Francophones de Bruxelles et de sa périphérie, nous attirons votre attention sur les agissements "anti-francophones" des politiciens et extrémistes du Nord. Ne soyons plus les victimes de leur duplicité !
samedi 24 avril 2010
Un avis éclairé.
24-04-2010 à 11:21:34
En tant que Bruxellois, je suis heureux d'entendre ici dans ce forum une grande clairvoyance de certaines personnes apparemment bien documentés, incluant le bon sens émotionel aussi, et la raison (le benet de St Romain, Anarou,...).
J'ai le sentiment d'être poignardé dans le dos par les Flamands.
Un peu d'histoire :
Il faut le dire, les Flamands se relèvent socialement politiquement et surtout financièrement seulement depuis l'après-guerre d'une pauvreté crasse sans aucun élu à la "Monarchie Parlementaire" essentiellement francophone lors de la création de la Belgique en 1830 (après avoir chassé la tutelle hollandaise) durant presque tout le 19ème siècle.
Si les Flamands n'avaient pas été bien soignés par la Belgique francophone dans les institutions et les lois, jamais rien ne serait sorti de l'oeuf flamand. N'oublions pas aussi que la Constitution originelle de 1830 a été traduite en flamand en (ca)1963...
Ils ont adopté cette constitution qu'ils essayent de forcer maintenant en sortant du cadre constitutionnel : faire accepter par chantage (les crises politiques provoquées) une modification profondes des institutions en leur faveur bien sûr - sans contrepartie aucune pour les francophones - et au fi de la Constitution et de la démocartie qui ne permet pas de décisions unilatérale d'une seule majorité linguisitque contre l'autre.
C'est pathétique et dramatique.
Les conséquences néfastes rien que déjà sur le plan économique de ces nationalistes bien compris par l'envahisseur des sombres années 40 sont désormais dramatiquement dommageables pour de longues années. Tout ça pour retirer - d'urgence - des droits fondamentaux à 150000 francophones habitant en "territoire" flamand, à la périphérie de Bruxelles. L'"olievlek", la tache d'huile francophone sur les bons flamands...
Le but des Flamands est de radicaliser leurs "droits" qu'ils imaginent eux-mêmes, mais qui sont d'une inspiration vraiment douteuse et dangereuse.
On ne peut pas décider de priver des gens de leurs droits fondamentaux, à savoir : être libre d'être jugé dans sa langue maternelle dans sont propre pays, sinon, où aller? Sous prétexte d'une origine de langue sur un territoire, donc de naissance... Même si ça se passe chez vous !
Ici c'est : "En Flandre, il est normal qu'on parle le falmand!" Ils omettent de dire que outre le fait que ce soit normal, il est INTERDIT par le règlement communal de parler une autre langue... Il est INTERDIT d'afficher des publicités ou quoi que ce soit de publique, comme nom de restaurant, dans une autre langue que le Flamand. C'est valable pour les restos italiens aussi. Il y a un n° vert de la commune pour pouvoir dénoncer tout réfractaire. Ca fait froid dans le dos ! Ils paient aussi des militants qui savent écrire en français pour défendre la position des nationalistes (souvent simpliste) dans les forums comme celui-ci. Ou se font passer pour de faux francophone défendant la position des flamands (c'est très difficile à trouver !!!) pour torpiller les opinions !
Et ce sont ces gens-là qui veulent faire les lois pour nous!!!???
C'est aussi un message de détresse :
j'espère sincèrement que la France et l'Europe regarde les "petits belges" parfois un peu ridicules avec un réel bon sens, du recul, de la documentation, et réfléchissent aussi comment se sortir des griffes du fier combattant jaune et noir Vlaamse Leeuw (Lion flamand) qui menacent aussi l'Europe dans leurs institutions, à l'image de leurs propres institutions ! Il ne faut pas oublier que H Van Rompuy est au départ un membre d'un parti extrémiste flamand! Tous les partis flamands sont d'abord pour la Flandre tout en déclarant vouloir maintenir la Belgique. Y compris le 1er Ministre Y Leterme (le chanteur de la marseillaise): il déclare à un enfant - à la TV flamande - qu'il préfère l'hymne du Vlaamse Leeuw à celle nationale de la Belgique parce qu'elle est plus belle... C'est ce qui a été chanté par les extrémistes spératistes (split nu BHV = scindez maintenant BHV) du Vlaams Belang qui ont investi le parlement ce jeudi dernier. Difficile de souffler le chaud et le froid en même temps sans trop se faire remarquer.
Attention !!
vendredi 23 avril 2010
Eric Zemmour: "Si la Belgique tombe, l'Europe tombe"
23.04.10 - 09:26
Passage éclair à Bruxelles, cette semaine, pour le trublion du PAF français, Eric Zemmour. Chroniqueur, polémiste, éditorialiste, il a récemment publié "Mélancolie française", un livre qui s'attache au "rêve romain" de la France, et qui consacre... un chapitre entier (sur neuf) à la Belgique.
Beaucoup de monde, dans la librairie bruxelloise qui accueillait Eric Zemmour, à la veille de la démission du gouvernement Leterme. Un public qui s'intéressait de près aux propos tenus par l'éditorialiste du Figaro au sujet de la Belgique, des propos récemment résumés dans une chronique sur une radio française.
