Francophones de Bruxelles et de sa périphérie, nous attirons votre attention sur les agissements "anti-francophones" des politiciens et extrémistes du Nord. Ne soyons plus les victimes de leur duplicité !
jeudi 21 octobre 2010
Aberrations et culot flamingant.
Une perle de l'hypocrisie flamingante. Il faut être attentif ....
Des élections dans le climat actuel se traduiraient par un tsunami flamingant vivement recherché par la NVA et les autres partis "couchés" devant les "maîtres à la boche" que sont les VB et NVA.
Toutes leurs gesticulations, mensonges et duplicité est calculée et bien programmée pour s'emparer d'un maximum de la Belgique en direction de la Flandre et annexer par tous les moyens BHV à une dictature flamingante.
Ces agresseurs sont digne des pratiques de leurs cousins germains des années 1930 et 1940. C'est clair, net et flagrant.
Aucun scrupule à écraser et dépouiller les francophones de Belgique. Après les boches, nous aurons des flamingants chez nous.
Siegfried Bracke NVA ne va faire qu'une bouchée Magnette PS...
En 1981, il débute comme producteur radio auprès de la BRT. En 1983, il devient journaliste aux infos radio. En 1990, il passe à la télévision et devient un des journalistes les plus connus et les plus puissant de la VRT.
Il a la réputation d'être très critique et adore poser des questions embarrassantes. Il apparaît depuis le 25 novembre 1991 toujours avec son noeud-papillon, sa marque de fabrique. Siegfried Bracke enseigne régulièrement le journalisme à des hautes écoles flamandes.
Il est un orangiste, qui prône la réunification de la Belgique et des Pays-Bas sous le règne de la maison d'Orange. Il prône donc un divorce belge confédéral renversé. Il est aussi franc-maçon.
En 1985, il obtint le Prix du Journalisme flamand pour un de ses reportages. Il épousa en septembre 2005 Marina Nuyts.
De la mi-2007 à la mi-2009, il fut rédacteur en chef de magazines d'information de la VRT.
Depuis janvier 2010, il présente le programme politique à succès Bracke op vrijdag. Il présente essentiellement des programmes politiques de la VRT, tels que Terzake sur Canvas, De zevende dag et Bracke en Crabbé.
Lors d'une conférence de presse le 4 mai, il fait part de son passage à la politique réelle en tant que tête de liste pour N-VA en Flandre orientale lors des législatives anticipées de 2010. Il est élu avec 101.940 voix de préférence.
En 2006, il révèle qu'il ne compte que quatre doigts de pied à chaque pied.
Bracke est membre de la loge gantoise Bevrijding, qui fait partie du Grand Orient de Belgique.
Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Siegfried Bracke de Wikipédia en français (auteurs)
mercredi 20 octobre 2010
SOS Bruxelles.
lundi 18 octobre 2010
La Flandre ne lâchera jamais Bruxelles !!!
Bruxelles et sa population ont du subir une domination fasciste de 1940 à 1945. Nous ne voulons absolument pas renouveler l'expérience avec les flamingants. Buiten ....
Kris Peeters: "La Flandre ne lâchera jamais Bruxelles"
Le ministre-président flamand a livré une interview dans Le Soir de ce samedi, rappelant que Bruxelles était la capitale de Flandre et le resterait.
"C'est quoi, la majorité francophone à Bruxelles?"
Il a aussi réfuté la thèse faisant de Bruxelles une ville majoritairement francophone. "C'est quoi la 'majorité francophone'", se demande-t-il en notant que Bruxelles est "une ville très riche, composée de très nombreuses nationalités".
Peeters exige une vaste réforme de l'Etat
M. Peeters a par ailleurs souligné qu'il n'était pas favorable à la scission de la Belgique, mais a réaffirmé son exigence d'une vaste réforme de l'Etat. "Quand le ministre-président flamand dit qu'il ne le souhaite pas, c'est quand même un signal qui n'est pas insignifiant? La Flandre veut surtout une réforme d'Etat profonde", a-t-il fait valoir.
Flamandisation de l'armée.
