samedi 10 avril 2010

La terre appartient à tout le monde.

Enfin un avis équilibré dont les excités du nord devraient prendre de la graine.
Il est hélas trop tard; 50 ans de propagande haineuse et mensongère ne s'effacent pas par simple bon sens et de nombreux flamands sont marqués par les clichés et imbécilités.

vendredi 9 avril 2010

Dixit les flamingants : de olievlek - la tache d'huile francophone !

La francisation progresse

(08/04/2010)

Les naissances francophones en périphérie continuent lentement mais sûrement

PÉRIPHÉRIE C’est le magazineCarrefour , distribué aux francophones de la périphérie bruxelloise, qui l’affirme dans sa dernière édition datant de ce mois de mars : la périphérie, et principalement les communes les plus éloignées de Bruxelles, continue lentement à se franciser et à s’internationaliser.

“Les recensements linguistiques n’existant plus depuis 1961, les seules possibilités de mesurer l’évolution de la présence des francophones en périphérie sont de se baser sur les déclarations fiscales, d’observer et d’analyser les tendances des résultats des partis francophones lors des élections ou d’examiner les statistiques sur la fréquentation des crèches” , indique Carrefour qui a entrepris l’analyse des données fournies chaque année par Kind&Gezin, l’équivalent flamand de l’ONE.

À part un léger tassement au niveau des naissances francophones en 2008 à Drogenbos, Linkebeek et Rhode-Saint-Genèse, on peut voir que ces communes restent en tête du classement.

La commune à facilités de Crainhem assiste quant à elle à un bond de + 10 % de naissances francophones en 2008 tandis qu’Overijse et Wezembeek-Oppem sont de plus en plus choisies par les anglophones (+ 7 %) et les Allemands (+ 2,7 % à Crainhem et plus de 5 % à Wezembeek-Oppem).

“Ce qui ressort de façon constante dans notre analyse , indique encore le magazine Carrefour , c’est l’importante hausse de naissances francophones dans des communes plus éloignées de la capitale, que ce soit dans l’arrondissement de Hal-Vilvorde ou dans celui de Louvain.”

Citons ici les communes de Bever, Lennik ou Kortenberg où, en 2006, la présence francophone était “peu marquée”. En 2008, les naissances francophones ont doublé, voire triplé dans ces communes.

“Le sceptre d’une scission de l’arrondissement BHV n’empêche pas les francophones, notamment les Bruxellois, de continuer à s’installer en périphérie, dans le Brabant flamand” , conclut le magazine.



Ludivine Nolf

La justice, quelle justice ????

Encore et encore mettre la pression et nous harceler sans fin pour s'emparer de Bruxelles et de son argent.
Il faut forcer les choses pour leur couper l'herbe sous les pieds et qu'ils ne puissent plus nous emmerder.
Vive BHV indépendante.

BHV fait tourner la tête au CD & V

On s'accroche désespérément au pouvoir !!!!! CVP et CD & V !
Qu'ils restent en Flandre et nous fiche la paix sur un grand BHV.


A qui profite l'Etat Belge ?

Cher lecteurs et visiteurs du site, vous constaterez que les flamingants finissent par croire leur propres mensonges. Leur propagande depuis 50 ans est un véritable "brain washing" au détriment de l'intelligence et de l'objectivité.

Il suffit de leur dire qu'ils sont les victimes des francophones pour qu'ils "marchent immédiatement comme un seul homme" sans se poser des question.

Où sont les cons en Belgique .......



Flaminganten buiten !!! Jamais nous ne serons citoyen flamand.

La Belgique vue par les Flamands

(09/04/2010)

Sur la carte éditée par un organisme flamand, Bruxelles n’est plus une Région mais une ville… flamande

L’Europe va examiner ces pratiques douteuses


BRUXELLES Surprenante, la carte de la Belgique éditée par l’organisme public flamand Promotie Binnevaart Vlaanderen et distribuée il y a deux semaines à Paris lors du Salon de la logistique et du transport.

