samedi 22 mai 2010

Adolf De Wever se lache et crache sur nos droits, notre langue et autonomie.

Comme tous les flamingants de notre beau pays, Adolf De Wever tient un double langage auquel nous sommes habitués depuis 70 ans au moins.
Il ne faut pas avoir fait de grandes études pour se rendre compte qu'il veut vider la Belgique en direction de la Flandre et puis jeter le reste.
Quant au sort de Bruxelles, il est prudent !!!!! Annexer et flamandiser de force serait mal vu par l'Europe ........ Donc, ils font comme d'habitude : reconnaitre des droits qui sont rapidement contestés.

BHV n'a pas besoin de tutelle flamingante. Que ces fascistes se replient sur leur belle flandre, qu'ils y vivent heureux et nous foutent enfin la paix.

Enfin, nous ne voulons plus apprendre la langue de con..... qui nous persécutent et nous humilient, et qui nous reçoivent mal dans le nord du pays.
Comme disait Brel il y a 35 ans, Messieurs les flamingants je vous emmerde et je vous interdit d'obliger nos enfants à aboyer le flamand.








Les boycotteurs.


La véritable place de ces frustrés est le cabinet de consultation de psy !

jeudi 20 mai 2010

Quelques vérités sans retours.

Messages bidirectionnels :

- Walen buiten - Vlaminganten buiten.
- Vlaanderen waar de vlamingen thuis zijn - BHV waar de franstaligen thuis zijn
- Dit is ons land - Cette terre est à nous
- Franse ratten, rol uw matten - Rats français, foutez le camps; Flamingants foutez le camps.
- Hier spreekt men vlaams - Ici, on ne parle que flamand; hors de question , le français est super honorable
.......

Et si nous disions en BHV :

- Flamingants dehors
- BHV domicile de francophones belges
- BHV est à nous
- Ici, on parle français
- La langue flamande est interdite dans nos administrations...
- Vlaams n'est pas une langue mais FR, UK, SP et Portuguais.etc ....sont internationales .. und
eben Deutsch.

BHV n'est pas la Flandre, ni flamande, et encore moins la Flandre. Nous sommes chez nous en BHV.
Les 1.2Mio de francophones ne se sentent pas flamands et encore moins flamingants. Flaminganten BUITEN.

Nous ne voulons pas d'une identité flamande mais uniquement belge ou belgo-francophone. Flaminganten OUT.


Pour ceux qui ne sont pas belges et qui ont du mal à comprendre..., et même pour les belges aveugles et sourds.

Paru dans le journal Libération.

Imaginez que de l'autre côté du périphérique parisien l'on parle flamand, et qu'à Boulogne-Billancourt, qui compterait 80% de Francophones, il soit interdit à ces derniers de parler français au conseil municipal, sous peine de poursuites.

Imaginez que les Francophones de Boulogne n'aient le droit d'aller dans une école francophone de Boulogne, qu'en maternelle et en primaire. Que ces écoles soient gérées par le gouvernement des Flamands, et qu'il soit interdit au maire, sous peine de suspension, de s'adresser à un instituteur francophone en... français (sauf hors du cercle professionnel).

Imaginez que les Flamands y auraient supprimé les chaînes télévisées Arte, FR3 et TF1 au profit de chaînes anglophones.

Imaginez qu'il y soit interdit d'envoyer aux Francophones des convocations électorales en français , sous peine de suspension.

Et que Boulogne-Billancourt soit appelée une «commune à facilités».

En gros c'est cela, la question linguistique en Belgique aujourd'hui.

Ah oui. Imaginez enfin que les Francophones aux droits si limités seraient installés là depuis deux, trois, quatre ou cinq générations. De vrais immigrés, en quelque sorte. Mais dans leur propre pays.

Oiges nous donne un bel exposé, où le mot «racisme» apparaît plusieurs fois. Il s'agirait du racisme des Francophones envers les Flamands.

