BHV: les communes flamandes ne s'entendent plus
27/01/2009 15:27
Plusieurs d'entre elles ont finalement décidé de ne pas boycotter les élections européennes, comme cela leur avait été suggéré pour protester contre la non-scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Ceci dit, elles n'en demeurent pas moins favorables à cette scission.
Les conseils communaux de Hoeilaart, Zaventem et Louvain ont décidé, lundi soir, de ne pas suivre le mot d'ordre de boycott des élections européennes pour protester contre le maintien de l'arrondissement électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Le point avait été mis à l'ordre du jour à la demande de la N-VA et du Vlaams Belang. Ce n'était pas le cas à Merchtem, mais son bourgmestre, Eddie De Block (Open Vld), a déclaré qu'il n'était pas favorable à un boycott.
Les communes de Lennik et Affligem ont quant à elles l'intention de participer au boycott. Elles considèrent que les élections européennes seront inconstitutionnelles à la suite du non-respect de l'arrêt de la Cour constitutionnelle qui impose la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde.
Mais d'autres communes, comme Ternat et Vilvorde, ont déjà rejeté l'idée d'un boycott. Ces communes n'en exigent pas moins la scission dans les plus brefs
délais.
La plupart des communes qui s'opposent au boycott soulignent que ce dernier ne servira à rien, le gouverneur du Brabant flamand ayant annoncé qu'il se substituerait aux récalcitrants et organiserait lui-même les élections.
LeVif.be, avec Belga
Francophones de Bruxelles et de sa périphérie, nous attirons votre attention sur les agissements "anti-francophones" des politiciens et extrémistes du Nord. Ne soyons plus les victimes de leur duplicité !
mardi 27 janvier 2009
lundi 26 janvier 2009
Nos politiciens et ministres ne s'en inspireront pas !
Barack Obama a fixé mercredi des règles strictes de transparence à l'administration américaine, qui sera séparée par un cordon sanitaire des influents groupes de pression de Washington, tandis que les hauts fonctionnaires se voient imposer un gel des salaires.
Pour sa première journée de travail au lendemain de son investiture, le nouveau chef d'Etat a réuni ses principaux collaborateurs à l'Executive Office Building, un bâtiment tout proche de la Maison Blanche, pour assister à leur assermentation.
"Depuis longtemps, il y a eu trop de secrets dans cette ville", a lancé M. Obama, qui a fait campagne sur le thème du "changement à Washington"
"Les vieilles règles voulaient que s'il y avait des arguments solides pour ne pas révéler quelque chose aux Américains, eh bien cela ne devait pas être révélé. Cette ère est maintenant révolue," a-t-il promis au lendemain du départ de l'administration Bush, critiquée à de nombreuses reprises pour avoir maintenu secrètes des informations qui n'auraient pas dû l'être.
"Je me conformerai moi-même, en tant que président, à une nouvelle norme de transparence", a ajouté M. Obama, qui a signé cinq décrets concernant le fonctionnement de son administration.
Il a expliqué que si lui-même --ou un ancien président-- souhaitait garder certaines informations secrètes, il devrait consulter le ministre de la Justice et le conseiller juridique du président pour vérifier si la loi le permet.
"L'information ne sera plus retenue simplement parce que j'en ai décidé ainsi, elle le sera parce qu'une autorité séparée aura considéré que ma requête est constitutionnellement fondée", a-t-il dit.
A propos des innombrables groupes de pression en relation constante avec l'administration et le Congrès, M. Obama a promis que les lobbyistes seraient "soumis à des limites plus strictes que sous aucune autre administration dans l'Histoire".
Le nouveau président, assermenté la veille, a expliqué qu'il voulait mettre fin au "tourniquet" qui permet aux employés des groupes de pression d'entrer et sortir à volonté du service public "faisant passer leurs intérêts avant ceux du peuple américain".
La pratique des "cadeaux" aux fonctionnaires de la part de ces groupes sera interdite, a-t-il dit.
"Un ancien lobbyiste entrant dans mon administration n'aura pas le droit de travailler sur des sujets qui étaient de son ressort, ni pour un ministère auprès duquel il a été en relation au cours des deux dernières années", a-t-il annoncé. "Une fois qu'il aura quitté la fonction publique, il n'aura pas le droit d'exercer le métier de lobbyiste auprès de l'administration tant que je serai président".
