samedi 5 septembre 2009

Deux fois plus de chômeurs.

Selon la propagande de la NVA et VB, une profonde réforme de l'état résoudrait tous les problèmes de la Flandre! Et dire qu'il y a des naifs pour croire la teneur des slogans flamingants.

Du jamais-vu !

Clouseau, fier d'être belge.

La guerre communautaire aura-t-elle lieu ?


Seule solution : prendre les flamingants de vitesse et réclamer l'indépendance de la Flandre contre l'élargissement considérable de Bruxelles (Tout ce qui est dans le grand ring et touche au ring en externe) et protéger la langue et la culture des belges francophones. Que ces flamingants fascisent chez eux et plus chez nous.
Enfin la paix.



mercredi 2 septembre 2009

Flandre. Pratiques "à la wallonne".

Histoire de la paille et de la poutre ......

Forte concentration du chômage en Flandre

Le chômage en Flandre est extrêmement concentré. Ainsi, 15 communes, sur un total de plus de 300, sont responsables de 39% du chômage total.

Ce sont surtout les grandes villes et les communes du Limbourg avec de nombreux allochtones qui enregistrent un nombre important de chômeurs. C’est ce qu’il ressort de la 9ème édition de l’étude dirigée par la VDAB, « Wegwijs op de Vlaamse arbeidsmarkt ».

Par ailleurs, 75 communes représentent seulement 5% de la population totale au chômage. Pour les communes impliquées, cette problématique n’est pas simple à résoudre. Investir dans l’emploi ne profite pas nécessairement à la population locale. Selon Kris De Graef, auteur de l’étude, « beaucoup de ces villes cherchent des emplois supplémentaires mais ce sont surtout les plus petites communes qui en profitent. » Ces communes connaissent un taux de chômage relativement bas. Des chômeurs de longue durée, qui ont souvent un niveau scolaire bas, connaissent de nombreuses difficultés sur le marché du travail en Flandre.

Source: www.zita.be

Clouseau chante "Vive la Belgique"

Clouseau sort jeudi son 47ème single. Et cette fois les frères Wauters font fort: le morceau s'intitulera "Leve België".

Dans le contexte politique actuel, il fallait oser.

Geert Bourgeois (N-VA), lui, tempête déjà.

"Leve België" précèdera de peu un nouvel album du groupe, le dixième, dont le nom n'est pas encore connu, mais qui sera disponible dès le 16 octobre.

"Nous avons fait 'Leve België' parce que nous pensons qu'il est temps qu'une nouvelle chanson sur la Belgique soit encore écrite. La dernière dont nous souvenons s'appelait 'België' et était interprétée, c'est un comble, par des Hollandais", soulignent Koen et Kris Wauters.

Un petite pointe de patriotisme à l'occasion des 25 ans du groupe, que ne renient pas les deux frères, poussant le "vice" jusqu'à organiser la présentation de l'oeuvre sous l'Atomium, un paquet de frites à la main. Pour autant, ils précisent qu'il ne s'agit pas d'une position politique.

Ire nationaliste

Ce que le ministre flamand N-VA Geert Bourgeois ne croit pas du tout. "C'est une pure chanson de propagande qui ne me convient pas. Ils font un vrai plaidoyer pour la mauvaise gouvernance car la Belgique ne fonctionne tout simplement plus."

Pour Clouseau par contre "ça n'aurait pas de sens que la Belgique n'existe plus". Les fans trancheront, peut-être déjà dès ce vendredi soir à l'issue du Mémorial Van Damme, dont Clouseau assurera le spectacle final.

Le groupe annonce sur son site qu'une vidéo de "Leve België" sera bientôt disponible.

(T. Nagant avec De Standaard et Belga) Crédit photo: Belga

mardi 1 septembre 2009

Propagande, menace, chantage, insultes ....... sans aucune culpabilité !

Pèlerinage de l'Yser: quelque 1.500 personnes rassemblées à Dixmude

Quelque 1.500 personnes ont participé dimanche à la 82e édition du Pèlerinage de l'Yser. Parmi elles, l'on retrouvait quelques personnalités politiques, issues essentiellement du CD&V et de la N-VA, dont le ministre-président Kris Peeters (CD&V) ou le nouveau ministre flamand Philippe Muyters (N-VA). Comme annoncé, le président du Comité du Pèlerinage, Walter Baeten, a réclamé la suppression des élections fédérales et s'est prononcé contre des économies qui seraient faites dans les dépenses sociales.

BELGIQUE - POLITIQUE dim 30 août, 22:08

"La Flandre est là pour chacun" était le slogan retenu pour cette édition qui a mis l'accent sur une Flandre sociale et solidaire. L'affiche de la manifestation insistait sur la diversité de la société flamande: y étaient représentés un guitariste d'origine africaine, un punk, une femme voilée, une personne handicapée, un couple de personnes âgées, un jeune enfant d'origine étrangère et un jeune couple avec un enfant.

"Si la Flandre doit économiser pour faire face à la crise, qu'elle ne le fasse pas dans les dépenses sociales mais dans les projets de prestige qui n'ont pas de plus-value sociale ou culturelle", a souligné M. Baeten dans son discours. Selon lui, une réforme de l'Etat est nécessaire pour relever les défis futurs. Il voit d'un bon oeil la volonté du gouvernement flamand d'utiliser au maximum ses compétences mais il estime que l'exécutif doit également oeuvrer en faveur d'une réforme institutionnelle.


Le gouvernement flamand est le seul qui est légitime à ses yeux. Le gouvernement fédéral d'Herman Van Rompuy (CD&V) constitue au contraire un "danger pour l'Etat" parce qu'il ne dispose pas d'une majorité du côté flamand. "Pour des raisons démocratiques, il nous est impossible d'accepter ce gouvernement comme celui du pays", a lancé M. Baeten.


Le président a plaidé pour la suppression des élections fédérales. D'après lui, les parlements des entités fédérées devraient décider ensemble ce qu'ils veulent encore faire ensemble.


La semaine passée, lors de la Veille de l'Yser, manifestation flamande radicale à laquelle participent des mandataires et militants du Vlaams Belang, le président du comité d'avis du magazine "Trends", Frans Crols, avait appelé la Flandre à abandonner Bruxelles pour gagner son indépendance.


"Nous n'abandonnerons pas Bruxelles, pas hier, pas aujourd'hui, pas demain", a répondu M. Baeten avant d'appeler les francophones à respecter la Flandre pour le soutien financier qu'elle apporte à la capitale et le caractère flamand de la périphérie. "S'il n'y a pas de respect, le robinet se fermera", a-t-il averti.


Peeters : sans commentaire

Le ministre-président flamand, Kris Peeters, n'a pas voulu se prononcer sur la légitimité du gouvernement fédéral qu'a mise en cause dimanche le président du Comité du Pèlerinage de l'Yser, Walter Baeten, dans son discours.


"En tant que ministre-président de la Flandre, il ne me revient de me prononcer sur les autres gouvernements", a-t-il expliqué. M. Peeters retient du discours de M. Baeten l'importance accordée au gouvernement flamand. "Et, en termes de compétences, cette importance ne peut aller qu'en augmentant. J'en suis convaincu plus que jamais", a-t-il souligné.


M. Peeters estime lui aussi que la Flandre ne peut pas abandonner Bruxelles. Il a d'ailleurs rappelé que ce principe figurait dans l'accord de gouvernement flamand.