C'est étrange, parce que les seuls Flamands qui font état de ce racisme habitent... en Flandre. Je n'ai jamais entendu un Flamand habitant la Wallonie se plaindre d'une telle chose.

C'est étrange, parce que les Francophones ont été sortis de Flandre (notamment de l'Université de Louvain) sous le slogan «Walen Buiten», que l'on trouve aujourd'hui encore sur beaucoup de murs en Flandre.

C'est étrange, parce qu'en réponse à cela, j'ai lu, pour la première fois, le tag «Flamands dehors» voici un mois, sur le parlement flamand, situé à Bruxelles, à 85% francophone, mais « capitale de la Flandre ».

Un tag, aussitôt effacé par un ouvrier flamand. Les tags «Wallons dehors» ne sont, eux, presque jamais effacés. Efficacité avant tout. Quant aux panneaux «... Là où les Flamands sont chez eux» qui ornent l'entrée de plusieurs communes flamandes, quelquefois même des ponts entiers, et ce, sur les ordres de l'autorité locale, ils ne sont pas considérés comme racistes. C'est une simple précision.

Vous sortez du périph pour aller à Asnières, et à la sortie, on vous assène «Asnières, là où les Flamands sont chez eux». Et ce n'est pas raciste. Ensuite, sur un blog, on vous dit : « Vous, les Francophones, vous êtes des racistes ».

Ce n'est pas du surréalisme belge, c'est tout simplement la vision flamande d'aujourd'hui, et c'est tout simplement atterrant.

Raciste, le wallon?

C'est bizarre, parce que le site « Wallonie.be » existe en 6 langues, alors que le site « Flandres.be » n'existe qu'en néerlandais et en... anglais.

Si on veut la version francophone, on tombe sur une page qui dit que c'est en construction, et qu'en attendant, on doit aller sur l'une des deux autres versions.

C'est même très bizarre, parce que pour qui parle couramment le néerlandais (ce qui est mon cas), il y a sur le site « Vlaanderen.be » tout un chapitre qui explique aux habitants de Flandre quand ils ont le droit (ou pas) de parler une autre langue que le néerlandais, alors que sur le site wallon, rien de tel.

Pourtant, il y a des communes à facilités en Wallonie aussi, et là, il n'y a pas de loi anti-flamands.

C'est même terriblement bizarre, quand on sait que l'extrême-droite, ouvertement raciste, est le premier parti au gouvernement flamand, que celui-ci assimile les francophones aux «autres allochtones» : paresseux, profiteurs, étrangers.

Alors qu'en Francophonie, le FN doit se contenter d'un siège, obtenu tout juste.

Mais bien sûr, il y a l'histoire.

Bien sûr, il y a eu cent ans de domination francophone.

Mais cette discrimination tenait avant tout de la ségrégation de classe : ces Francophones qui ont brimé les Flamands étaient en réalité des bourgeois et des nobles... flamands.

La preuve ? Ils portaient des noms flamands. N'allez pas me dire que Woeste ou Van de Berghe sont des noms français!

Bien sûr, les Wallons ont eu un sort plus confortable que les Flamands pendant la grande guerre... c'est dans une langue proche de leur dialecte qu'on leur expliquait comment se faire charcuter sur le champ de bataille. Alors que les Flamands sont morts pour n'avoir pas compris les ordres. Tout de même, après trois ou quatre ans de guerre, on peut supposer que la plupart d'entre eux étaient suffisamment intelligents pour comprendre le français ? Mais plus sérieusement, oui, il faut le reconnaître, impérativement : il y a eu de graves injustices envers les soldats flamands pendant la grande guerre, comme avec les Bretons bretonnants, les Germanophones ou les Corses en France, comme avec les Harkis plus tard ou comme avec les tirailleurs Sénégalais.

Et évidemment, les épitaphes en français pour des soldats flamands étaient une infamie.

