dimanche 4 juillet 2010

La rage flamingante face à leur Verdun de BHV.

Annexer Rhode à Bruxelles, c’est créer "un monstrueux renflement" de la Wallonie
Ils ne cachent même plus leur plan de s'emparer de Bruxelles, de son argent et de la flamandiser. Ils sont furieux parce que leur élan de conquête à été bloqué avec notre refus d'accepter la scission de BHV à la flamingante. Rien ne nous oblige à nous adapter à la langue de ces frustrés qui ne nous respectent pas du tout et qui jugent les saloperies qu'ils nous imposent comme légitimes pour le bien de la cause flamingante.
Qu'ils créent leur république Vlaanderen mais sans les 35 communes de BHV qui ne sont pas la Flandre. Enfin débarrassé de ces emmerdeurs qui ne sont pas prêt à renoncer à leur anschluss de BHV et flamandiser par la force nos enfants et petits enfants. La langue de Voltaire vaut bien celle de Vondel et notre culture franco-belge n'a rien à envier à une Flandre intolérante.
"Rhode flamande, cela signifie que ce petit coin situé entre Bruxelles et la Wallonie n'ouvre pas de corridor qui façonne l'unité de Bruxelles avec toute la francophonie, mais reste une pierre d'angle magnifique, forte et consciente de la Région flamande", a affirmé l'échevine lors de la fête de la Communauté flamande célébrée par sa commune avec quelques jours d'avance sur le 11 juillet. "La Flandre doit rester consciente que la chute de notre belle commune via son annexion à Bruxelles aurait pour conséquence que Bruxelles viendrait se situer en Wallonie, avec un monstrueux renflement jusqu'aux portes d'Alost, Malines et Louvain", a-t-elle dit, faisant part de son espoir de voir les négociateurs flamands "tenir compte des aspirations des Flamands dans cette commune à facilités difficile".
Si les francophones ne s'intègrent pas, qu'ils partent !
"Nous parlons le néerlandais et les francophones qui veulent faire partie de notre société doivent apprendre notre langue et accepter notre culture. C'est pour cela que nous demandons avec insistance que les francophones cessent de dénigrer cette langue et cette culture. Dans le cas contraire, ils peuvent faire usage du droit de s'en aller", a conclu Anne Sobrie demandant la suppression des facilités linguistiques.

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