vendredi 27 août 2010

De Lijn méprise les Bruxellois ?

Ce sont bien les petites gens du petit peuple qui votent pour les programmes intolérants, xénophobes, anti-francophones, etc .... des partis fascistes et séparatistes ! La propagande du type Goebbels chez les nazis fonctionne très bien en Flandre. La masse suit sans se poser la moindre question.
Le belge francophone serait devenu l'ennemi de la grande nation flamingante ! (On se croirait en 1930 - 1940).

jeudi 26 août 2010

Belgique » Politique » article

"Une légitimité à toucher à la frontière linguistique"

26.08.10 - 08:27

Alors que les négociations politiques s'enlisent sur les questions autour de la Région de Bruxelles et de sa périphérie, le CRISP publie - fort à propos - un courrier hebdomadaire sur l'histoire de la fixation de la frontière linguistique.

En 62-63, quand le gouvernement Lefèvre-Spaak, après un vote au Parlement "cliche" la frontière linguistique, il a "pour objectif de terminer la question du statut linguistique des communes" explique Stéphane Rillaerts. "On a souvent dit, des deux côtés, que c’était la dernière problématique qu’il faut résoudre. Quand on aura résolu celle-là, on arrivera au bout et on pourra enfin passer définitivement à autre chose." détaille le chercheur du CRISP.

Et aujourd'hui, la crainte est "qu'après BHV, viennent d’autres revendications. C’est certainement une des craintes qui existent du côté francophone, notamment sur les facilités qu’on a bétonnées et rebétonnées à plusieurs reprises mais dont on voit bien, dans leur application aujourd’hui, qu'elles sont quand même remises en question, contestées, ou en tout cas, qu’on en restreint le champ d’applications par rapport à ce qu’il a été dans les décennies passées."

Le maintien de BHV, un vote... flamand

Peut-on estimer qu'à l'époque, il y eut un "troc" : le clichage de la frontière linguistique contre le maintien d'un arrondissement unique pour Bruxelles et sa périphérie ? "Historiquement, ce qu’on peut dire, c’est que la question de Bruxelles et sa périphérie a été discutée au sein du gouvernement Lefèvre-Spaak pendant le début de l’été 63. Le gouvernement n’est pas arrivé à se mettre d’accord et Lefèvre a présenté sa démission au Roi qui l’a refusée. On a donc réalisé un de ces conclaves dont notre vie politique a le secret, à Val Duchesse, déjà. C’était un vrai conclave, sans trace écrite de ce qu'il s’y est dit réellement. On s’en est sorti avec un accord, qui a été présenté au Parlement.

Un député flamand a proposé un amendement qui visait à scinder l’arrondissement électoral de BHV. Ce qui veut dire que dans l’accord, cette scission n’était pas prévue. On l’oublie aujourd’hui, mais ceux qui se sont heurtés de la manière la plus virulente à cet amendement, ce sont des députés néerlandophones, du parti socialiste principalement, les libéraux ayant quitté la séance, invoquant le fait que si on scindait BHV, il n’y aurait (quasiment) plus de députés flamands à Bruxelles. Ce qui est intéressant, c'est que les francophones n’ont pas participé au débat. Mais Arthur Gilson, le ministre de l’Intérieur, a bien confirmé que le maintien d’un arrondissement électoral unique sur BHV faisait partie d’un package négocié à Val Duchesse car il a dit : 'S'il vous plait, ne remettez pas en cause des éléments de l’accord, car c’est tout l’accord qui va tomber à l’eau', raconte Stéphane Rillaerts. Il est clair qu’en sortant de Val Duchesse, l’accord était qu’on maintiendrait BHV. Mais il y avait une sorte de donnant-donnant par rapport à la frontière linguistique qui apparaissait plus défavorable pour les francophones."

Compromis

La maxime est connue : "Tant qu'il n'y a pas d'accord sur tout, il n'y a d'accord sur rien". Et parrallèlement, toucher à un élément d'un compromis remet le compromis dans son ensemble en cause. A cet aune et dans une vision historique, aujourd'hui, les francophones ont-ils raison de demander à changer la frontière linguistique si on touche à BHV ? "Ils sont dans la légitimité de le faire. Dans ce pays, dès qu’on remet un compromis en cause, la logique, c’est qu’on remette tous les éléments du compromis en cause. La vision flamande [sur la frontière linguistique] est un peu différente, car, pour la Flandre, la frontière linguistique en tant que telle, a un caractère beaucoup plus lourd, beaucoup plus important voire dramatique depuis les guerres en Europe à la suite de la chute du mur de Berlin. Ce sont des arguments qu’on entend parfois.