Mais c'était en 1914.

De 1940 à 1945, bien des nationalistes flamands se sont associés aux nazis pour défendre leur «cause» (alors que depuis 1930, il y avait des bataillons flamands et des bataillons francophones). Et bien des Francophones sont morts en stalag ou sous la torture de ces gens. De cela, les Flamands ne vous parleront jamais.

Pire : très récemment, le patron de la NVA (nationaliste de droite non extrémiste), Bart De Wever a cru nécessaire de faire un tout petit peu de révisionnisme en critiquant les excuses que le maire d'Anvers venait de faire aux Juifs pour les exactions de sa police, de 1940 à 1945. (Bart de Wever s'en est excusé en petit comité devant les Juifs d'Anvers, mais a «oublié», comme il l'avait promis, de diffuser ces excuses dans la presse, suite à quoi les Juifs d'Anvers, très modérés, ont dit refuser ces excuses si privées.)

L'histoire n'est pas simple. L'histoire de Belgique moins encore. Alors revenons à l'actualité : il y a quelques signes qui ne devraient tromper personne, et qui sont autant de signaux d'alarme que l'ambiance complexe du pays et le double langage de certains rendent presque imperceptibles, au point qu'aucune presse ne les relève.

Il y a de quoi s'alarmer.

Oui: s'alarmer ! Quand tous les partis flamands, socialistes inclus votent, avec les néo-nazis anti-francophones du Vlaams Belang, un projet de loi visant à supprimer la possibilité pour les Francophones de «Boulogne» ou d' «Asnières» d'être jugés dans leur langue ou de voter pour des partis francophones - eux qui sont installés là depuis quelquefois quatre ou cinq générations. (je précise toutefois que les verts flamands se sont abstenus... mais n'ont pas voté contre)

S'alarmer, quand les sociaux-chrétiens applaudissent avec les néo-nazis, se félicitent ensemble, pour le bon tour qu'ils ont joué aux Francophones. Ce n'est pas Sarkozy serrant la main de Le Pen, non. En Belgique, c'est carrément Bayrou qui danse la gigue avec Mégret ou Golnisch.

S'alarmer! Quand le Vlaams Belang, toujours lui, veut mettre une loi à l'agenda de la chambre. Cette loi exige la séparation immédiate du pays. Le préambule de 30 pages est une véritable diatribe anti-francophone.

Dans tout pays occidental, tous les partis démocrates voteraient contre.

En Belgique, non : même des chrétiens démocrates flamands, des libéraux flamands, des indépendantistes démocrates flamands se croient obligés, en pleine négociation gouvernementale avec les Francophones, de s'abstenir, plutôt que de se lever d'une voix contre l'extrême-droite.

On vous expliquera que la démocratie, en Flandre, c'est de laisser libre cours à l'expression des idées fascistes (et authentiquement fascistes) de l'extrême droite, au nom de la liberté d'expression. Ce sont ces mêmes partis qui, interrogés par une presse étrangère, affirment haut et fort qu'ils sont absolument contre une éventuelle séparation du pays.

S'alarmer, donc, quand la complaisance envers les idées du parti néo-nazi le plus puissant d'Europe (qui n'est rien de moins que le premier parti au parlement flamand...) a inondé les cénacles et la presse. Non pas par peur de leur violence, mais par peur de l'opinion publique.

S'alarmer quand un membre de ce parti diffuse sur son site la « liste desMauvais Flamands», soit celle des signataires d'une pétition pour la solidarité entre les deux communautés, nom, prénom, adresse.

Celui qui a connu Vichy devrait, à la lecture de cette dernière phrase, commencer à trembler. Mais bien sûr, c'est du passé, tout ça!

Noir tableau que celui que je dresse là ? Oui, noir, à dessein, et par la force des choses. Mais ce sont des faits que je reprends ci-dessus, pas des discours, des simples faits, authentiques, vérifiables, précis.