Humour, sens de la formule et éloquence. Les qualités évidentes de cet orateur né. Devant un parterre conquis, Zemmour explique tout d'abord le projet de son livre : "J'explique l'Histoire de la France à travers le rêve de ses élites depuis plus de mille ans. Un rêve européen, celui d'être à l'origine de la Paix Romaine. J'y propose une grille de lecture de l'Histoire de France". Précisant sa pensée, il poursuit : "J'observe aujourd'hui avec fascination la machine à remonter le temps. Lorsqu'est tombé le mur de Berlin, c'est l'Europe de 1945 qu'on a détricotée. Un peu plus tard, dans les années 90, la guerre en Yougoslavie puis la partition de la Tchécoslovaquie ont défait les frontières de 1918, celles du Traité de Versailles. Aujourd'hui, ce que je vois, ce sont ces régionalismes, ces nationalismes qui s'expriment en Belgique (la Flandre), au Royaume-Uni (l'Ecosse), en Espagne (la Catalogne) ou encore en Italie (la Lombardie). Ils profitent de la mondialisation, car quand l'Etat-Nation ne peut plus répondre aux attentes des citoyens, il est facile de surfer sur les transferts des plus riches vers les plus pauvres. Ce mouvement général risque d'avoir raison de l'Europe".
En lisant "Mélancolie française", on comprendra pourquoi Zemmour s'intéresse dès lors de si près à la Belgique. Le chapitre n'est pas exempt d'erreurs (que l'auteur confesse, d'ailleurs), mais la thèse ne manque pas d'intérêt à l'heure où BHV a eu raison de la Pax Belgica.
"Seule Bruxelles empêche les Flamands de revendiquer la scission de la Belgique. Pour autant, je ne fais pas partie des optimistes qui pensent que les querelles linguistiques sont nées avec la Belgique et y existeront de tout temps, faisant pour ainsi dire partie de son Histoire. Pour moi, la Belgique a créé la question flamande, c'est une de ses composantes de base, et cette question risque d'en avoir raison. Si la Belgique tombe, c'est toute l'Europe qui risque de s'écrouler".
Zemmour fait donc partie de ces Français qui observent notre pays à la fois comme un rat de laboratoire et comme une sorte de création du diable. Pour lui, la Belgique est la RDA de la France. "Ce que je veux dire par cette formule choc, c'est qu'en imposant la création de cet Etat artificiel à la France en 1830, la Grande-Bretagne veut lui signifier clairement qu'elle a perdu. Car la Belgique est l'épicentre du rêve français, toutes les batailles importantes qu'a connues la France - et pas seulement Waterloo - se sont déroulées sur son territoire".
Si la démonstration d'Eric Zemmour, forcément orientée et subjective, peut irriter, elle a le mérite de mettre le doigt où ça fait mal. En démontrant que l'émancipation de la Flandre et son désir de plus en plus grand de partition ne sont pas un épiphénomène lié à la seule survie de notre pays, mais une question vitale pour la survie de l'Europe.
Thierry Bellefroid
Eric Zemmour, Mélancolie française, co-édition Fayard/Denoël
mercredi 21 avril 2010
Enfin, une remise en place des flamingants.

21 avril 2010 à 12h28
BHV: il n'y aura pas d'accord pour jeudi
Cela semble clair: au grand dam de l'OpenVLD, il n'y aura pas d'accord sur BHV avant la séance plénière de la Chambre, demain jeudi. Les petits jeux de stratégie vont bon train autour de la table des négociations.
L'idée d'un accord ficelé sur Bruxelles-Hal-Vilvorde qui pourrait être présenté jeudi à la Chambre ne convainc personne du côté francophone, ressortait-il mercredi des déclarations dans les médias et des contacts pris dans les partis. Beaucoup ont d'ailleurs fait remarquer que s'enfermer dans des ultimatums compliquait généralement les discussions. Les négociations ont commencé, ce qui est positif en soi, mais seulement mardi en fin d'après midi, ajoutait-on.
Rétroactes sur un début de semaine agité
Lundi vers 21h30, Jean-Luc Dehaene a présenté ses premières propositions au cours d'une réunion qui ne s'est pas très bien passée, aux dires de certains partis. Trop flamand, ont jugé les partis francophones quelque peu étonnés par l'attitude et la position du médiateur: devant l'inexpérience d'Alexander De Croo (Open Vld) et Wouter Van Besien (Groen!), Jean-Luc Dehaene est apparu comme le premier négociateur flamand, très dur envers les francophones.
Mardi, à 16h, Jean-Luc Dehaene et le Premier ministre Yves Leterme ont réuni une nouvelle fois les présidents des partis de la majorité fédérale ainsi que ceux des formations écologistes. Les francophones s'étaient toutefois vus avant et ont porté au médiateur un message: ils entendent que l'on négocie non sur la base de ses seules propositions mais aussi de la position défendue par les francophones. La fermeté et l'unité francophone auraient surpris celui qui était chargé de déminer une situation tout en équilibre. Mais celui-ci a répliqué en annonçant qu'il mettait fin à sa mission. La surprise a été générale, a-t-on ajouté.