Et donc, l’idée qu’on pourrait revoir la frontière linguistique serait une espèce de boite de Pandore qui aboutirait à une situation de pré-guerre civile. Alors que les éléments qui sont perçus par les francophones comme ayant été compensatoires à une fixation d’une frontière linguistique qu’ils ont jugée défavorable, ne concernent finalement, eux, que la vie administrative d’une région ou d’un Etat, et qu’on pourrait les revoir sans aboutir à des conséquences aussi dramatiques. Et c’est là que les visions restent antagoniques…"

Entre ces deux visions, aujourd'hui, on assiste à un dialogue de sourds.

mercredi 25 août 2010

Obscurentisme flamingant à Overijse.

Regions » Mons » article


Alleen maar in het vlaams in Overijse a.u.b !

25.08.10 - 11:55

Le directeur du Centre Culturel René Magritte à Lessines n’en revient toujours pas. Par esprit d’ouverture, il avait pris l’habitude d’imprimer toutes ses affiches dans les deux langues. Oui mais voilà, une de ces affiches bilingue s’est retrouvée sur un mur de la commune d’Overijse où l’initiative a été peu appréciée.

Et une lettre est arrivée au Centre Culturel pour le signifier à Frédéric Maréchal, l’animateur-Directeur du Centre René Magritte. La lettre émane de l’association "Taalrespect" et elle explique, en français dans le texte, que la commune d’Overijse est une commune flamande dont la seule langue officielle est le Néerlandais et "que l’affichage bilingue donne l’impression qu’Overijse est bilingue et décourage donc les non-néerlandophones à s’intégrer". Au Centre René Magritte où on fait tout pour accueillir les visiteurs dans les deux langues (Lessines est une ville francophone située en région Wallonne dans la province de Hainaut) et donc permettre aux néerlandophones du coin de s’intégrer et de participer à la vie culturelle… on n’en revient pas.

Ecoutez ci-dessous le sentiment de Frédéric Maréchal sur le sujet, il l’a confié à Manu Delporte.

Vincent Clérin

Les clichés de la propagande flamingante.


Autre article du Knack

donderdag 19 augustus 2010 om 08u48

De zwarte komedie van Di Rupo

Uit verschillende bronnen blijkt dat Elio Di Rupo de afgelopen dagen ‘een Spitaels’ heeft uitgeprobeerd.

Sommige politieke kopstukken lijken nog weinig geloof te hebben in de goede afloop van het preformateurschap van Di Rupo.

Sommige politieke kopstukken lijken nog weinig geloof te hebben in de goede afloop van het preformateurschap van Di Rupo. © Belga

Om de eigen PS in de pas te krijgen voerde toenmalig voorzitter Guy Spitaels in 1988, in volle regeringsformatie, een dagenlange verdwijntruc op. Met goed gevolg, want zodra de tegenstand binnen de PS was gefnuikt, kon de laatste regering van Wilfried Martens op de been gebracht worden.

De voorbije dagen, na zijn uitval van afgelopen maandag naar N-VA-voorzitter Bart De Wever en SP.A-voorzitter Caroline Gennez, die de volle laag kreeg, trok preformateur Di Rupo zich terug. Om de spanning op te voeren.

Op een nietszeggend sms’je naar de andere voorzitters na en een gesprek met Bart De Wever dat geen soelaas bracht, verdween Di Rupo uit het beeld. Bevriende Franstalige kranten lieten verstaan dat de preformateur er de brui aan wilde geven.

Staatszin

Afgelopen woensdag dan voerde Di Rupo ten paleize de scène op van de vermoeide, ontgoochelde staatsman. Waarop de vorst hem smeekte om toch, ‘uit staatszin’, zijn moeilijke taak voort te zetten.

Zoals Guy Spitaels in 1988 voor de televisiecamera’s het beeld in stand hield van de staatsman die in naam van de hogere belangen toch maar in een regering stapte met een rechts sujet als Wilfried Martens, zo ook Elio Di Rupo, die de verzamelde pers trakteerde op het nummer van de vermoeide staatsman die zich nog één keer opoffert voor het algemeen belang. Voorlopig lijkt het nummer te werken.

Tijdens zijn persconferentie gaf preformateur Di Rupo te kennen bereid te zijn, zij het met grote tegenzin, toch aan de financieringswet te willen raken – alleen mag niemand daar armer van worden.