Autre fait : en 1999, le Parlement flamand a voté une série de lois qui définissaient l'avenir de la Belgique. Ceci devrait convaincre : 60% de la population a décider de l'avenir de 100% de la population, sans consulter les 40% restants. C'est un peu comme si les Suisses allemands décidaient de tout et imposaient ensuite leurs décrets aux Suisses francophones. Pardon, ce n'est pas «un peu comme si», c'est «exactement comme si».

Aujourd'hui, les représentants de ce parlement «négocient» avec les francophones pour faire passer leurs décrets unilatéraux, qui comprennent notamment la scission de la sécurité sociale. Et pour mieux faire «accepter» ces idées, ils expliquent à qui veut l'entendre (et ils l'écrivent) que c'est à l'avantage des francophones et que ceux d'entre ces derniers qui votent «non» les «humilient» (c'est le terme exact utilisé par Bart De Wever, président d'un des partis qui négocient le futur gouvernement avec les Francophones.)

Ils disent aussi que « le Francophone est un profiteur » et que « Bruxelles s'enrichit de l'argent flamand ».

Bruxelles ? C'est 85% de Francophones, un PIB par habitant proche du double de celui de la Flandre. Sans doute la seule vraie région très riche du pays.

Bruxelles à qui l'on ne rétrocède qu'un quart des produits fiscaux qu'elle génère. Mais cela, on oubliera de vous le dire, parce que pour tous les partis flamands, Bruxelles, 1.200.000 personnes, dont un million de francophones, est la capitale de la... Flandre.

Ceux qui n'auront pas compris que la Flandre veut prendre tout ce qui l'intéresse et abandonner tout ce qui n'est pas assez riche pour elle sont aveugles.

Ceux qui n'auront pas considéré le décalage entre l'électeur flamand, lorsqu'il se dit modéré, Belgicain, non-séparatiste, et le même, qui a voté à 65% pour des partis ouvertement confédéralistes (en imaginant la future Belgique comme l'association de deux états) et à 30% nationalistes purs et durs (dont 20% d'extrême-droite), ceux-là sont des utopistes. Mais le problème de l'extrême droite est soigneusement laissé de côté dans la presse flamande autant que dans la politique.

Mauvaise image. Oulaaah! La mauvaise image! Pourtant, en Flandre, c'est avéré, Le Pen fait mieux que Sarko. Et manifestement ça ne dérange personne.

Tache d'huile : le journal le plus lu de Flandre n'utilise déjà plus le terme « régions », qui correspond à la définition légale dont on peut penser qu'elle intéresse les journalistes. Non il utilise plus généralement le terme « états fédérés », qui correspond à sa vision et à celle des partis flamands . Or deux états fédérés sont bien deux états distincts.

Une presse qui se détache à ce point de la sémantique nationale (belgicaine) ne fait plus du journalisme, elle fait du militantisme. Oui, « militantisme », pas « propagande ». Je n'ai pas écrit « propagande », parce que seuls 80% des journaux flamands en sont vraiment déjà là. Et pour cette dernière phrase, je reconnais que j'ai pêché : ce chiffre n'est pas vérifiable.

mercredi 19 mai 2010

Lettre à Dieu !!!! ;-)

LETTRE À DIEU

Cette année tu as pris mon chanteur favori: Mickael Jackson...

Tu as aussi pris mon acteur favori: Patrick Swayze et mon actrice préférée: Farah Fawcett...

Je voudrais te rappeler que mon homme politique favori est "Bart de Wever" !

Ne l ' oublie pas s ' il te plait, je t ' en supplie !

mardi 18 mai 2010

Ils sont sans scrupules et conscience. 60 ans de propagande en ont fait des flamingants lobotomisés.


