vendredi 24 juillet 2009

L'arrogance du riche va retomber.

Et après la prochaine fermeture d'Opel, l'augmentation supplémentaire du chômage, les déficits qui se creuseront, l'arrogance flamande sera remise à sa juste place.







Distribution de sièges à Bruxelles après les élections du 07 juin 2009

Bruxelles est peuplée à du 90% de francophones et 10% de flamands. Il n'est pas normal qu'à Bruxelles, trois postes sur sept sont réservés à des flamands.

Pour les flamingants cette "non démocratie" n'est que normale......


Tintin sprak geen Vlaams.

L'auteur de cet ouvrage reproche aux colonisateurs du Congo, Ruanda et Burundi de ne pas avoir imposé le flamand. Il dit que si les colonies avaient été flamandisées, le flamand serait maitenant une langue internationale ! (Un grand rire me secoue).

Ce monsieur n'était peut-être pas encore né en 1960 lorsque nos colonies devinrent indépendantes.

Les flamands n'étaient pas brimés et il existait une section flamande dans l'école de Busumbura.

Par contre, j'ai cotoyé dans ces écoles de nombreuses nationalités, Indoues, Portugaises, Pakistanaises, Grecques et africaines qui étaient bien mieux avec la langue française que flamande !!!!

Le titre de l'article en flamand dit que "Tintin ne parlait pas le flamand" et puis dans le texte il déménage les revendications flamingantes dans le temps (avant 1960) et en Afrique centrale.
L'auteur devrait consulter pour soigner ses complexes et frutrations linguistiques.




Le malheur est que cet article a paru dans un journal paroissial de BHV. L'église flamande a fait assez de dégâts en prônant la collaboration avec les nazis ....

Monarchie, les chiffres qui fâchent.

La monarchie critiquée, attaquée, dénigrée, vilipendée, trainé en justice (Laurent) par les flamingants qui la considèrent comme un obstacle à leurs ambitions mesquines et personnelles......

Les chiffres ne sont que des prétextes; il suffit de les comparer avec ce que coûtent 64 ministres et 5000 cabinettards.

La vérité est que certains au nord aimeraient devenir président ou premier ministre de la "grande nation flamande" hors, la Belgique et la monarchie sont des obstacles aux ambitions personnelles des "ces petits" ......







mardi 21 juillet 2009

Constatations diverses et malheureuses dans BHV.

1 - Comme je comprends parfaitement le flamand il m'arrive de suivre les nouvelles sur des chaînes de TV flamandes afin d'entendre l'opinion du Nord sur la Belgique.

2 - A mon extrême déception, les présentateurs de la TV flamande ne parlaient que de la Flandre, des problèmes flamands et des entreprises flamandes mais pas un mot sur la BELGIQUE !!!!!!!

3 - A entendre les journalistes flamands, l'état Belge n'existe plus et les nouvelles sont flamandes d'abord ; ensuite on aborde ce qui est hors frontières flamandes ....
Journalistiquement, la Belgique n'existe plus !

4 - Les journalistes du Nord parlent de Bruxelles (difficile d'ignorer la capitale européenne) mais ne signalent jamais que cette région est à 90% francophone. On fait semblant qu'une population francophone belge de 1,2 Mio de personne n'existe pas et est flamande .......!!!!!!!
Plus fasciste que ça tu meurs !


5 - Les administrations communales de la périphérie bruxelloise sont utilisées par les flamingants comme des armes anti-francophones.
Il est en effet interdit aux fonctionnaires (exclusivement flamands) de parler la langue française aux citoyens belges francophones de la commune sous peine de sanctions ....
Ces flamingants ne nous respectent pas et sont méprisables. Nos citoyens paient des impôts à la flandre pour être brimés par ces ultra-frustrés! Ca suffit, flamingantent buiten.

6 - Dans ces communes avec des majorités et des minorités francophones, nos écoles sont fermées et nos enfants, comme dit Brel, obligés d'aboyer le Flamand !!!!!

7 - Ces Belges Francophones depuis 20 générations au moins devraient se plier aux diktats flamingants à cause de leurs frustrations ......... et devenir de minable flamingants ?



lundi 20 juillet 2009

Retour aux années Nazie de 1930-1940

Un universitaire politologue flamand à la source d'une idéologie anti-belge et anti-francophone en Belgique au 21ième siècle et en Europe unie, en paix et très tolérante.

Persuadé de la supériorité flamingante et de la victimisation des flamands, ce "......" prône une domination de pseudo-minorités au profit de la Flandre prospère, autonome et riche.

Après la lamination de la Flandre par la crise mondiale, il nous parlera heumblement dans quelque mois ......


Comment est possible que des hommes se laissent "lobotomiser" par 60 ans de propagande .... ?

Et 35% de la Flandre est dans le cas ....




Nos "Ubermensch" du nord belge surmonteront la crise mondiale !!!!!