Les négociations n'ont pas pris fin pour autant. Elles seront désormais dirigées par Yves Leterme, et Jean-Luc Dehaene pourra toujours prêter son assistance à celles-ci. "Ce n'est plus le même homme et les conditions ne sont pas si mauvaises pour lui. Il a plutôt bien commencé comme Premier ministre et Marianne Thyssen semble plutôt de bonne volonté", soulignait un représentant francophone à propos d'Yves Leterme.
L'élargissement de Bruxelles, première revendication du FDF
Peu d'informations ont circulé jusqu'à présent sur le contenu des propositions de Jean-Luc Dehaene et la position défendue par les francophones. Mercredi matin, le président du FDF, Olivier Maingain, qui ne participe pas directement aux négociations, a fait savoir que son parti était prêt à poursuivre les négociations sur BHV, à condition que les partis francophones mettent sur la table leurs propres exigences, dont l'élargissement de la Région bruxelloise fait partie. Les autres partis n'ont pas encore commenté cette position officiellement mais en "off", on rappelait que si l'élargissement est revendiqué, c'est en contrepartie de la scission pure et simple. Et que l'accord avorté de 2005, auquel avait participé M. Maingain, ne contenait pas l'élargissement géographique de la Région bruxelloise.
La priorité: calmer l'OpenVLD
Mercredi à midi, seuls le MR et le FDF avaient convoqué des bureaux de parti. S'il n'y avait pas de réunions officiellement annoncées dans les autres partis, les cogitations devaient aller bon train notamment à l'OpenVLD. Le ministre Vincent Van Quickenborne a annulé une conférence de presse qu'il devait tenir à 11 heures. "Il y a des choses plus importantes ce matin", commentait-on à son cabinet. Ce parti a en effet répété à plusieurs reprises qu'il voulait une solution pour jeudi, première réunion de la séance plénière de la Chambre après les vacances de Pâques. Que feront les libéraux flamands s'il n'y a pas d'accord et si les négociations se prolongent?
Une nouvelle réunion de négociations est toujours programmée pour ce mercredi après-midi ou soir. Les chances qu'elle aboutisse à un accord entièrement ficelé semblent très minces. Les prochaines heures de négociations pourraient dès lors être consacrées à la recherche d'une formule qui permettrait à l'OpenVLD de se considérer comme satisfait sans toutefois qu'il y ait un accord définitif jeudi.
LeVif.be, avec Belga
Plus sur: BHV, Jean-Luc Dehaene, Yves Leterme, communautaire, FDF
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Réactions
francoisboniver170747 | 21 avril 2010
tous ceux qui rêve de l'élargissement de bruxelles sont de dangereux malades et ne servent pas le pays mais uniquement leurs intérets personnel comme maingain et compagnie
FR001 | 21 avril 2010
Je suis bruxellois et fier de l’être. Je parle sans problème les 2 langues nationales et m’en porte bien. Les bruxellois et leur périphérie, seront une fois de + les dindons de la farce, car ni les flamands ni les wallons n'aiment Bruxelles ni les Bruxellois, la seule chose qui les intéressent, c'est de nous "sucer" un maximum. Nous produisons 25% de la richesse nationale, nous recevons 10% ! Nous avons 20% de chômage, 6 à 700.000 flamands et wallons viennent travailler à Bruxelles ! Ces travailleurs "étrangers" de Bruxelles paient leurs impôts là où ils habitent, détruisent nos routes, encombrent et polluent la ville, leurs avions nous survolent avec tous les dangers que cela représente pour nos habitants, ne consomment pas à Bruxelles mais chez eux, etc ! On dit "il faut refinancer la région" ! Je dis : NON il ne faut pas la refinancer, il faut que les impôts soient payés là où l'on travaille et non pas là où l'on habite ! Si cela se passait comme ça, Bruxelles serait à nouveau la région riche qu'elle a toujours été ! Et puisqu'il s'agit de "nous bruxellois" et de sa périphérie, la chose est très simple : un référendum : 1) à Bruxelles 2) en Brabant flamand 3) en Brabant wallon ==> et qu'on fasse le tri des gens qui veulent faire partie de la région bruxelloise et de ceux qui veulent ne pas en faire partie ! C'est de la démocratie véritable et non pas des diktats basés sur le "droit du sol" ! D'ailleurs, quand on achète une maison, n'est-on pas propriétaire du sol ? Est-ce que cette maison et son sol appartiennent à un état, à une région, à une commune ? ou est-ce qu'elle appartient à son propriétaire qui l'a payée ? Le droit doit exister pour les personnes et non pas pour "un sol" ou toute autre dénomination. Si on ne sait pas se sortir de notre problème communautaire, qu'on fasse appel à l'Europe et à la Suisse, ils trouveront bien de quoi nous satisfaire tous dans les règles de la vraie démocratie. Les égoïsmes, surtout en temps de crise, doivent êtres mis au placard ou mieux être enterrés pour y reposer définitivement ! Comment est-il possible qu'une région qui se veut unilingue flamande fasse de Bruxelles sa capitale ? Qu'elle choisisse une ville flamande ! Bruxelles appartient aux bruxellois et à personne d'autre, les gens y vivent en paix, et les ennuis viennent toujours de l'extérieur (flandre et wallonie). Qu'une bonne fois pour toute, ils se mêlent de "leurs territoires" qui auront été délimités par la population une fois pour toute, et ensuite qu'on nous fiche la paix. Ceci étant dit, je ne peux pas comprendre comment on peut être attaché au droit du sol ! C'est totalement antidémocratique. Je suis tout à fait conscient que la plupart des wallons mais aussi des flamands ne savent même pas ce qu'est BHV. Et c'est ça le plus grave, car cela veut dire qu’ils se fichent comme de l'an 40 du devenir de la région centrale de votre pays. Ou alors, s’ils tous si attachés à "leur terre", qu'on scinde la Belgique comme le prône les extrémistes flamands, mais pas sans conditions : un référendum dans tout le brabant et sur toute