18 mei 2010 om 13u39
Enkele burgemeesters die verkiezingen boycotten zijn kandidaat
Michel Doomst

Michel Doomst © Belga
Zie ook

* Bijna helft gemeenten Halle-Vilvoorde boycot verkiezingen

Enkele Vlaamse burgemeesters uit Halle-Vilvoorde die de verkiezingen boycotten wegens de niet-splitsing van het kiesarrondissement Brussel-Halle-Vilvoorde zijn bij de verkiezingen op 13 juni kandidaat. Intussen steunt de N-VA de boycotacties.

Eén van de burgemeesters die de verkiezingen boycotten waaraan ze zelf deelnemen, is ontslagnemend Kamerlid en burgemeester van Gooik Michel Doomst (CD&V), een bekend pleitbezorger van de splitsing van B-H-V.

Naast hem zijn er nog vijf CD&V-burgemeesters die in zijn geval verkeren. Het gaat om Dirk Pieters (Halle), Bart Coopman (Zemst), Christine Hemerijckx (Roosdaal), Kris Poelaert (Herne) en Marleen Mertens (Grimbergen).

Burgemeester Eddie Block (Open VLD) van Merchtem noemt hun houding dinsdag in De Morgen 'hypocriet'.

Doomst ziet echter geen graten in zijn houding. 'Vanuit mijn positie als burgemeester kan ik de verkiezingen niet organiseren of onze hele 'Splits B-H-V-strijd' is voor niets geweest. Dat ik kandidaat ben op de lijst, heeft daar niets mee te maken', zo luidt het.

In een gezamenlijke mededeling vroegen de zes burgemeesters zich dinsdagavond af wat het alternatief is.

'Dat het parlement alleen bevolkt mag worden door volksvertegenwoordigers die geen graten zien in ongrondwettige verkiezingen?', zo luidt het.

N-VA steunt boycottende burgemeesters

De N-VA laat dinsdag bij monde van Kamerlid Ben Weyts weten dat ze de boycottende burgemeesters steunt.

Dat zegt Weyts in een reactie op minister van Binnenlandse Zaken Annemie Turtelboom (Open VLD).

Zij is boos op de Vlaamse burgemeesters uit Halle-Vilvoorde die uit protest tegen de niet-splitsing van Brussel-Halle-Vilvoorde weigeren de verkiezingen te organiseren.

Weyts, die op 13 juni lijsttrekker is in Brussel-Halle-Vilvoorde, betreurt dat de burgemeesters door hun eigen ministers of partijtop 'in de steek gelaten worden'.

Hij roept de burgemeesters en de andere verkozenen van CD&V en Open VLD uit Halle-Vilvoorde op om na 13 juni consequent te zijn en in het federale parlement elke gelegenheid te baat te nemen om de splitsing van B-H-V goed te keuren of minstens dichterbij te brengen.

Weyts hekelt dat sommige burgemeesters die de verkiezingen boycotten de initiatieven van de N-VA om de splitsing van B-H-V in de Kamer te agenderen mee hebben weggestemd.

Meer over: N-VA, VERKIEZINGEN010, Brussel-Halle-Vilvoorde
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Reacties

magna carta | 18 mei 2010

Een Terminator die de grondwet aan zijn laars lapt. Kan het nog degoutanter? Hij hoort thuis in de gevangenis!