Ils se vantent d'être les plus forts et les meilleurs et qu'ils surmonteront la crise mondiale à eux seuls contrairement aux francophones belges et le reste du monde. Cette musculation verbale leur retombera sur la gu..... quand OPEL fermera et que les dettes cachées de la Flandre (± 12Mie pour 2008) remonteront au grand jour. De plus ils ne pourront plus payer les retraites dans quelques mois.
Ces menteurs devraient être virés immédiatement. Leur fond de commerce est anti-belge, anti-wallon, anti-francophone et anti-monarchie et de plus, ils cultivent la victimisation flamande depuis 60 ans.
STOP avec ces conneries ........


Ministres managers, un label très flamand

20/07/2009 11:50

La Flandre en crise s'en remet à un gouvernement à la fibre résolument patronale et managériale. CD&V, N-VA et SP.A propulsent aux commandes des représentants du monde de l'entreprise pratiquement sans légitimité populaire. Cette tendance lourde ne séduit guère les francophones.

Un air insolite de gouvernement d'union patronale... La Flandre croit en la formule pour surmonter la crise et retrouver au plus vite la santé budgétaire. De droite ou de gauche, les trois partenaires de la nouvelle coalition flamande misent sur des managers, du privé ou du public, pour gérer les postes clés. Le CD&V a récidivé : Kris Peeters, confirmé comme ministre-président avec l'Economie en prime, a été dans une vie antérieure le patron de l'Unizo, la puissante association d'entrepreneurs indépendants flamands.

Pour faire bonne mesure, le SP.A propulse comme chef de file la top manager à succès de la société publique de transports en commun De Lijn. Ingrid Lieten coiffe les instruments économiques publics. Le troisième larron réalise le coup le plus fumant. La N-VA de Bart De Wever a embauché un autre format du lobbying patronal : Philippe Muyters, administrateur délégué du Voka, le pendant flamand de l'UWE, ne fera pas de la figuration. Pour un tout premier poste ministériel, il hérite du Budget et des Finances, de l'Emploi, de l'Aménagement du territoire.

Une bonne cuillerée d'Unizo, une grosse louche de Voka, un zeste de top management public. Peeters II est bien servi. Un tiers de ses postes ministériels, les plus stratégiques, est trusté par des figures managériales qui ont pour point commun de ne pas passer par les urnes avant d'embrasser une carrière ministérielle : ni Muyters ni Lieten ne sont parlementaires, pas plus que Kris Peeters ne l'était lorsqu'il entrait dans son premier gouvernement en 2004. Ce déficit de légitimité populaire ne semble guère émouvoir dans le nord du pays. Priorité à la gestion de la SA Vlaanderen. Selon des canons chers au patronat flamand, ainsi assuré de solides relais dans les allées du pouvoir politique.

De quoi faire pâlir les entrepreneurs wallons, nullement habitués à une telle symbiose. Avec les nuances qui s'imposent, Marie-Dominique Simonet, débauchée en 2004 du Port autonome de Liège pour devenir ministre CDH sans avoir été élue, fait figure d'exception. « Les cercles de pouvoir, politique et économique, se chevauchent davantage dans la société flamande. Ce qui peut mener à des formes approfondies de coopération.

En Wallonie, les rapports entre les deux milieux restent essentiellement de nature professionnelle », observe Vincent Reuter, administrateur délégué de l'Union wallonne des entreprises. Historien au Centre d'études Guerre et sociétés contemporaines (CEGES), Dirk Luyten a étudié les milieux économiques flamands : « Les organisations patronales sont plus développées, mieux organisées en Flandre qu'en Belgique francophone. Les liens entre le monde patronal et l'ex-CVP ont toujours été particulièrement étroits. »

Au début des années 1990 déjà, ils ont conduit Mieke Offeciers, alors administratrice déléguée du Vlaams Economisch Verbond (VEV), l'ancêtre du Voka, à devenir ministre CVP du Budget dans le premier gouvernement Dehaene. Sans passer par le verdict des urnes. Ce qui est volontiers admis en Flandre le serait moins dans le sud du pays. Difficile de concevoir des hommes phares du lobby patronal investis tout de go de postes clés au sein d'un gouvernement wallon. « Aucun parti francophone ne me paraît prêt à s'inscrire dans un tel mouvement », reprend Vincent Reuter. Question de culture d'entreprise : « A l'image de ce qui était bon pour General Motors était bon pour les Etats-Unis, ce qui est bon pour l'économie est bon pour la Flandre. La représentation de l'intérêt général se confond avec l'économie flamande », estime Vincent de Coorebyter, directeur général au Crisp.

Mais ce principe déjà éprouvé des vases communicants entre milieux politiques et patronaux flamands est dans l'air du temps. Il n'est pas rassurant pour le sud du pays. La N-VA ne s'offre pas seulement un serviteur de la cause patronale en la personne du ministre Muyters. Elle s'assure aussi la haute main sur l'argent flamand, le nerf de la guerre communautaire.

Budget, Finances, Emploi : concentrée entre les mains des nationalistes flamands, la capacité de contrarier les intérêts francophones n'est pas négligeable. Ajoutons-y la tutelle sur la périphérie bruxelloise confiée à son autre ministre, Geert Bourgeois, et l'on se dit que la N-VA a de quoi dicter sa loi.

Pierre Havaux