On y observe, en effet, que la Région bruxelloise n’existe tout simplement pas et qu’elle est, de surcroît, une ville flamande au même titre qu’Anvers, Bruges ou Gand.

De même, les visiteurs ont bien dû réaliser que la Belgique avait laissé la place à la Flandre et à la Wallonie, comme si notre pays était coupé en deux et n’existait plus. On peut remarquer, de plus, qu’ils n’ont pas omis de préciser les contrées voisines, comme les Pays-Bas et la France.

Cette carte n’est pas sans rappeler celle qu’avait émise l’Office du tourisme flamand de New York en décembre dernier et sur laquelle la Wallonie était devenue la France. Une “erreur” expliquée par la Région flamande comme la gaffe d’un graphiste.

Nous revoilà donc devant un cas à peu près similaire. “Ce type de carte est de plus en plus fréquent du côté flamand. Elle indique clairement que, dans l’esprit de beaucoup de Flamands, Bruxelles doit être annexée à la Flandre” , indiquent les FDF.

Ces derniers signalent qu’à l’aéroport de Bruxelles, la même carte est présentée par l’Office de promotion de la Flandre (www.visitflanders.com).

“Ces cartes montrent la détermination de la Flandre à s’emparer de Bruxelles avant de prendre son indépendance. Ils veulent quitter la Maison Belgique, mais pas sans Bruxelles, qui constitue aujour- d’hui une extraordinaire plus-value pour l’économie flamande , ajoutent les FDF.

Selon eux, cette attitude doit motiver “plus que jamais” les francophones à affirmer Bruxelles en tant que Région à part entière, “tout en exigeant l’élargissement de cette même Région bruxelloise en cas de scission de BHV”.



Ludivine Nolf

© La Dernière Heure 2010

L’Europe va examiner ces pratiques douteuses

La Commission européenne a annoncé hier avoir été saisie de deux plaintes contre des pratiques jugées discriminatoires des communes flamandes de Belgique qui empêchent l’installation de francophones et d’étrangers. “Nous avons reçu deux plaintes sur de possibles infractions aux libertés fondamentales du traité européen, et en particulier sur l’acquisition de la propriété privée” , a indiqué l’exécutif européen.

En effet, tout citoyen européen qui juge que ses droits fondamentaux, comme la liberté d’installation et l’accès à la propriété, sont bafoués peut saisir la Commission européenne, qui a le devoir de donner suite. La Commission peut avoir son mot à dire sur des questions de liberté d’installation ou de respect des droits fondamentaux des citoyens. “Nous allons regarder ces plaintes avec toute l’attention requise. Nous les prenons tout à fait au sérieux, nous ne les évacuons pas” , a -t-elle précisé.

Il va sans dire que ces discriminations donnent une mauvaise image de la Belgique à trois mois de la présidence semestrielle tournante de l’Union européenne qui nous reviendra. Si ces plaintes sont jugées fondées, elles peuvent déboucher sur une procédure d’infraction, voire une action devant la Cour européenne de Justice.

Ce n’est pas tout. La Commission européenne examine également le code du logement flamand, le Wooncode, qui stipule que les logements sociaux de l’ensemble de la région sont réservés en priorité aux néerlandophones ou aux personnes qui s’engagent à apprendre le néerlandais. Christian Van Eycken (FDF), le seul député francophone du parlement flamand, à l’origine d’une plainte contre le décret Wonen in eigen streek (Vivre dans sa propre région) , a révélé hier qu’il envisageait également de saisir la Commission à propos des accords entre les maires et les promoteurs immobiliers.

Rappelons que cette disposition est appliquée dans 69 communes de Flandre, situées dans la périphérie de Bruxelles, sur la côte belge et à proximité de la frontière avec les Pays-Bas, où les prix de l’immobilier ont fortement augmenté.

Le piège à francophones de la périphérie !

