre commune flamande à facilités, celle de Crainhem, a fait savoir, tout comme l'avait annoncé son collègue de Wezembeek François Van Hoobrouck, qu'il ne tolérerait pas des débordements racistes contre les Francophones.

Selon lui, le Gordel est une manifestation sportive et culturelle: à cette occasion, il est acceptable que certains se prononcent contre les facilités ou pour la scission de BHV, estime-t-il. Mais, tout comme M. Van Hoobrouck, il ne pourra tolérer des slogans réclamant le déménagement des "Fransquillons", susceptibles d'engendrer un climat néfaste au sein de la population.

Selon lui, le Bloso est d'accord avec ce point de vue et il espère que l'organisateur flamand prendra les mesures permettant de le faire respecter.