la frontière linguistique, pour savoir qui veut appartenir à quelle région (nouveau pays), Bruxelles est et restera une région (pays) à part entière, et n'appartiendrait à aucune des 2 communautés. Nous vivrons très bien comme capitale de l'Europe et nous aurons un "interland" suffisant pour nous développer seuls. Sachez que ce sont les bruxellois souffrent le + de cette situation depuis 60 ans et que si vous lisez l'histoire de ce pays, vous verrez que tout a été fait pour étrangler cette région et la ponctionner de toutes les façons possibles et imaginables aux seuls profits de la flandre et de la walonie. Quant à Jean-Luc DEHAENE, flamingant notoire depuis son incivisme à vouloir interdire des élections à Vilvoorde et à pousser à l’incivisme d’autres communes de la périphérie, il n’est plus crédible pour tout francophone et tout bruxellois qui se respecte. Pour ce qui concerne Yves LETERME, ne vous laisser pas éblouir par son soi-disant changement, ce n’est que de la façade. C’est un caractériel, un rancunier notoire, et tout ce qu’il veut – même contre sa propre famille – la division de la Belgique au seul profit des flamands (et que les autres crèvent !) Le VLD est mal positionné : les sondages le place en très très mauvaise posture en cas d’élections. Pour le S.PA c’est un peu la même chose. Le grand drame, c’est que les CDNV, VLD, S.PA (démocratiques ????) se sont associés les uns + que d’autres avec des extrémistes de tous bords, parfois en les intégrants dans leurs partis. Aujourd’hui ils sont de ce fait dans l’impossibilité de négocier valablement sans se rendre ridicules vis-à-vis de leurs électeurs et surtout de la presse flamande (très puissante) et ils ont peur de faire le jeu de leurs adversaires politiques. Donc leur posture ne peut être qu’intransigeante, surtout que la loi du nombre joue en leur faveur. Le mieux que l’on peut espérer, est un nouvel état fédéral, avec 4 états indépendant : la Flandre, Bruxelles+Périphérie, la Wallonie, les cantons rédimés. Les frontières seraient effectuées par un grand référendum touchant la totalité du Brabant, toute la frontière linguistique actuelle (une bande de 20 km de part et d’autre) et la question simple suivante serait posée : voulez-vous appartenir à l’Etat Flamand, à l’Etat Wallon, à l’Etat Bruxellois, à l’Etat Alémanique. Ce référendum se ferait sous l’égide de l’Europe et de la Suisse, qui seuls contrôleraient les votes et détermineraient les nouvelles frontières. Lorsque cela serait fait, le partage des dettes se ferait sur base d’une clé de répartition définie sur plusieurs bases. Un Etat Fédéral, avec un Président élu au suffrage universel (mais qui serait une fois Flamand, une fois Wallon, une fois Bruxellois, une fois Alémanique), un gouvernement où chaque région serait représentée en fonction de son poids économique, chaque Etat envoyant ses élus qui appartiendraient à toutes les familles politiques des différents Etats. Tout le monde y trouverait son compte, car chacun y serait représenté. Les Etats auraient leurs propres Lois, leur propre sécurité sociale, leurs propres systèmes de pension, leur propre système d’aide, etc. L’Etat Fédéral aurait ses propres Lois et celles-ci seraient prépondérantes sur les lois des 4 Etats. Les pouvoirs de l’Etat Fédéral seraient propres à un Etat Fédéral comme l’Allemagne ou comme la Suisse. Ma préférence va au système Suisse qui a fait ses preuves avec 4 langues nationales. Ainsi on « sauverait » la Belgique, mais chacun serait libre chez lui. Il va de soi, que les impôts seraient dus sur le lieu du travail et non pas sur le lieu de l’habitation. Chaque Etat contribuerait selon son poids économique au Budget de l’Etat Fédéral. Le référendum « à la Suisse » serait d’application partout et inscrit dans la constitution. Qu’en pensez-vous ? Bien à vous, Francis
jesuisbruxellois | 21 avril 2010
Comment est-il possible que notre bon Roi Albert ait demandé à un Dehaene,flaminguant Définition : flamingant, adjectif Féminin ante. Sens 1 Qui parle flamand [Linguistique]. Sens 2 Qui est partisan du nationalisme flamand. flamingant, nom Féminin ante. Sens 1 Partisan du nationalisme flamand, ...,et,de plus,faisant partie du CDNV,et,enfin,Bourgmestre de Vilvoorde,et chef de fil des Bourgmestres flamands,ayant voulus boycoter nos élections passées,si la scission de BHV (Bruxelles,Hal,Vilvoorde),n'était vôtée sur-le-champs !!! Ce Dehaene,qui se rempli les poches grâce à sa nouvelle place chez Dexia,et qui,là,bien- entendu,ne voit aucun inconvénient à parler le français ... On ne peut,en aucun cas être juge et partie !!!,... ce qui est vraiment le cas ici ! Cette demande "royale" est une bourde monumentale,qui ne peut pas aboutir,et n'aboutira jamais. Quant à notre ex-Premier Ministre Van Rompuy,il a bien fait de partir (ou plutôt,il a bien fait d'accepter sa nouvelle mission à l'Europe,poussé par son parti,le CDNV,ce dernier le considérant comme beaucoup trop conciliant envers les wallons). Les flamands veulent la scission de BHV et,ensuite le séparatisme,...qu'ils le fassent.On verra leurs têtes,lorsqu'ils devront rembourser leur part des dettes de la belgique à raison de 60 %. Messieurs les flamands,prenez vos boulliers et compter,... je serai curieux de voir vos têtes,quand vous verrez l'addition salée !!!... largement plus de 200.000 milliards d'Euros !!! Vous allez faire comment ???,vous qui avez le plus grand nombre de personnes âgées,qui avez un port à Anvers qui vous coûte déjà les yeux de la tête,vous,qui serez écarté de l'Europe,cette dernière n'aimant pas du tout les séparatistes et consorts ... (rappelons-nous l'histoire de l'Autriche,il y a queques années,sommées par l'Europe de mettre de l'ordre,à cause de ses vues séparatistes avérées !!! Vous faites comme un ancien Premier Ministre belge qui disait "J'agis et je réféchis après ... !
