vendredi 14 mai 2010

Verdun, on ne passe pas ! Vlaamse fascisten buiten.

Il n'y a que 60 ans qui nous séparent d'eux mais les mentalités sont restées les mêmes. VLAANDEREN UBER ALLES !!!!!




Céder un pouce de terrain aujourd'hui est accorder la victoire aux flamingants et accepter que nos enfants et culture soient flamandisés à brève échéance. Hors de question que nos enfants deviennent des flamingants frustrés et complexés.

Je préfère une guerre civile que de me coucher devant des nazis en puissance.










jeudi 13 mai 2010

Ici on nage en flamand. (Dommage qu'ils ne puissent se noyer dans leurs conneries)

Ici, on nage en flamand

(04/05/2010)

Un panneau devant la piscine de Dilbeek rappelle le caractère flamand de la commune

DILBEEK “Je fais du sport, tu fais du sport, nous faisons du sport en néerlandais !” À Dilbeek, le message est clair. Qui veut faire du sport est prié de parler flamand.

Plusieurs dizaines de panneaux sont ainsi installés de part et d’autre de la commune, et particulièrement devant les infrastructures sportives telles que terrains de sport et piscine communale.

“Faudrait qu’on nous dise comment nager en flamand” , râlent des francophones de la commune. À noter que le personnel de ces infrastructures sportives est prié de ne parler que néerlandais avec les membres.

“C’est le slogan qui est diffusé dans la région , confirme le bourgmestre de Dilbeek, Stefaan Platteau (Open VLD). Ce n’est pas agressif, nous voulons juste préciser qu’on parle flamand ici. À Dilbeek, en Région flamande, on parle le néerlandais.”

Un tel panneau qui rappelle le caractère flamand de l’entité est également installé sur la place communale. “Ils existent depuis au moins quatre ans , sourit Stefaan Platteau. La fièvre monte donc ce n’est que maintenant qu’on les remarque !”

Rappelons par ailleurs que la commune de Dilbeek refuse également les affichages bilingues et toute référence à une autre langue que le néerlandais dans les commerces.

“Nous vivons en paix communautaire” , confirme pourtant le maïeur qui se félicite de compter dans sa commune des francophones qui parlent flamand sans sourciller et ce malgré que le personnel communal soit défendu de parler une autre langue que le néerlandais avec les citoyens. François Pirette, qui se faisait passer pour le consul de la Côte d’Ivoire lors d’un canular téléphonique, en a d’ailleurs fait les frais.



Ludivine Nolf

© La Dernière Heure 2010

BHV selon Happart. Cet individu serait une catastrophe pour les francophones de BHV !

Heureusement que nous avons le FDF et Maingain pour défendre notre langue, notre culture franco-belge et nos intérêts sur BHV ! Happart nous sacrifierait sans état d'âme parce que BHV ne l'intéresse pas. Il fut quand même bien content de toucher sa rente d'état ainsi son parachute de 500.000 euros payés par les belges et les francophones.
Les Fourons ne furent qu'une mise en selle pour lui !!!!!







mercredi 12 mai 2010

Le flamingant bruxellois qui ne cache pas son projet d'annexer et flamandiser Bruxelles. 12 mai 2010.

Bert Anciaux: 'We moeten roder worden’

Bert Anciaux

Bert Anciaux © Belga

'Ik ben er zeker van dat we B-H-V na de verkiezingen zullen kunnen oplossen’, zegt Bert Anciaux, die straks de derde plaats krijgt op de Senaatslijst van de SP.A, in Knack.

U zegt dat de SP.A op en top Vlaams moet zijn, maar dat is toch nog altijd allesbehalve evident voor veel socialisten?

Anciaux: Laten we naar de feiten kijken: er zijn in dit land nog nooit communautaire stappen gezet zonder de socialisten, en ook vandaag wil de SP.A een grote staatshervorming. Ik ben ervan overtuigd dat Siegfried Bracke de bal compleet misslaat als hij beweert dat hij wel naar de N-VA moest stappen omdat hij een grote staatshervorming nastreeft.

Als dat je doel is, moet je je net aansluiten bij een correcte maar gematigder Vlaamse partij die ook bereid is om compromissen te sluiten. En dus niet bij de N-VA of het Vlaams Belang.