Doch dat laatste was alleszins wel het geval met zijn Proposition de modifications à la marge de la LSF (Loi Spéciale de Financement), die Elio Di Rupo zelf afgelopen weekend op tafel legde. Uit dat voorstel bleek niet alleen dat Di Rupo aan de financieringswet wilde knutselen, hij deed dat bovendien op een wijze die de Vlaamse Gemeenschap gevoelig zou verarmen.

Om te beginnen wilde Di Rupo de 80/20 repartitie voor Brussel herzien, op basis van de taal van de belastingaangiften (93 procent Franstalig, 7 procent Nederlandstalig). Hij sanctioneerde bovendien de Vlaamse Gemeenschap voor haar grotere fiscale draagkracht.

In de aanpassing van de financieringswet die Elio Di Rupo aan de onderhandelaars voorstelde, verloor Vlaanderen vanaf 2012 jaar na jaar honderden miljoenen euro - in 2020 zelfs 1,187 miljard euro. Dat geld kwam in eerste instantie ten goede aan de Franse Gemeenschap, maar ook aan de federale staat. Zodoende werd via de federale staat de bestaande transferstroom van Noord naar Zuid nog eens versterkt.

Pijnlijke stiltes

Daarop stelden de Vlaamse partijen maandagavond voor om meteen de hele financieringswet te verbouwen. Met de gekende woedeaanval van Di Rupo tot gevolg.

Uit verschillende bronnen blijkt nu dat, ondanks de opvoering en de persmededelingen van gisteren, het vertrouwen tussen Vlaamse en Franstalige onderhandelaars ernstig verstoord blijft. Sommige politieke kopstukken lijken nog weinig geloof te hebben in de goede afloop van het preformateurschap van Di Rupo.

Er zullen lange, pijnlijke stiltes vallen tijdens de komende gesprekken van de onderhandelende partijvoorzitters met het staatshoofd.

(RVC)

Article du Knack.

Les réactions des lecteurs flamingants sur cet article sont extrêmement révélatrices : pour eux, les flamands ne doivent pas négocier et prendre ce qui est à eux. C'est comme les nazis qui prenaient ce qui était aux juifs sans scrupules. Nous avons affaire à de véritables fascistes.

woensdag 25 augustus 2010 om 18u49

Onderhandelaars buigen zich over Brussel-Halle-Vilvoorde

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© Belga

Na het princiepsakkoord dat dinsdagavond werd bereikt over een aanpassing van de financieringswet op basis van twaalf principes buigen de preformatie-onderhandelaars zich over Brussel-Halle-Vilvoorde en het bestuur en de financiering van Brussel. Een groep politici en experts zit daarover woensdag al de hele dag bijeen.

In de loop van dinsdagavond stond een vergadering van politici en experts over beide zaken op de agenda die tot ongeveer 23 uur duurde.

Volgens La Libre Belgique eindigde de vergadering voortijdig nadat de Franstaligen waren opgestapt. Onder meer Joëlle Milquet, de enige partijvoorzitter die dinsdagavond op het overleg aanwezig was, zou zich volgens De Standaard zeer boos hebben gemaakt.

Probleem is de compensaties voor de Franstaligen in de rand rond Brussel die in ruil voor de splitsing van het kiesarrondissement B-H-V op tafel worden gelegd. De vergadering, die werd geleid door Charles Picqué (PS), eindigde in een impasse, aldus de Libre.

Nieuwe vergadering werkgroep

De werkgroep met politici en technici kwam woensdagmorgen weer bijeen. Woensdagnamiddag stond oorspronkelijk een nieuwe plenaire vergadering op de agenda van preformateur Elio Di Rupo en de partijvoorzitters die aan het overleg over de staatshervorming deelnemen.

Maar die vergadering werd uitgesteld tot donderdag. In de plaats zette de werkgroep haar overleg in de loop van woensdagnamiddag voort. Naast B-H-V staat ook het bestuur en de financiering van het Brussels gewest op de agenda.

In de vooravond was er een pauze in de besprekingen, maar het is de bedoeling de bespreking vanaf 20 uur voort te zetten.

Gros clash sur BHV

Préformateur: Gros clash sur BHV

Martin Buxant

Mis en ligne le 25/08/2010

Un clash a eu lieu hier soir entre francophones et Flamands au sujet de BHV. Et balaie la dynamique positive qui s’était installée plus tôt dans la journée.