thierryluc | 21 avril 2010
Dehaene met fin à sa mission ! Les négociateurs francophones ne seraient ils plus aussi faciles à berner que par le passé ? Ou se sont ils rendus compte que l’électeur francophone allait les sanctionner si une fois de plus ils se laissaient acheter pour des clopinnettes ? ---------- Vu les brillant résultats de sa mission j’espère au moins qu’il ne touchera pas un cent… Mais ne rêvons pas, si les politiciens étaient payés en fonction des résultats il seraient tous ruinés (pcq résultats NEGATIFS).
nicnol | 21 avril 2010
"Qui quitte la partie la perd" Laissons l'Open VLD persévérer dans son attitude et ne prenons pas en compte ses menaces ! Libre à ses leader, s'ils sont intelligents - ils le sont ! - de "quitter la partie" ou de demeurer en place ! Mais les francophones n'ont pas à céder à leur chantage implicite que l'o peut formuler ainsi : "Retenez-moi, je vous en prie" ! Quant à Dehaene, quelle folie d'avoir accepté qu'il "démine" le terrain, lui, le responsable de la Fronde flamande sur BHV en tant qu'ancien Bourgmestre de Vilvoorde ! Les Flamands remettent en cause les facilités linguistiques "bétonnées" par les lois de 1963 ! Les francophones sont dès lors en droit de remettre en cause la frontière linguistique fixée par ces mêmes lois !
mardi 20 avril 2010
De Haene au service des flamingants contre les francophones.
Maingain geeft voorstellen B-H-V een onvoldoende
FDF-voorzitter Olivier Maingain
FDF-voorzitter Olivier Maingain schiet de B-H-V-voorstellen af die koninklijk opdrachthouder Jean-Luc Dehaene maandagavaond op tafel heeft gelegd. Een onaanvaardbare onderhandelingsbasis, zo luidde het dinsdag.
Maingain noemt de voorstellen die Dehaene heeft voorlegd aan de partijvoorzitters van MR (waarvan het FDF deel uitmaakt), PS, CDH, Open VLD, CD&V, Groen! en Ecolo een Vlaams eisenboek. (Proposition de De Haene est un livre de revendications flamingantes)
Volgens hem gedraagt Dehaene zich als een Vlaams delegatieleider. ( De Haene se conduit comme un leader flaminfant )
Hij hekelt dat Dehaene niet alleen het kies-, maar ook het gerechtelijk arrondissement Brussel-Halle-Vilvoorde wil splitsen.
De compensaties die Dehaene voor de Franstaligen in de rand rond Brussel voorziet in ruil voor de splitsing zijn volgens Maingain ontoereikend. (Les compensations sont insuffisantes)
Zo noemt hij het voorstel inzake de benoeming van de burgemeesters in de faciliteitengemeenten onvoldoende.
Dehaene zou de bevoegdheid daarover willen onttrekken aan de Vlaamse overheid en toevertrouwen aan een paritair samengesteld college van provinciegouverneurs.
Voorts voorziet Dehaene in zijn voorstellen niets over de uitbreiding van Brussel, zo stelt de FDF-voorzitter vast. Nochtans was dat een gemeenschappelijke eis van de Franstaligen, aldus Maingain. (De Haene ne propose rien quant à l'extension de Bruxelles) (..et ses 200.000 francophones de la périphérie)
Milquet hekelt standpunt Maingain
De uithaal van Maingain leidde tot een boze reactie van CDH-voorzitster Joëlle Milquet.
Ze verwijt hem de discretie te hebben doorbroken die
alle partijen aan de onderhandelingstafel tot nu toe
hadden gerespecteerd.