In uw nieuwe boek ‘De tijd baart rozen’ klaagt u dat staatshervorming tegenwoordig te veel wordt verengd tot een streven naar meer efficiëntie en welvaart.

Anciaux: Verschrikkelijk vind ik dat. Als de gemeenschappen meer kansen krijgen, zal er ook meer gemeenschapsgevoel en verbondenheid groeien. Maar daar wordt amper over gepraat. Vooral sinds de verkiezingen van 2007 gaat het communautaire debat meer en meer over de financiële transfers en de sociaaleconomische toekomstkansen van Vlaanderen.

Sommigen doen alsof het Vlaanderen economisch meteen voor de wind zal gaan zodra er een nieuwe staatshervorming komt. Dat is pure volksverlakkerij.

U bent tegenwoordig een confederalist?

Anciaux:
Dat ben ik altijd geweest. Ik hoop dat artikel 35 van de grondwet eindelijk eens wordt toegepast, zodat we duidelijkheid krijgen over wat de gemeenschappen nog samen willen doen en wat niet. Daarna moeten we ervoor zorgen dat we een sterk confederaal bestuursniveau hebben. Eens we dat eindpunt hebben bereikt en in een echt confederaal land leven, zou ik zelfs de invoering van een nationale kieskring zien zitten.

U pleit zelfs voor een samenwerkingsakkoord tussen Vlaanderen en de Franse Gemeenschap.

Anciaux: Inderdaad. Dan zou de Franse Gemeenschap activiteiten kunnen organiseren voor de Franstaligen die in Vlaanderen wonen en vice versa. Als Vlaams minister van Cultuur heb ik in Vlaanderen nog Chinese projecten toegelaten die vanuit China werden gefinancierd. Daar had niemand problemen mee.

Maar het grote verschil is dat China de bevoegdheden van de Vlaamse overheid binnen Vlaanderen niet in twijfel trekt. De Franse Gemeenschap doet dat vooralsnog wel.

Franstalige initiatieven in Vlaanderen en Vlaamse projecten in Wallonië? De N-VA en het FDF zullen u graag zien komen.

Anciaux: Een grote staatshervorming is met die partijen dan ook niet mogelijk. Als de MR, waartoe het FDF behoort, niet in de federale regering had gezeten, dan was B-H-V nu al gesplitst. Daar ben ik van overtuigd.

De SP.A en de PS kunnen een gemeenschappelijk communautair kader uittekenen, en ook CD&V en CDH hadden volgens mij een gemeenschappelijke lijn kunnen vinden. Maar de val van de federale regering heeft roet in het eten gegooid.

Tussen de Open VLD en de MR was het water anders dieper dan ooit.

Anciaux: Dus moeten we hopen dat de liberalen in de volgende regering niet nodig zullen zijn. En niet alleen met het oog op de staatshervorming. (lacht)

Ann Peuteman

Aux flamingants .... d'une personne équilibrée.

Epuration linguistique et persécution des belges francophones.

Le sol flamand aux seuls Flamands

« Walen buiten : Louvain en 1968, BHV en 2010 » est un essai romancé, en partie autobiographique, au cœur de nos tensions communautaires…

Marcel Sel

Marcel Sel © F.Pauwels

C’est l’histoire d’un petit garçon de huit ans qui, dans les années 70, sort avec son papa de l’église de Wemmel. Sur le parvis, une horde de membres du Vlaamse Militante Orde qui gueulent « Franse ratten, rol uw matten ! » (« Rats français, pliez bagages ! ») car ils ont décidé d’interdire les messes en français dans cette commune à facilités.

C’est l’histoire d’un jeune homme de 28 ans qui, dans les années 90, habite Bruxelles et travaille à Anvers. Le lundi 10 octobre 1994, il décide de ne plus mettre un pied à Anvers. La veille, aux élections communales, le Vlaams Blok a fait 28%.

C’est l’histoire d’un homme qui, en 2010, vit et travaille à Bruxelles, et qui publie « Walen buiten », un livre largement autobiographique, pour raconter sa colère, sa frustration, sa tristesse, son incompréhension, son impuissance, son inquiétude devant la haine et les injures des flamingants, l’influence qu’ils ont sur les partis traditionnels qui disent tous à peu près la même chose, et le suivisme d’une population à l’attention de laquelle on a créé les mythologies de la bataille des Eperons d’or, ou des soldats flamands tués sur l’Yser parce qu’ils ne pouvaient comprendre les ordres des officiers francophones. « Il faut une mythologie, des drapeaux et des tambours pour créer un Etat », explique l’auteur, Marcel Sel.

