jeudi 11 mars 2010

Encore une saloperie flamingante. DIVORCONS de ces .....

11 mars 2010 à 14h08

Le communautarisme aura-t-il la peau de Belgocontrol ?

Un trou dans les comptes met en faillite virtuelle Belgocontrol, entreprise publique chargée de la sécurité aérienne. Jean-Claude Tintin, son patron – et un fidèle de Michel Daerden – s’est mis à dos les contrôleurs aériens, ulcérés par ses méthodes de gestion. Pendant ce temps, la Flandre déploie, en coulisses, sa stratégie de reprise en main.

Jean-Claude Tintin, administrateur délégué de Belgocontrol.

Jean-Claude Tintin, administrateur délégué de Belgocontrol. © Belga

«L’avenir du contrôle aérien belge est en danger !», prévient le personnel de Belgocontrol. En cause : un trou dans les comptes de l’entreprise chargée de la sécurité du trafic aérien, un trou qui la place en situation de faillite virtuelle. Les contrôleurs aériens dénoncent également le management de la société.
Premier souci : les ressources financières. «Depuis ce mois-ci, les salaires du personnel sont payés grâce à un emprunt exceptionnel de 20 millions d’euros, signale Olivier Nicolay, président de la Guilde des contrôleurs aériens. Il faut trouver d’urgence une solution structurelle, faute de quoi nous serons à court de fonds dès juillet. Dans ce contexte, il n’est plus possible de recruter du personnel ni d’assumer les investissements prioritaires.»
Le trou dans les comptes a surtout pour origine le service gratuit rendu par Belgocontrol aux quatre aéroports régionaux, Charleroi, Liège, Anvers et Ostende. Cette année, la perte de revenus d’exploitation atteindra, au total, 34 millions d’euros, d’après un audit explosif qui sera présenté le 16 mars en réunion intercabinets (tous les détails dans le Vif/L’Express daté du 12 mars).
Le CD&V et l’Open VLD ne seraient pas prêts à lancer la bouée de sauvetage. Ils chercheraient même à étrangler financièrement l’entreprise pour arriver à leurs fins : remettre en cause cet accord de coopération de 1989, considéré comme plus favorable à la Wallonie qu’à la Flandre. Depuis leur retour au fédéral, en 2008, les sociaux-chrétiens flamands tentent de freiner le développement du low-cost à Charleroi, qui fait de l’ombre à l’expansion de l’aéroport de Zaventem. Le CD&V veut peser sur l’avenir de Belgocontrol, trop étiqueté PS à son goût. La direction de l’entreprise publique autonome ne doit-elle pas être remplacée avant la fin de cette année ?
L’offensive flamande a d’autant plus de chance de réussir que les pratiques de gouvernance de Jean-Claude Tintin, administrateur délégué de Belgocontrol et protégé de Michel Daerden, sont très contestées au sein même de l’entreprise publique autonome. «En plus de cette fonction, Jean-Claude Tintin s’est attribué la responsabilité des ressources humaines, dénonce un représentant des contrôleurs. Il a même recruté son fils comme chauffeur ! En outre, il a mis sur la touche le conseil de direction, jugé inefficace, et a constitué une sorte de shadow cabinet de consultants personnels. Nous avons demandé au Premier ministre une dépolitisation des mandats exécutifs !»
Olivier Rogeau, Le Vif/L’Express

Bravo Mr Van Eyken. Il faudra étaler la condamnation de la Flandre dans toute la presse européenne.

Vente de logements en Flandre: un francophone saisit l'UE

Le seul élu francophone du Parlement flamand, Christian Van Eyken, va déposer plainte ce lundi auprès de la Commission européenne contre des restrictions à la vente de logements en Flandre, jugées discriminatoires envers les francophones.

Vente de logements en Flandre: un francophone saisit l'UE

Vos réactions
"Le problème est que si la plainte abouti, et elle aboutira, le décret flamand est en contradiction avec plusieurs directives européennes, c’est la Belgique qui sera condamnée, l’UE ne reconnaissant que les états et pas les régions ou les communautés. Ce sera donc au Fédéral de casser ce décret mais il n’en a pas le pouvoir au vu de la Constitution." de McGill

Le seul élu francophone du Parlement flamand, Christian Van Eyken, va déposer plainte ce lundi auprès de la Commission européenne contre des restrictions à la vente de logements en Flandre, jugées discriminatoires envers les francophones. Il fait valoir qu'un règlement applicable dans 69 communes flamandes est contraire au principe de libre circulation dans l'UE.

"Wonen in eigen streek"

Le texte, baptisé "Wonen in eigen streek" ("habiter dans sa propre région") demande aux acheteurs d'une habitation en Flandre de prouver un lien avec la commune où se trouve le bien convoité. Il a été utilisé récemment par les autorités flamandes pour refuser deux ventes de logements à des Bruxellois, à Coxyde, sur la côte belge, et à Dilbeek, en périphérie de la capitale belge.

Justification: maintenir des prix abordables

Les auteurs de ce règlement le justifient par la volonté de maintenir des prix abordables dans certaines régions, mais ses détracteurs y voient un moyen d'empêcher des francophones d'acquérir des logements en Flandre.

Le Conseil de l'Europe avait déjà épinglé l'an dernier un élément du code du logement flamand ("Wooncode") qui exige des candidats à un logement social qu'ils s'engagent à apprendre le néerlandais, langue officielle de la Flandre.

Les gesticulations de Eric Van Rompuy.