Un colonel dénonce la "flamandisation" de l'armée
Le commandant de la base aérienne de Florennes dénonce la "flamandisation de l’armée", une déclaration peu habituelle de la part d’un militaire de haut rang sur les questions politiques et communautaires.
Belgique - Politique dim 17 oct, 8:44
Le colonel Luc Gennart, commandant la base aérienne de Florennes, dénonçait la "flamandisation" de l’armée hier soir à la télévision publique. Il explique qu’au sein de l’état-major général, les décisions sont prises sans tenir compte de l’avis des francophones. De plus, ces derniers ne sont pas placés à des postes de décision, mais dans "des postes annexes" : "Ils sont soit envoyés dans les écoles, soit envoyés à l’étranger", explique le colonel au micro de Florin Hossu pour Bel RTL.
Enormément d'entente mais aucune place pour les francophones
Il admet toutefois qu’au niveau de l’armée, il y a "énormément d’entente" entre Flamands et francophones "On opère de manière tout à fait remarquable. Notre grande force, c’est d’être ensemble, unis, mais malheureusement, au niveau de la hiérarchie, il y a un mouvement de flamandisation qui exclut toute réflexion francophone".
Résumé de la note de De Wever. Qu'il aille se faire f ....
C'est le journal "La Libre Belgique" qui a publié, le premier, ces informations sur son site internet. Ce document, que vous pouvez lire en intégralité en cliquant ici, est découpé en plusieurs chapitres. Ce texte fait une cinquantaine de pages. Pour Bart De Wever, ce n'est pas à prendre ou à laisser : on peut négocier certains éléments. Mais pas les fondements du texte, qui briserait l'équilibre de l'ensemble.
Point par point
- - Ethique et réorganisation
Dans "la note De Wever", Parlement fédéral, Sénat et gouvernement fédéral sont soumis à une cure d'amaigrissement. Le nombre de ministres sera réduit. On pourrait aller jusqu'à supprimer la fonction de secrétaire d'Etat.
Le Parlement, lui, verrait le nombre de questeurs diminuer, le salaire des parlementaires réduit, la retraite des députés calculée sur le modèle du service public. La rentrée parlementaire serait fixée au 15 septembre.
Le Sénat, lui, aurait moins de pouvoir, sans qu'il soit question de le supprimer. Bart De Wever estime qu'une modernisation de la fonction royale doit être mise en oeuvre. Enfin, un code de déontologie devrait être rédigé (visant, entres autres, les investissements boursiers de la part des membres du gouvernement).
- - Emploi et marché du travail
Contrôle des chômeurs et accompagnement de ces derniers passeraient complètement sous l'égide des Régions, comme les ALE, les congés payés, les interruptions de carrière et l'activation des chômeurs (avec une enveloppe de 2,5 milliards d'euros étalée sur 10 ans, sur le modèle proposé par le sp.a).
- - Loi spéciale de financement
Sur la table, 16 milliards de transferts du fédéral aux entités fédérées. Si on ne touche pas à la TVA ou l'impôt des sociétés, l'IPP deviendrait la clé de répartition. Le mécanisme de solidarité serait basé sur le modèle allemand : une correction à la hausse pour l'entité la plus pauvre avec un plafond, celui de la moyenne nationale. Les douze principes ayant balisé les négociations du "groupe de haut niveau" seraient respectés, d'après la note.
- - Justice
Bart De Wever propose un transfert total (sauf du Conseil d'Etat) de cette compétence du fédéral vers les entités fédérées.
- - BHV et Bruxelles
Le noeud gordien de la scission de BHV a fait tomber le dernier gouvernement, "Bruxelles ne sera jamais lâchée par la Flandre" déclarait Kris Peeters. C'est ce chapitre-ci qui sera de passer difficilement chez les négociateurs francophones. Le clarificateur royal propose une scission "verticale" pour les 29 communes de BHV dépourvues de facilités linguistiques, "horizontale" pour les six communes à facilités. A chaque scrutin, dans les six communes, l'électeur pourrait choisir s'il vote pour une liste bruxelloise ou flamande.