Il a travaillé pour TV Belgiek (RTL-TVI) et pour « Votez Pour Moi ». Son père est un germanophone d’origine italienne, sa mère bilingue français-néerlandais d’origine hollandaise. Un vrai zinneke à l’étroit dans une capitale corsetée, qui aime Gand et la mer du Nord, les castels de la vallée mosane, et les stammeneï (estaminets) de Bruxelles.

« En 1962, écrit Paul, le héros du livre et double de l’auteur, les partis flamands ont exigé qu’on fixe définitivement une « frontière linguistique » qui les préserverait de ce qu’ils voyaient déjà comme une invasion française. Ils voulaient un territoire, ils le voulaient sacré. Ils exigèrent que les communes qui furent autrefois flamandes y fussent rattachées à la Flandre. Des dizaines de milliers de francophones passèrent du jour au lendemain en territoire flamand. » Seules six de ces communes ont obtenu des « facilités linguistiques ». On garantissait aux Belges francophones, qui y étaient majoritaires, l’organisation d’un enseignement fondamental public en français et le droit d’utiliser leur langue dans leurs rapports avec l’administration. « Dès que les facilités furent votées, poursuit Paul, les flamingants entreprirent de les supprimer. Ils exigeaient que le sol flamand leur fût réservé. »

« Nettoyage linguistique »

Les vexations et les tracasseries ont alors commencé, les francophones qui avaient besoin de papiers officiels ont dû les demander pour les avoir en français, les bourgmestres et les échevins ont été obligés de s’exprimer exclusivement en néerlandais au conseil communal, puis les conseillers de même. Puis on a interdit aux fonctionnaires communaux de parler français entre eux, puis les enseignants des écoles primaires françaises ont dû prouver qu’ils maîtrisaient parfaitement le néerlandais, puis on a décidé qu’ils seraient inspectés par des Flamands, puis un ministre a refusé de nommer trois bourgmestres parce qu’ils avaient envoyé des convocations électorales en français à des électeurs francophones… « Nettoyage linguistique, on appelle ça… », explique Paul.

Et puis BHV. « Ce vieil arrondissement qui prouvait qu’il y avait bien du bilinguisme autour de la capitale, dans cette Flandre qui se disait pure », écrit Paul. « Pourquoi je suis inquiet ? Parce que les Flamands veulent reconquérir, reflamandiser Bruxelles, répond Marcel, comme ils l’ont fait à Gand ou à Courtrai. Pour le Vlaams Belang, le Bruxellois doit redevenir flamand ou s’en aller. La Flandre, même si elle ne veut pas l’admettre, a besoin de Bruxelles, dont elle a fait sa capitale. Scinder BHV, c’est détacher la périphérie et Bruxelles pour flamandiser totalement l’une, et puis l’autre qui sera alors enclavée dans un territoire unilingue homogène. »

MICHEL DELWICHE

Vlamingen 1st. Campagne électorale du Belang : anti-belge, victimisation flamande, racisme et séparatisme.

Vlaams Belang met 'Vlamingen 1st' naar de kiezer

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© Belga

Het Vlaams Belang trekt met de slogan 'Vlamingen 1st' naar de verkiezingen van 13 juni. Volgens de partij zijn de Vlamingen in België tweederangsburgers geworden.

Het Vlaams Belang, dat haar verkiezingscampagne dinsdag op gang trok, meent dat de Vlamingen in België pas na 'Walen, vreemdelingen asielzoekers' komen.

(Selon le vlaams belang, les flamands de Belgique "viennent" après les Wallons et les demandeurs d'asile étrangers)

De partij zegt geen staatshervorming, maar een staatsvorming te willen. (Le vlaams belang dit ne pas vouloir une réforme de l'état mais bien la formation d'un état) Intussen blijft ze bij haar kernthema', zoals de Belgische blokkering, de toenemende islamisering en de slechte aanpak van de criminaliteit.

Het Vlaams Belang lanceerde haar campagne op het Brusselse Barricadenplein, waar zwarte en gele ballonnen de lucht in werden gelaten.

Souvenir, souvenir .... Photo de famille.