Les communes de la périphérie bruxelloise sont visées par l'ONU.
Le gouvernement flamand fait procéder à une "analyse en profondeur" du rapport des des Nations Unies sur l'application en Flandre du Traité sur les droits civils et politiques. Il va vérifier si ces recommandations doivent donner lieu à des adaptations et comment, a indiqué le cabinet du ministre-président flamand Kris Peeters, dans un communiqué.
Les experts internationaux se disent en effet préoccupés par des "décisions prises par certaines autorités communales en Flandre notamment en ce qui concerne l'achat de terrains, l'accès à des services et au logement, la jouissance de certaines prestations sociales et l'exercice du droit d'être élu (nomination des bourgmestres)". L'exigence de la connaissance ou de l'apprentissage du néerlandais "créant une discrimination à l'égard d'autres catégories de la population".
Le Comité a invité l'Etat à veiller à ce que les décisions n'ouvrent pas la voie à certaines discriminations.
Le Comité s'est aussi penché sur d'autres points litigieux concernant d'autres domaines.
Ainsi, il dénonce le fait qu'un avocat n'est pas toujours garanti lors des premières heures de privation de liberté, la surpopulation carcérale, l'usage parfois excessif de la violence par les forces de l'ordre, la violence lors des expulsions d'étrangers ou encore l'usage du taser.
Belga
Les flamingants camperont sur leurs positions et affirmeront qu'ils sont les victimes incomprises du monde et des francophones !!!!
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