Ook Ecolo reageerde negatief op de uitlatingen van Maingain. Volgens de Franstalige groenen zou de FDF-voorzitter zich beter aan de discretie houden die werd gerespecteerd tot hij zijn kritiek uitte.
'Om een goed resultaat te boeken voor de Franstaligen houden wij ons aan de discretie. Anderen zouden daar beter een voorbeeld aan nemen, vooral omdat ze niet deelnemen aan de onderhandelingen', aldus de woordvoerder van Ecolo.
Selon le texte du journaliste du Knack, nous n'acceptons pas de nous faire entuber par les flamingants et eux se présentent à nouveau comme victimes !!!!
BHV = Verdun des flamingants !!!
Enorme hypocrisie flamingante de De Haene sur BHV.
BHV: ce qui se dessine pour l'instant
Les négociateurs ont terminé leur réunion de lundi aux petites heures de la nuit, et ont prévu de se revoir aujourd'hui. Quelques pistes ont semble-t-il été jetées sur la table. Etat des lieux.
Jean-Luc Dehaene. © Belga
La réunion sur BHV qui rassemblait les présidents des partis de la majorité et des Verts avec le Premier ministre Yves Leterme et Jean-Luc Dehaene s'est terminée peu après 1h dans la nuit de lundi à mardi. Les négociateurs se retrouveront mardi. Il n'y a pas eu de commentaire après la réunion, ce qui pour de nombreux observateurs, signifierait que les négociations se déroulent dans un climat serein.
Jean-Luc Dehaene a été chargé d'une mission de déminage du dossier BHV par le Roi. Après de nombreux contacts bilatéraux et des réunions avec les partis flamands et francophones séparément, il a soumis lundi soir des propositions concrètes aux présidents.
Plusieurs quotidiens avancent mardi matin des pistes qui constitueraient les propositions de M. Dehaene. On y retrouve, avec quelques variantes, toujours les mêmes ingrédients comme le premier paquet de réformes négocié en 2008 ou une déclaration de révision très large pour l'avenir et le couplage de toutes les élections (fédérales, régionales et européennes) en 2014.
La Libre Belgique précise notamment que M. Dehaene propose, en compensation de la scission de l'arrondissement, de soustraire la tutelle sur la nomination des bourgmestres des six communes à facilités de la périphérie bruxelloise à la Région flamande et de la confier au gouverneur du Brabant flamand qui ne pourrait statuer qu'en accord avec le collège des gouverneurs. Ce mécanisme n'entrerait toutefois en vigueur qu'après les élections communales de 2012.
En compensation, les francophones des six communes à facilités pourraient aussi continuer à voter pour des listes francophones et bénéficieraient d'un droit d'inscription judiciaire ce qui leur permettraient d'ester en justice en français à Bruxelles. Les contentieux administratifs concernant les six communes à facilités seraient du ressort des chambres bilingues du Conseil d'Etat.
A plusieurs sources on insistait, sans confirmer le contenu, qu'il ne s'agit de toute façon que de propositions qui font l'objet des négociations et que le résultat final sera sans doute différent.
LeVif.be, avec Belga
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Réactions :
olivier.montulet@skynet.be | 20 avril 2010
francis5656, et pourquoi ne pourrait-on pas revenir à l'idée d'une Belgique bilingue? Tout est négociable dans un pays de bonne volonté. Mais la Belgique en est-il un? Comment peut-on admettre que les discussions et les débats se fassent en catimini? C'est un déni de démocratie. INACCEPTABLE! Les préalables sont finis, maintenant un débat public sans accord gardé secret. Une technocratie dirigée par des potentats voilà à quoi se reduit la Belgique à l'image de la CE.
francis5656 | 20 avril 2010
Certain se trompe et de cible et d'article. Soit. Sinon, les propositions Dehaene, sans rien apporter de nouveau, seraient relativement acceptables, notamment en ce qui concerne le statut des francophones. Bien évidemment, le mieux serait le bilinguisme totale de la région, et de la Belgique aussi d'ailleurs, ce qui fut refusé il y a des décennies et sur lequel il serait bien difficile de revenir, d'autant qu'avec la rapidité à trouver des solutions qui nous caractérise, nous serons tous unilingue "anglais" quand on pensera en parler ;-)
cloq | 20 avril 2010
Toutes ces propositions ne sont que de nouvelles exceptions. L'encre sera à peine sèche que les extrémistes flamands iront tout faire casser par le Conseil d'Etat ou la Cour Constitutionnelle; bref, c'est une erreur totale!! Ce sont les communautés qui peuvent différencier la gestion de la langue des citoyens. La Belgique doit créer une communauté bilingue "Centre Belgique" de préférence, "Bruxelles élargi " au sinon (BHV moins l'arrondissement de Louvain, cf l'avis de profs d'unif) pour éliminer toutes les difficultés provenant de la francisation de la périphérie, des facilités.... Le compromis en vigueur avait beaucoup de sens mais il n'est pas respecté. Il faut arrêter de créer un système bancal fait que d'exceptions! Ce sont des irresponsables qui peuvent accepter cela! Cette communauté bilingue créera la paix dans toutes les régions; le bilinguisme devra y être effectif!!! (crêches, écoles ,politiques etc). Ceci, c 'est un magnifique travail en perspective! Et un respect de tous!! A la cké, plus besoin de bizarreries du style facilités, démultiplications des organes politiques etc... Que des bénéfices pour tous!!