cocquyt512 | 18 mei 2010

Ik denk niet dat veel mensen wakker liggenvan de perikelen van een paar bekwame politicie die het laken naar zich toe trekken,de arbeider en de bediende kijken uit naar wek, werkzekerheid,milieubeheer,toekomst kinderen,transsportproblemen,gezondheidszorg, gezond verstand bij het hanteren van de taalwetgeving,5 minuten goede moed om SAMEN te werken,een deugdzaam pensioen,een veilige woonomgeving met de uitsluiting van criminele gangsters ,het in de cel houden van gangsters die toch buiten kunnen wegens procedurefoutjes,een veilig spoorwegverkeer,betaalbare zorg voor oudere mensen,betaalbare zorg en inkomen voor andersvaliden,een redelijk inkomen uit stempelgeld als men uit de boot ongewild valt,een prijzenpolitiek die de verbruikers beschermd,zuiver water voor onze sportvissers,een degelijk fietspad gescheiden waar het kan van de openbare weg,kruispunten met gefaseerde lichten OVERAL,enz enz enz allé er is nog werk genoeg zeker voor de heren met hun belangen in de partijen. MEN ZOU ZE MOETEN VERPLIOCHTEN VAN PUNTEN NAAR VOOR TE BRENGEN IN HUN VERGADERINGEN EN DAN PUBLIEK MAKEN WIE ER TEGEN STEMDE dit laatste onthouden de mensen zeker!!!!! men moet ze niets beloven van gratis en meer zonder in detail te treden,leg de voorstellen op tafel en stem dan maar ,of ge dan nog kunt stemmen voor eigenbelang van de partij zal wel de vraag zijn zeker. De gewone werkende en ook zij die van vervangingsinkomen moeten leven zijn niet begaan met de spelletjes van de heren met fatsoen,bij de kleine mensen is het niet louter om de poen te doen.Wj hebben meer vandoen zouden de heren politiekers dit niet willen of kunnen begrijpen,zijn ze zo hardstallig overtuigd van hun eigen gelijk??? reageren mag maar de heren mogen ook handelen COCQUYT WILLY GENT 9000 SPORENLEGGER UIT DIENST

indivi | 18 mei 2010

Wanneer BZ de verkiezingen zelf organiseert en nadien de burgemeesters een rechtszaak te verwerken krijgen, zouden deze laatsten er nog de oorzaak van kunnen zijn dat BHV's oplossing of -afhandeling een jarenlange vertraging oploopt, want de rechtsmolen maalt langzaam en er zijn steeds vertragingsmanoeuvers mogelijk. Tenslotte zullen zijzelf nog de reden zijn dat alles zal blijven voortkabbelen....

vatuv | 18 mei 2010

Wat kan je verwachten van CDenV burgemeesters ? Schijnheilige houding aannemen en verkiezingen boycotten, dat kunnen ze. Maar als de splitsing op de agenda stond gaven ze niet thuis. Eerlijkheid is nu eenmaal geen kenmerk van de CDenV. Elke partijdie met CDenV een coalitie vormt komt totaal bedrogen uit. Volgens mij komt dat omdat de CDenV een louter machtsblok is geworden. Hun programma verandert bij elke verkiezingen, dus waarom zou je er voor stemmen ? Ze beloven vanalles, zoals de Vlaamse kaart te trekken en vijf minuten politieke moed, maar ze bakken er niks van. Ze hebben goede en dure spindokters, dat wel. En ze hebben een eindeloze kweekvijver in de vorm van katholieke scholen. 80% van de Vlaamse scholen zijn katholiek. En daar kan naar hartelust geindoctrineerd worden, natuurlijk.

marcvehent@gmail.com | 18 mei 2010

Vlaamse kloteburgemeesters, een trap onder hun kont ja

16 bourgmestres sur 35 de BHV refusent d'organiser le scrutin du 13 juin.

On a beau dire, mais il n'y a que du côté flamand, que de telles initiatives sont prises. 
Continuez à vous ridiculiser messieurs...le monde vous regarde !

La dictature flamingante ne se cache plus !!! Ils ne comprennent que la force et ne seront hélas pas sanctionnés.