Dans ce texte, Dehaene proposerait à partir de 2012 l'élection directe des bourgmestres par les populations sans intervention du gouvernement flamand. Ceci pourrait faire passer à la trappe les exigences d'extension de Bruxelles et condamner les francophones minoritaires de la périphérie auxquels tous les droits sont supprimés. Toutes les autres communes interdiraient, grâce au Wooncode et autres saloperies, l'installation dans ces communes de Belges et Bruxellois francophones..... Attention aux hypocrites !!!!

Il ne faut absolument rien céder ou c'est notre "mort" à court terme. Nous francophones de BHV sommes chez nous et ne voulons aucune dictature ou tutelle flamingante. Que les extrémistes restent dans le fin fond de la Flandre.

B-H-V: rechtstreekse verkiezing van burgemeesters?

Jean-Luc Dehaene

Jean-Luc Dehaene © Belga

Eén van de proefballonnen opgelaten in de omgeving van koninklijk onderhandelaar en B-H-V-ontmijner Jean-Luc Dehaene is die van de rechtstreekse verkiezing van de burgemeesters vanaf 2012.

Op die manier heeft de Vlaamse regering niet langer greep op de benoeming van burgemeesters in de verfranste faciliteitengemeenten rond Brussel.

Er zou dan, zoals voor de schepenen van de faciliteitengemeenten, van uitgegaan worden dat de verkozen burgemeesters het Nederlands voldoende beheersen.

Om de federale regering van Yves Leterme overeind te houden bestaat bij CD&V het voornemen om definitief te landen met het B-H-V-dossier.

Als voor die communautaire omelet enkele Vlaamse eieren – de aanstelling van de burgemeesters is er een van – moeten worden gebroken, dan bestaat daar bij Vlaamse christendemocraten enige bereidheid toe.

Enkele CD&V-toplui zien ook een oplossing in een beperkte, zeg maar symbolische uitbreiding van Brussel en van de Franstalige inspraak in de Brusselse rand.

Doch zowel voor de rechtstreekse verkiezing van de burgemeesters als voor de uitbreiding van het Brussels Hoofdstedelijk grondgebied is de Vlaamse goedkeuring nodig. Dus ook die van de Vlaamse regering, waar de N-VA van Bart De Wever deel van uitmaakt.

lundi 5 avril 2010

Dictature flamingante en route ......

Un screening linguistique en périphérie bruxelloise

04.04.10 - 15:24

Des bourgmestres flamands de la périphérie bruxelloise s'assurent que les nouveaux logements privés dans la commune seront bien attribués à des néerlandophones ou à des personnes prêtes à s'intégrer. C'est ce que révèle un reportage de la VRT.

Ce reportage du magazine Panorama de la VRT interpelle dans un climat communautaire déjà très tendu. Certains bourgmestres de BHV bloquent des ventes de logements privés à des francophones.

Plusieurs bourgmestres ont conclu des accords informels avec des promoteurs. Ces promoteurs doivent transmettre les listes des candidats acheteurs de leur projet immobilier. Des listes qui sont alors minutieusement examinées et si le candidat acheteur ne parle pas le néerlandais ou ne prouve pas sa volonté d'intégration, la vente n'est pas conclue.

Vilvorde, Overijse, Hal, Gooik... Pour acheter dans ces communes flamandes, il faut montrer patte blanche, après le "wooncode", après le décret "wonen in eigen streek", les bourgmestres de ces communes concluent désormais des accords informels avec les promoteurs immobiliers.

Ils veulent assurer le caractère flamand de leur commune et ne s'en cachent pas devant les caméras de la VRT, comme Michel Doomst, le bourgmestre de Gooik : "Il est évident que nous négocions avec les promoteurs la façon dont s'implantent les lotissements et nous parlons naturellement aussi de qui va venir y vivre et dans ce domaine nous avons effectivement des contacts et des accords informels pour vérifier que ces gens sont tout de même prêts à s'intégrer, et nous sommes prêts à les y aider... Mais nous voulons savoir qui vient vivre dans ces lotissements, même s'il s'agit de projets de nature privée."