Eric Van Rompuy, invité de Matin Première 09 mars 2010

Invité sur nos ondes, ce mardi matin, Eric Van Rompuy a estimé que le décret "Wonen in eigen streek" ("Vivre dans notre propre région") a donné lieu à des décisions injustes. Le législateur a commis une erreur et il faut amender ce décret, l'élu CD&V.

Selon le décret "Wonen in eigen streek", explique le député flamand et Premier échevin de Zaventem Eric Van Rompuy, "on demande dans certains cas très limités qu’on prouve un lien familial, économique et social, qu’on habite depuis un certain temps dans une commune. Il s’agit de 67 communes où les prix de l’immobilier sont très élevés. L’application de ce règlement s’applique seulement à des zones d’extension d’habitat, des nouvelles zones, c’est très limité. A Coxyde et à Dilbeek, la commission de logement provincial qui a annulé les ventes, l’a fait sur base d’une interprétation du décret qui est fausse. Et on va amender demain ce décret parce que ça allait trop loin. Il s’agit seulement des nouvelles zones d’extension d’habitat" qui sont concernées.

"Ce qui s’est passé à Dilbeek est une interprétation du décret et l’exposé des motifs de ce décret est très clair : ce sont seulement les nouvelles zones d’extension d’habitat. Et à Dilbeek, c’était une zone où les constructions étaient déjà mises en place depuis quelques années. Et là il faut amender le décret", explique Eric Van Rompuy. La commission d’évaluation a interprété de manière trop large le décret, dit-il : "C’est une erreur, c’est vraiment une faute du législateur, je trouve. Vis-à-vis de ces gens, c’est vraiment injuste ce qui a été décidé".

"Arrêtez de nous traiter de xénophobes"

D’une manière générale, Eric Van Rompuy déclare "les francophones doivent arrêter de nous traiter de xénophobes parce que ça commence à énerver beaucoup de Flamands".
Concernant la problématique BHV, Eric Van Rompuy respecte la discrétion demandée par Jean-Luc Dehaene, le négociateur nommé par le Roi. Eric Van Rompuy ne se contentera pas d’une formule qui permettrai de tenir jusqu’aux prochaines élections. Il veut "une solution de fond parce que, début mai, la proposition de loi sur la scission sera mise au vote en séance plénière. Et seule une solution de fond peut mener à retirer cette proposition. Mais s’il n’y a pas de solution, les partis flamands vont voter, avec toutes les conséquences" que cela implique.

A.L. avec B. Henne

Eric Van Rompuy obsédé par la scission BHV.

Eric Van Rompuy est un flamingant des "plus excités" qui revient à la charge pour la scission BHV aux conditions des extrémistes. Il sait très bien que les francophones en ont assez et imposeront aussi leurs conditions contrairement à leurs habitudes de conciliation.
Il veut faire du "forcing" parce que la réaction francophone est insupportable et que les projets de création d'un état flamand avec Bruxelles comme capitale et flamandisée de force pourraient ne pas voir le jour.





B-H-V: 'oplossing ten gronde of splitsing stemmen'

09/03/2010 14:38

Vlaams parlementslid Eric Van Rompuy (CD&V) wil niet weten van een tijdelijke oplossing voor het probleem Brussel-Halle-Vilvoorde dat de zaak over de volgende federale verkiezingen zou tillen. Zonder oplossing ten gronde zullen de Vlaamse partijen in de Kamer het Vlaams splitsingsvoorstel goedkeuren, zo dreigt hij.

Voormalig premier Jean-Luc Dehaene kreeg bij de start van de huidige regering-Leterme van de koning de opdracht om een oplossing voor het probleem te zoeken. Dehaene zou daar voor Pasen moeten mee klaar zijn.

De laatste tijd circuleerden er berichten dat Dehaene de regering zou voorstellen B-H-V pas pas ten gronde aan te pakken tijdens de volgende regeringsonderhandelingen, dus na de volgende federale verkiezingen in 2011.

Noodoplossing

Dehaene zou dan een noodoplossing voor het kiesarrondissement Brussel-Halle-Vilvoorde uitwerken om te vermijden dat de verkiezingen van 2011 onwettig zijn.

Maar Van Rompuy wil daar niet van weten. Hij zei dinsdag op de RTBF-radio dat het Vlaams wetsvoorstel ter splitsing van het kiesarrondissement in de plenaire Kamer zal worden gestemd als er geen oplossing ten gronde is voor het probleem.

De Vlaamse partijen keurden het voorstel in 2007 eenzijdig goed in de bevoegde Kamercommissie.

Door een reeks Franstalige belangenconflicten is de verdere behandeling ervan in de Kamer opgeschort. Het huidige (vierde) belangenconflict loop binnenkort ten einde.

'Akkoord tegen einde paasreces'

Jean-Luc Dehaene verspreidde dinsdag een mededeling waarin hij meldt dat hij aan een akkoord werkt tegen het einde van het paasreces.

Bij de start van de regering werd het objectief vooropgezet 'om een akkoord te bereiken voor Pasen 2010, d.w.z. voor het verstrijken van de termijn in de procedure van belangenconflict en voor de aanvang van het Belgisch voorzitterschap van de EU', aldus Dehaene.

Omdat het paasreces dit jaar na Pasen valt, is Dehaene met de eerste minister en de partijvoorzitters van de meerderheid overeengekomen dat Pasen te begrijpen is als het einde van het paasreces, aldus de koninklijke opdrachthouder.

'Deze timing respecteert de algemene doelstelling en laat tevens toe het parlement snel te informeren over het resultaat van de onderhandelingen', aldus Dehaene.

mercredi 10 mars 2010