Il a aussi demandé aux fonctionnaires de s'engager par écrit à ne pas intervenir pendant deux ans sur des sujets impliquant un ancien employeur. Une fois parti de l'administration, un fonctionnaire n'aura pas le droit de tenter d'influencer d'anciens collègues de l'administration pendant deux ans également.
M. Obama a aussi annoncé que les salaires de ses principaux collaborateurs seraient gelés. Selon la Maison Blanche, ils seront plafonnés à 100.000 dollars par an.
"En cette période de difficultés économiques, les familles américaines sont obligées de se serrer la ceinture et c'est aussi ce que Washington doit faire", a-t-il expliqué.
"Certains dans cette pièce seront concernés par ce gel de salaire, et je veux que vous sachiez que j'apprécie votre bonne volonté", a-t-il dit à leur adresse.
Pour sa première journée de travail au lendemain de son investiture, le nouveau chef d'Etat a réuni ses principaux collaborateurs à l'Executive Office Building, un bâtiment tout proche de la Maison Blanche, pour assister à leur assermentation.
"Depuis longtemps, il y a eu trop de secrets dans cette ville", a lancé M. Obama, qui a fait campagne sur le thème du "changement à Washington"
"Les vieilles règles voulaient que s'il y avait des arguments solides pour ne pas révéler quelque chose aux Américains, eh bien cela ne devait pas être révélé. Cette ère est maintenant révolue," a-t-il promis au lendemain du départ de l'administration Bush, critiquée à de nombreuses reprises pour avoir maintenu secrètes des informations qui n'auraient pas dû l'être.
"Je me conformerai moi-même, en tant que président, à une nouvelle norme de transparence", a ajouté M. Obama, qui a signé cinq décrets concernant le fonctionnement de son administration.
Il a expliqué que si lui-même --ou un ancien président-- souhaitait garder certaines informations secrètes, il devrait consulter le ministre de la Justice et le conseiller juridique du président pour vérifier si la loi le permet.
"L'information ne sera plus retenue simplement parce que j'en ai décidé ainsi, elle le sera parce qu'une autorité séparée aura considéré que ma requête est constitutionnellement fondée", a-t-il dit.
A propos des innombrables groupes de pression en relation constante avec l'administration et le Congrès, M. Obama a promis que les lobbyistes seraient "soumis à des limites plus strictes que sous aucune autre administration dans l'Histoire".
Le nouveau président, assermenté la veille, a expliqué qu'il voulait mettre fin au "tourniquet" qui permet aux employés des groupes de pression d'entrer et sortir à volonté du service public "faisant passer leurs intérêts avant ceux du peuple américain".
La pratique des "cadeaux" aux fonctionnaires de la part de ces groupes sera interdite, a-t-il dit.
"Un ancien lobbyiste entrant dans mon administration n'aura pas le droit de travailler sur des sujets qui étaient de son ressort, ni pour un ministère auprès duquel il a été en relation au cours des deux dernières années", a-t-il annoncé. "Une fois qu'il aura quitté la fonction publique, il n'aura pas le droit d'exercer le métier de lobbyiste auprès de l'administration tant que je serai président".
Il a aussi demandé aux fonctionnaires de s'engager par écrit à ne pas intervenir pendant deux ans sur des sujets impliquant un ancien employeur. Une fois parti de l'administration, un fonctionnaire n'aura pas le droit de tenter d'influencer d'anciens collègues de l'administration pendant deux ans également.
M. Obama a aussi annoncé que les salaires de ses principaux collaborateurs seraient gelés. Selon la Maison Blanche, ils seront plafonnés à 100.000 dollars par an.
"En cette période de difficultés économiques, les familles américaines sont obligées de se serrer la ceinture et c'est aussi ce que Washington doit faire", a-t-il expliqué.
"Certains dans cette pièce seront concernés par ce gel de salaire, et je veux que vous sachiez que j'apprécie votre bonne volonté", a-t-il dit à leur adresse.
dimanche 25 janvier 2009
Impunité des bourgmestres flamingants.
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