Deviner le profil du candidat acheteur

Le bourgmestre de Gooik expplique la suite de la procédure : "Eh bien nous demandons ce type d'information pour que nous puissions les contacter et les encourager à apprendre le néerlandais. (...) Nous décidons, avec les promoteurs, qui peut avoir un logement, donc nous vérifions d'où ils viennent, où ils habitent. Sachant cela, on peut deviner quel est le profil du candidat acheteur et on peut se demander si ce sont effectivement des gens qui pourraient s'intégrer de manière normale".

Bref, celui qui ne parle pas néerlandais ou qui n'a pas un profil séduisant aux yeux de ces bourgmestres a peu de chance d'être prioritaire auprès des promoteurs privés...

Ces petits arrangements entre promoteurs et communes ne sont nullement officiels mais beaucoup de communes l'appliquent et demandent aux promoteurs immobiliers de leur fournir une liste des candidats acheteurs.

C. Hick et B. Hupin

Remarque du Résistant: et si Bruxelles interdisait la pratique du flamand dans les administrations communales et filtrait les ventes immobilières vers des non-flamands ! Soit leur rendre la monnaie de leur pièce ?

Acheteur néerlandophone, soyez tranquille : vous partez favori.

Plusieurs communes de la périphérie bruxelloise, comme Overijse, Gooik et Vilvorde, ont conclu des arrangements avec des promoteurs immobiliers pour que les nouveaux logements soient vendus en priorité à des néerlandophones.

Acheteur néerlandophone, soyez tranquille : vous partez favori


Cette initiative va rendre le climat communautaire encore plus tendu. Plusieurs communes flamandes ont conclu des accords oraux avec des promoteurs immobiliers pour favoriser les candidats acheteurs néerlandophones intéressés par un nouveau logement. Il s'agit d'accords oraux, dont il n'existe pas de traces écrites. Mais l'existence de ces accords est notamment confirmée par le bourgmestre de Gooik, Michel Doomst, dans le reportage de l'émission de la VRT "Panorama", diffusée dimanche soir.

De la pub qu'en néerlandais

Les promoteurs responsables de grands projets immobiliers sont invités par ces communes à ne faire de la publicité qu'en néerlandais. Il leur est également demandé de transmettre aux autorités communales une liste de candidats acheteurs. Les communes examinent alors elles-mêmes les listes et déterminent ensuite si les candidats qui ne parlent pas le néerlandais semblent suffisamment disposés à l'apprendre. Si ce n'est pas le cas, la commune demande au promoteur de vendre le bien immobilier à d'autres personnes.

Mieux vaut collaborer

Selon les bourgmestres des communes concernées, cette pratique n'est pas critiquable car elle permet de protéger le caractère flamand de la commune.

Les promoteurs ne sont pas contraints de collaborer, mais nombreux le font, indique le reportage. Entretenir de bonnes relations avec les autorités communales est, en effet, important pour les promoteurs, par exemple pour obtenir diverses autorisations et permis.

Le reportage de Panorama présente également la situation au Québec, où les autorités francophones se battent contre "l'anglicisation".

Une pratique scandaleuse

Christian Van Eycken (UF), le seul député francophone au Parlement flamand, parle de nouvelle provocation. "Quand je constate qu’il y a trois maïeurs qui ne sont pas nommés depuis trois ans parce qu’ils n’ont pas envoyé les convocations électorales seulement en néerlandais, mais à chaque fois dans la langue des électeurs. Voilà qu’ils ne sont pas encore nommés, mais d’un autre côté, trois autres bourgmestres de Gooik, Overijse et Vilvorde, peuvent eux impunément faire pression sur des promoteurs immobiliers. Je trouve cela deux poids deux mesures. C’est scandaleux. Je ne manquerai pas d’intervenir auprès du ministre de l’intérieur. Je sais bien qu’il n’y a pas d’écrit, mais ils l’ont affirmé à la presse", affirme ce lundi matin le député sur les ondes de Bel RTL.