La moitié des communes de Hal-Vilvorde va boycotter les élections
Belga
Mis en ligne le 18/05/2010
Les derniers collèges des échevins des 35 communes de l'arrondissement de Hal-Vilvorde doivent décider mardi et mercredi s'ils organisent ou non les élections anticipées du 13 juin prochain.
Au moins seize bourgmestres des 35 communes de l'arrondissement Hal-Vilvorde ne vont pas organiser les élections anticipées du 13 juin.
Une dix-septième commune pourrait encore s'ajouter à la liste, selon un tour de table réalisé par le quotidien De Morgen publié mardi.
Les derniers collèges des échevins des 35 communes de l'arrondissement de Hal-Vilvorde doivent décider mardi et mercredi s'ils organisent ou non les élections anticipées du 13 juin prochain.
Selon les dernières informations, seize communes boycotteront les élections, renvoyant l'organisation de celles-ci au gouverneur de la province du Brabant flamand, Lodewijk De Witte, selon le quotidien De Morgen. Pour 34 communes, la décision est déjà prise ou quasiment, seule Liedekerke ne pouvait pas encore se prononcer.
"Nous suivons de façon solidaire l'avis de la Conférence des Bourgmestres et nous n'organiserons pas d'élections", indique-t-on entre autres à Gooik, Lennik, Hal, Overijse, Grimbergen, Herne, Pepingen, Meise, Londerzeel et Roosdaal.
"Selon le texte de la Constitution, nous sommes dans l'impossibilité administrative d'organiser une élection légale. De plus, notre combat pour la scission n'aurait alors servi à rien."
Dans une dizaine d'autres communes, dont Galmaarden, Vilvorde, Merchtem et Steenokkerzeel, les bourgmestres vont bien se charger eux-mêmes de l'organisation des élections, mais ils ne mettront que peu, voire par du tout, de panneaux d'affichage à la disposition des partis francophones.
On constate par ailleurs que les bourgmestres qui refusent d'organiser les élections sont presque tous membres du CD&V, à deux exceptions près, conclut De Morgen.
· beriamel - Overijse
·
· 18.05.10 | 09h38
· 4 votes favorables
Eh bien on y est. Dans les années 90, contre de l'argent, les francophones ont échangé aux Flamingants la tutelle régionale sur les communes.
C'est comme échanger en période de famine, un bol de soupe avec un truand contre son portefeuille.
Quelle bêtise !
Voilà où on en est !
Des Ministres flamands qui n'osent pas sanctionner leurs bourgmestres.
Quant à moi, je pense que je vais porter plainte contre mon bourgmestre ... et je n'irai pas lui apporter des oranges quand il sera en prison !

dimanche 16 mai 2010

Apprendre le flamand .....

Bruxelles, le 16 mai 2010.

Chers visiteurs et lecteurs,

Ce dimanche et une fois de plus, la flamingante Brigitte Grauwels, (Ministre à Bruxelles) répétait que les francophones de Belgique devaient apprendre le flamand !!! Cette exigence fait partie du crédo de la propagande flamingante. Onbespreekbaar !

Nous, francophones civilisés n'obligeons personne à apprendre notre langue; chacun est libre de choisir et nous n'emm..... pas nos voisin avec des complexes et frustrations.

De plus pourquoi apprendre la langue de fascistes qui persécutent les francophones de Bruxelles et de sa périphérie alors qu'on est aussi malvenu en Flandre. Mieux vaut apprendre des langues utiles et internationales comme le français, l'anglais, l'espagnol, le portugais ....

Comme disait Churchill à propos de troupes allemandes qui occupaient une île de la Manche : "Let them rotten."

Les frustrations et complexes linguistiques flamingants frisent la démence comportementale.

mercredi, 05 mai 2010

Discriminations électorales : ça commence !