La circulaire Peeters devrait être supprimée, remplacée par une loi spéciale. Tous les trois ans, les francophones devraient demander l'envoi de leurs documents en français. Bart De Wever propose la possibilité d'ajouter un conseiller francophone à la chambre flamande du Conseil d'Etat. La scission de l'arrondissement judiciaire de BHV suivrait la proposition CD&V.
Pour Bruxelles, le clarificateur suggère un refinancement étalé dans le temps : 100 millions en 2011, le double en 2012, le triple en 2013. A quoi s'ajouterait 50 millions structurels conditionnés à la réorganisation de la région bruxelloise.
HM
De Wever et les flamingants sont insupportables !
Pourtant, le président de la N-VA n'a pas rendu un rapport, copie conforme du programme de son parti. Il a rédigé un texte de synthèse dans lequel tous les partis flamands, tous les éditorialistes du nord du pays et donc une large partie de l'opinion publique de Flandre peuvent se retrouver. Comme tous restent très peu critiques avec l'homme le plus populaire de Flandre quand celui-ci déclare qu'il fait d'importantes concessions... tous le croient sur parole !
Si le rapport au Roi (le dernier qui lira le texte) rassemble au Nord du pays, il fait l'unanimité contre lui au Sud. Bart De Wever, un moment isolé, regroupe ainsi autour l'essentiel de l'opinion publique flamande.
Mais les partis francophones ont sans doute réagi dans la précipitation. Olivier Maingain (FDF, vice-président du MR) est le premier à réagir et dans la foulée, le cdH parle de "position unilatérale peu susceptible de rapprocher", le PS dénonce "le caractère unilatéral, parfois provocateur" et pour Ecolo "il s'agit d'une note partiale et déséquilibrée".
A la lecture des 52 pages du rapport, on est saisi en effet par la portée unilatérale du texte : Bart De Wever organise clairement la structure de la Belgique nouvelle sur un modèle largement confédéral où dominent deux communautés, à l'autonomie fiscale avérée avec Bruxelles sous tutelle et un état fédéral réduit à la portion congrue. Quasiment tous les mécanismes de solidarité sont appelés à se réduire drastiquement et le sous-financement de la Wallonie et de Bruxelles est cyniquement organisé. On peut chercher en vain dans ce rapport, les concessions faites aux Francophones... si ce n'est que Bart De Wever "concède" effectivement de ne réaliser que 70 ou 80% de ses revendications !
Mais si l'analyse des partis francophones est recevable, la réaction très épidermique de ceux-ci risque de perturber la stratégie future. Avec une telle précipitation, les partis flamands ont beau jeu de dire que le "NON" francophone était prêt, quelque soit le texte rédigé par Bart De Wever. Le président de la N-VA voulait présenter l'image d'un pays coupé en deux par la faute des francophones. PS, CDH et Ecolo se sont précipités dans le piège.
Certes, sur le fond, cela ne changera rien. Il est maintenant avéré que la N-VA (bien qu'elle s'en défende) ne peut faire de compromis avec des formations francophones. Le seul que les nationalistes aient accepté c'est celui du contournement d'Anvers (pont ou tunnel ?).
Depuis le 13 juin, deux conceptions de la Belgique se font face. Elles n'ont guère varié depuis.
Philippe Walkowiak
Bruno De Wever; la périphérie de Bruxelles n'est pas flamande !
La périphérie n'est pas flamande, selon Bruno De Wever Jusqu'à 80% de francophones habitent dans les communes flamandes de la périphérie bruxelloise. "On ne peut pas développer de structure d'Etat contre les gens. Bruxelles doit être élargie comme monnaie d'échange pour une plus grande autonomie socio-économique de la Flandre et la séparation de la sécurité sociale", a déclaré l'historien. Le plaidoyer rejoint les demandes de plusieurs politiciens francophones, mais n'est pas négociable pour beaucoup de partis flamands. Bruno De Wever est conscient des critiques auxquelles il s'expose. "En tant que professeur d'université, je peux me permettre de me laisser accuser et humilier. Mon gagne-pain ne dépend pas de l'électeur", a-t-il répondu en substance sur Canal Z. (belga) |