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Y a de la rumba dans l’air. Une réunion entre négociateurs francophones et Flamands a viré à la foire d’empoigne, mardi tard dans la soirée, à tel point que les négociateurs du PS, d’Ecolo et du CDH ont mis fin aux hostilités en quittant prématurément la salle de réunion. Le sujet de la discorde - qui s’est tenue en l’absence du préformateur Elio Di Rupo - n’est autre que la scission de Bruxelles-Hal-Vilvorde et les éventuelles compensations octroyées aux francophones."Nous nous sommes heurtés à un mur", raconte un négociateur francophone en évoquant la N-VA. Un autre: "Il faut voir ce qu’on nous propose, c’est honteux ! Avec cela, il n’y aura jamais d’accord". Côté flamand, on pointe le fait que les francophones ont mis fin prématurément à la réunion : "Ce sont eux qui se sont levés et qui sont partis et ont claqué la porte, rapporte-t-on, Joëlle Milquet était très énervée. C’est la première fois qu’on nous claque la porte au nez de la sorte !Manque de respect !".

Philippe Moureaux (PS), Marcel Cheron, Christos Doulkeridis et Joëlle Milquet étaient notamment présents à cette réunion du côté des francophones. Et ils ont sèchement répondu "à l’intransigeance flamande" en coupant court à la discussion. "Ce n’est pas catastrophique, on a pris le temps de regarder les prolongations du match d’Anderlecht", tempère un francophone. Côté flamand, le parlementaire Ben Weyts représentait la N-VA. Steven Vanckere et Eric Van Rompuy siégeaient pour le CD&V dans cette réunion technico-politique.

La journée avait pourtant bien débuté. Ce n’était pas l’Alpe d’Huez ni même le Ventoux, mais le grimpeur Di Rupo a franchi un col de moyenne catégorie mardi soir alors qu’il actait un accord sur 12 principes devant régir la révision de la loi de financement. Cet accord - uniquement verbal - a été forgé durant l’après-midi par les présidents de parti des sept formations politiques qui négocient une réforme de l’Etat (PS, Ecolo, CDH, N-VA, CD&V, SP.A, Groen !). Il n’a été possible qu’après un long entretien en tête-à-tête entre Elio Di Rupo et Bart De Wever, sur le temps de midi...

Voici les principes sur lesquels un accord a été acté pour réviser la loi de financement :

- Assurer la viabilité à long terme de l’Etat fédéral;

- Maintenir des mécanismes de solidarité;

- Maintenir la progressivité de l’impôt;

- Eviter la concurrence fiscale entre entités;

- Ne pas appauvrir les différentes entités;

- Créer un statut spécifique pour Bruxelles (tenir compte de l’évolution démographique et sociologique...);

- Prendre en compte le critère de la population et du nombre des élèves;

- Fournir des efforts pour assainir les finances publiques;

- Aller vers plus d’autonomie financière des Régions;

- Renforcer la responsabilisation des entités fédérées (plus grande autonomie fiscale et une plus grande marge pour leurs revenus propres). L’IPP n’est qu’un paramètre parmi d’autres (taux d’emploi...);

- Examen des effets pervers éventuels avant toute mise en œuvre d’un nouveau modèle.

C’est donc ici que les choses sérieuses commencent, puisque 7 experts ont été désignés par les partis pour mettre concrètement en musique ces principes très larges... "Bonne chance, s’amuse un négociateur, on est parti pour des semaines d’empoignade, si pas des mois, on ne peut pas construire grand-chose à partir de principes uniquement." L’accord est si vague que tant les francophones que les flamands pouvaient, mardi soir, sortir triomphalement. "On ne va pas le crier trop fort, s’esclaffait un francophone, mais franchement, nous avons bien joué le coup : toutes nos balises et nos clauses de sauvegarde sont présentes. C’est un exploit."Tandis que côté flamand, on se félicitait : "C’est très bon. Les francophones acceptent ce qu’ils ont toujours refusé : revoir en profondeur la loi de financement. Il est temps de se responsabiliser et d’accepter que les Régions aient autre chose que de l’argent de poche. Nous sommes des adultes."

A voir désormais comment le préformateur va pouvoir rattrapper le fiasco de mardi soir. Elio Di Rupo peut-il encore raccomoder les fils d’une négociation sur Bruxelles-Hal-Vilvorde qui apparaît si pas désespérée, à tout le moins fort mal embarquée. Réponse ce mercredi...

dimanche 22 août 2010

Bruxelles n'est pas la Flandre et encore moins la propriété de la Flandre.

Pour les bruxellois, il est hors de question de subir des ingérences de la Flandre dans notre vie. Nous savons avec certitude qu'ils ne veulent pas notre bien mais l'argent et le prestige de Bruxelles.