La commune de Machelen, où vit une minorité de Francophones, refuse tout affichage électoral en français. Pour ce faire sans être accusée de discrimination, elle a décidé de ne pas organiser du tout d'affichage électoral, afin, selon la VRT, de «pouvoir éradiquer de l'image urbaine les affiches électorales en français». Mitoyenne de Bruxelles, la petite commune de petit esprit inaugure ainsi la longue liste de discriminations électorales à venir. Aux dernières élections européennes, une autre banlieue bruxelloise, Ternat, avait même envoyé un pamphlet à ses habitants pour les inciter à ne pas voter pour des candidats francophones, en violation claire de la Loi et d'à peu près tout ce pour quoi l'Europe se bat. Il est évidemment indispensable de préciser que le collège communal (conseil municipal) de Machelen qui a pris cette décision (dont je précise qu'elle est illégale en Belgique, mais encouragée par le gouvernement flamand) n'est pas composé de fascistes braillards, mais bien de socialistes (nationalistes ?), de verts (francophobes ?) et de l'open VLD, le parti libéral de Guy Verhofstadt qui, au niveau européen, s'est pourtant fait le chantre de l'anti-nationalisme. Apparemment, il n'a pas réussi à convaincre ses propres troupes du bien fondé de son combat. Comment dit-on encore ? Ah oui : nul n'est prophète en son plat pays ! Le projet communal de 2007 est révélateur…


Celui-ci révèle que cette majorité sociale-libérale n'hésite pas à réserver l'associatif aux Flamands : «La commune établira un projet avec "De RAND" ("La Périphérie") et le Brabant flamand pour promouvoir le néerlandais comme langue unique de toute la vie associative.» Sachant que, comme dans toute grande métropole, les magasins de gros ou spécialisés se retrouvent en périphérie, et sachant plus particulièrement que le pôle d'attraction de la commune de Machelen est le magasin Makro (équivalent de Métro) que des milliers de Bruxellois francophones visitent chaque jour, on mesure le sens de l'accueil des clients "de langue autre" par cette disposition : «La Commune stimule les commerçants et les grandes surfaces à utiliser avec leurs clients le néerlandais en premier.» Si la commune ne semble pas trop se préoccuper de la fête nationale belge, les célébrations de la fête "nationale" flamande qui commémore la bataille des Éperons d'Or contre les Français (symbole fort s'il en est) font l'objet d'une attention particulière : «La fête annuelle du 11 juillet doit systématiquement viser à devenir une grande fête culturelle populaire, suivant ainsi fidèlement l'évolution des dernières années.» Au niveau pratique, les associations non-néerlandophones sont clairement discriminées : «L'"infrastructure communale reste gratuitement à la disposition des associations machelenoises et diegemoises, qui reçoivent également la priorité absolue dans l'utilisation de cette infrastructure, à condition qu'ils utilisent le néerlandais comme langue de fonctionnement.» Mais le pompon, c'est je pense l'idée que les «anderstaligen» (gens de langue autre) ont une influence négative sur la qualité de l'enseignement, et qu'il faut donc en limiter le nombre dans l'enseignement local, ce qui viole clairement l'obligation scolaire. «Ensemble avec l'autorité flamande, nous développons un projet pour limiter le pourcentage de "gens de langue autre" dans les écoles communales pour éviter une réduction de qualité dans l'enseignement donné.» Voilà. Ça, c'est un programme libéral - socialiste - écolo en périphérie bruxelloise…

Extrait du blog de Marcel Sel.

Voir le site de Marcel Sel.

Très bon blog à consulter régulièrement : http://blog.marcelsel.com

Plus con que ça, tu meurs !

lundi, 10 mai 2010

Unilinguisme congénital

Une dame ne se sent pas bien dans une église de Rhode-St-Genèse, commune à facilités. Des gens de la Croix Rouge lui portent assistance. Une ambulance est envoyée par le SAMU, depuis Braine-l'Alleud. Mais aucun des deux infirmiers ne comprend le néerlandais. La Croix Rouge ayant pris la dame en charge, tout s'est bien terminé, mais le responsable de la Croix Rouge (flamande) rappelle cette règle fondamentale : il n'est pas acceptable que des équipes de secours unilingues soient envoyées en zone bilingue. On peut comprendre qu'il soit difficile de garantir un bilinguisme systématique, mais deux unilingues dans une ambulance à Rhode-St-Genèse, ça fait au moins un de trop !

Extrait du blog de Marcel Sel.