mariejos | 20 avril 2010
Le refus de nomination des bourgmestres est un des moyens mis en oeuvre par nos chers voisins pour amener les francophones à accepter la scission de l'arrondissement Hal-Vilvoorde!Il était évident que M Dehaene allait proposer la scission en échange ... de ce qui finalement devrait être fait depuis longtemps! La scission est LE principal but des flamands : après cela, Bruxelles est à eux !Et si la Belgique disparait un jour , la frontière ne sera plus discutable. Va-t-on vraiment abandonner à leur triste sort les francophones de la périphérie ? Rien ne peut justifier la scission. Aucune contrepartie ne vaut cela. Aucun refinancement . Et de toute façon, toute contrepartie sera, comme d'habitude, après quelques temps, remise en question et modifiée par les flamands. On sait que les éventuelles promesses des flamands ne sont que leurres qu'il faudra revoir très vite, dès qu'ils le décideront, dès qu'ils passeront à l'étape suivante de leur "grand plan" ... La plupart des flamands ne veulent sans doute pas de la disparition de la Belgique : ils en auront besoin encore (cf pensions dans qq décennies) et à ce moment-là, soyons certains qu'ils reparleront de solidarité nationale! Monsieur le Démineur (bourgmestre ayant fait voter le wooncode dans sa commune )ne proposera jamais que des accords en faveur de sa communauté .Son pays, c'est la Flandre.
francoisboniver170747 |
20 avril 2010
Dommage que Maingain n'est pas reste bloqué plus longtemps
lundi 19 avril 2010
Aveuglement des certains francophones.
Pourquoi certains de mes compatriotes francophones acceptent les arguments et propagandes flamingants en sachant qu'ils veulent annexer Bruxelles et sa périphérie à la Flandre, supprimer notre langue et culture, s'emparer de l'argent de Bruxelles et nous reléguer aux petits jobs et petits salaires.
Que celui qui en doute me demande des exemples. Il y a ceux de VW à Forest, le Crédit Agricole de Bruxelles, la Poste de Bruxelles, etc....
Ils prennent tout sans scrupules parce qu'ils considèrent que cela leur est dû ! Nous ne leur devons rien et sommes chez nous en Belgique. Le Jardin Botanique est actuellement "annexé" à la Flandre !!!! Flaminganten buiten
19 avril 2010 à 09h32
BHV: le bourgmestre de Wezembeek-Oppem met les points sur les i
Pour François Van Hoobrouck, il y a deux erreurs à ne pas commettre dans la négociation à venir sur BHV: demander la nomination des bourgmestres comme contrepartie, et, pour le MR, ...s'assurer d'une participation gouvernementale après 2011 contre la scission de BHV.
François van Hoobrouck, bourgmestre de Wezembeek-Oppem. © Belga
Le bourgmestre non nommé de Wezembeek-Oppem, François van Hoobrouck (MR), a revendiqué lundi le droit des trois maïeurs de la périphérie à la nomination, indépendamment des négociations actuelles sur la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde. Cette question "ne doit pas venir dans la corbeille de négociation", a-t-il dit sur Matin Première (RTBF). "C'est un droit et il faut faire respecter le droit".
A ses yeux, la contrepartie de la scission devrait être plutôt l'élargissement de Bruxelles, solution qualifiée de "constructive", qui correspond à la logique de croissance des grandes villes et offrirait aux Flamands un bon niveau de protection. "A Bruxelles, la protection de la minorité flamande est énorme", a-t-il noté.
François van Hoobrouck "ne croit pas à la pérennité" d'un arrangement qui verrait les francophones de la périphérie obtenir certains droits électoraux garantis. "Tant que nous resterons sous la tutelle flamande, à la merci d'une circulaire, les problèmes resteront", a-t-il dit.
Le bourgmestre est par ailleurs resté discret sur ses intentions en vue des prochaines élections locales. Interrogé sur la langue des convocations électorales, il a refusé de s'exprimer, soulignant que son attitude "dépendrait de l'évolution de ces négociations".
Le MR serait-il prêt à rendre les élections inutiles?
Par ailleurs, François van Hoobrouck s'est opposé fermement lundi à l'idée que son parti se voit accorder une garantie de participer au prochain gouvernement dans le cadre des négociations sur la scission de l'arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde. "Pour le MR ou pour tout autre parti, j'estime que c'est une solution antidémocratique. Si les élections sont vidée de leur contenu, où va-t-on en Belgique? Je ne suis pas du tout favorable à ce genre d'accord".
Le médiateur de la crise communautaire, Jean-Luc Dehaene, a convié les présidents de partis lundi soir pour leur faire part d'une proposition de négociation dans la dossier BHV. Selon des rumeurs, la promesse d'une participation au gouvernement serait l'un des éléments du compromis.
LeVif.be, avec Belga
Plus sur: François van Hoobrouck, BHV, Wezembeek-Oppem, périphérie, Jean-Luc Dehaene
Réactions
Aude | 19 avril 2010
A quoi bon négocier entre Flamands et francophones dans une région où la prochaine génération sera majoritairement musulmane ?
christiane 15 | 19 avril 2010
Pas de marché de dupe.Flandre indépendante prix à payer.Refus des exigences des Flamands. Plus de concession de la part des francophones.Les francophones doivent faire bloc. Réponse à Messieurs Abonne1,Jeangodin,Nicnol,Nous les jeunes nous devons subir les conneries des gens de votre génération(1932 1960 )Bilinguisme a part aller en Belgique avec le Flamand(pas encore le nérlandais)vous ne pouvez pas aller bien loin mais apprendre l'anglais ou espagnole vous pourrez parcourir le monde,Votre génération nous à laissez quoi rien parce que les gens de votre génération ont toujours mal géré les négociations,et incapable de négocier ça c'est la vérité mais votre génération ne va pas reconnaitre les erreurs.Quand à votre remarque Jeangodin qu'en Wallonie il y a plus de chômeurs vous ne pensez pas que la fumée change de direction avec les usines qui fermes en Flandre.Je vois la Belgique de loin mais vraiment vous donnez une triste image de votre pays aux pays voisins.
thierryluc | 19 avril 2010
Autre proposition de JLD : "Selon des rumeurs, la promesse d'une participation au gouvernement serait l'un des éléments du compromis". Voilà une promesse qui en dit long. Quels sont les partis prêts à baisser leur culotte pour faire partie d'un gouvernement ? De toute façon quelle est l'espérance de vie d'un gouvernement qui accepterait un compromis sans réelles compensations pour les francophones? Messieurs les flamands vous voulez votre indépendance ? D'accord mais il y a un prix à payer, et j'espère que pour une fois ce ne sera pas un marché de dupes. ---- Mr. jeangodin, j'admire et approuve votre appel à la bonne volonté? Malheureusement il est temps d'ouvrir les yeux : depuis des décennies la flandre exige et impose sa volonté, rejette et montre son inimitié et son mépris pour les francophones, chaque mois qui passe voit la surenchère nationaliste flamande attirer de plus nombreux électeurs à tel point que des partis traditionnels s'allient aux extrémistes ou reprennent leurs idées. Il est (peut-être) déjà trop tard. Les francophones ont fait trop de concession et imaginent aussi déjà ne plus accepter de vivre dans un même état que des gens qui ne veulent plus d'eux et qui ne respectent pas les lois nationales ni même la démocratie. Des partis unitaires et bilingues telles que 'Belgique unie' où 'alliance Belge' ne motivent plus qu'une minorité et n'ont aucune couverture médiatique. 'Ils' ont réussi à installer la 'haine' entre des gens dont les parents avaient comme devise :"L'union fait la force". --------- Alors le temps est venu d'adopter la même politique que les flamands : montrer un bloc homogène prêt à tout pour défendre l'intérêt des francophones de quelque parti qu'ils soient. Brisons leur 'gordel' autour de BXL, cassons cette ceinture de la haine ! Je ne veux pas être enfermé.
Abonné1 | 19 avril 2010
Je ne suis pas flamand, mais je trouve les commentaires de Nicnol aberrants! C'est au contraire la France qui, au long de l'histoire, a toujours essayé d'atteindre "les frontières naturelles" (donc le Rhin) et a envahi , pillé et dévasté notre pays qui, depuis le traité de Verdun, appartenait à la Lotharingie, sauf précisément la Flandre à l'Ouest de l'Escaut. Les Belges ne sont et ne souhaitent pas devenir Français. Que certains Flamands, comme le font souvent les nouveaux-riches, se croient issus de la cuisse de Jupiter, qu'un Bart De Wever soit un danger public, qu'il ne faille pas céder des choses essentielles, d'accord, mais les Wallons doivent faire leur mea culpa : en 1932, ils ont refusé le bilinguisme généralisé, en 60, ils ont très mal géré leur rconversion industrielle et actuellement beaucoup cultivent le "dolorisme" et "l'assistanat" au lieu de se retrousser les manches. Le fait que les Socialistes aient été si longtemps les "maîtres" en Wallonie n'est pas étranger à cet état d'esprit!
jeangodin | 19 avril 2010
Non, Monsieur Bruxellois, mon nom est bien Jean Godin et non Jan, je suis francophone, je ne me cache pas sous un pseudonyme. Il ne faut pas être flamand pour dire que la vérité n'est pas d'un côté et le mensonge de l'autre. Vous voulez tout et ne rien concéder. Croyez-vous que ce soit ainsi que l'on négocie ? Quant à la crise qui affecterait d'avantage la Flandre, évidemment, vu l'état de l'économie de la Wallonie, qui compte plus de chômeurs, avec presque la moitié d'habitants, que la Flandre, c'était dure de faire plus mal... Allez raconter à ces gens-là que la nomination de bourgmestres de CERTAINES communes de la périphérie est plus importante que leur sort ? N'oubliez-pas non plus les petits pensionnés, à 700€ par mois, les sans abris, les minimexés, les handicapés... Il se dégage de toute cette polémique un insupportable infantilisme : les francophones font semblant de ne pas comprendre leur convocation électorale, si elle est écrite en neerlandais, et l'autorité flamande agit comme s'il s'agissait de Flamands pur jus ; que tout celà est grand, beau, et noble ! Alors qu'avec une peu de bonne volonté, des deux parties, il y a moyen de résoudre tous les conflits mais bon, c'est toujours la faute à l'autre, si ça ne marche pas.