samedi 20 novembre 2010

Ouvrons les yeux !

Ouvrons les yeux !

Damien Thiéry Député fédéral ; bourgmestre non nommé de Linkebeek
Mis en ligne le 01/09/2010
Accepter ce qu’il se passe maintenant, c’est accepter de prendre des coups de bâton sans mot dire, sous prétexte qu’il vaut mieux se faire battre par son mari plutôt que d’envisager un divorce à l’amiable. Une opinion de Damien Thiéry, bourgmestre non-nommé
Pouvons-nous décemment, en tant que responsables politiques vivant dans une région ou le gouvernement en place bafoue régulièrement la démocratie et le droit des gens, accepter que, comme en 1963, le gouvernement fédéral impose aux habitants des communes de la périphérie, sans les consulter, une solution "négociée" dans le cadre de la réforme de l’Etat qui ne leur convient pas ?
Oser dire que nous nous dirigeons vers un chaos institutionnel si on ne trouve pas à tout prix un accord dans les plus brefs délais est erroné. Mais cette formule est porteuse médiatiquement, et politiquement, bien sûr. Souvenons-nous de la formule magique d’Elio Di Rupo lors des dernières élections régionales, "voter MR c’est aller vers un bain de sang social " C’était très fin mais très machiavélique aussi Ce qui est dangereux, c’est qu’il s’agit tout simplement d’une formule pour faire peur au peuple, le mettre au pied du mur, le déstabiliser. C’est une formule qui prévient déjà les citoyens des concessions unilatérales que les francophones auront dû faire pour sauver le pays dont le principal interlocuteur flamand ne veut plus !
Ouvrons les yeux ! Il faut une fois pour toute rouvrir le débat de l’élargissement de BXL et briser le carcan de Bruxelles en Flandre. Je rappelle que c’était la volonté de tous les présidents de partis francophones avant les élections, qu’en reste-t-il aujourd’hui? Elle avait bon dos la campagne électorale Aurait-on une fois de plus leurré l’électeur ? Ou sommes-nous clairement tributaires d’un nationalisme grandissant et irrévocable au nord du pays ? La population ne devrait-elle pas être consultée ou, au moins, les élus de toutes les communes concernées ? Je vais d’ailleurs prendre personnellement l’initiative de contacter tous les élus francophones de la périphérie pour savoir ce qu’ils pensent de la situation actuelle et s’ils sont d’accord de se faire entendre, ensemble, auprès des présidents de partis francophones.
On ne parle pour l’instant que de concessions francophones. Que concèdent De Wever et ses amis ? Il faudra probablement, à un moment donné, oser parler d’un plan B plutôt que de tout concéder dans un plan A et par après devoir constater que tout a été mis en place pour que le plan B soit malgré tout inévitable.
Pour rappel, la stratégie de Bart De Wever durant la campagne électorale était claire :
1. d’abord scinder BHV, et c’est déjà pour lui derrière le dos. Sans concession aucune. Ce qui bloque, entre autres, la négociation pour l’instant ;
2. faire de Bruxelles une ville (située en Flandre) et non plus une région, sauf si elle est mise sous tutelle flamande ;
3. faire de la frontière linguistique une frontière d’Etat.
Penser que Bart De Wever ait changé d’avis depuis lors est un leurre et est une erreur tant politique que stratégique. Chaque fois qu’on est proche d’un accord, Bart De Wever trouve une autre revendication. Il porte seul la responsabilité de cet échec, mais, plus surprenant encore est la position du CD&V, plutôt fédéraliste, qui semble le suivre à 100%.
Que dire de la dernière proposition Di Rupo ?
- scission BHV contre quelques droits pour les six communes à facilité only ! Rien pour les francophones hors communes à facilités ;
- possibilité de vote pour les habitants des communes à facilités à BXL. Questions : durée dans le temps ? Démarche administrative pour droit d’inscription ? Un candidat d’une commune à facilités va-t-il pouvoir se présenter à BXL ? ;
- assouplir les circulaires Peeters & Co (c’est aussi un chèque en blanc ! Qui dit qu’une nouvelle circulaire de la Région flamande ne va pas venir pour confirmer la première ?) ;
- documents administratifs dans la langue de l’intéressé accordés pour six ans, plutôt qu’une demande systématique. C’est bien la preuve qu’à terme la Flandre envisage toujours la fin des facilités ! ;
- Les recours traités par une chambre bilingue du Conseil d’Etat - maigre avantage, si c’en est un réellement
- La communauté urbaine est un leurre. Un élargissement est une réalité (favorable au financement de la région BXL) ;
- Une solution pour la nomination des bourgmestres de la périphérie, mais laquelle et quand ? La nomination d’un élu au poste de bourgmestre est un droit démocratique, et la démocratie ne se négocie pas ! ;
En attendant, qu’en est-il de :
- l’élargissement de BXL cher aux présidents de partis FR et promis avant les élections ;
- convention cadre sur la protection des minorités ;
- demander ce que le peuple veut réellement, ce qui reste la base de travail dans un pays démocratique (consultation populaire) ;
- cette demande de l’argent frais pour BXL contre le droit des gens en périphérie ;
- la compétence de la communauté française en matière de soins de santé et d’activités socioculturelles et sportives sans oublier l’enseignement en périphérie ;
- l’interdiction d’inventer des circulaires qui interprètent les lois linguistiques élaborées au niveau fédéral ;
- des facilités bétonnées et re-bétonnées cinq fois dans la Constitution, contre marchandage des droits des francophones de la périphérie, toujours eux.
Je pense que nous avons définitivement déjà beaucoup trop concédé sans rien recevoir de concret. Nous aussi il nous faut des garanties, surtout pour BXL et sa grande périphérie. Nous sommes demandeurs de donner à Bruxelles sa véritable dimension. Demandons aux Bruxellois ce qu’ils veulent et, ensuite, négocions en mettant nous-mêmes nos recommandations
BDW disait hier sur Canvas que le front des Flamands était rompu par le SP.A de Mme Genez. Celui des francophones n’a plus jamais existé depuis le 13/06/2010. Mettons nos rancœurs de personnes ou de formations politiques francophones de côté et accordons-nous dans l’intérêt de tous les citoyens francophones, wallons, bruxellois et de la périphérie.
Nos propositions ne vont pas à l’encontre de la Flandre, elles laissent entrevoir une solution dans le droit et l’intérêt de tous ! Pourquoi BDW ne veut-il plus discuter qu’avec Di Rupo ? Madame "non" Milquet aurait-elle des revendications trop fortes pour sa bourgmestre de Rhode-St-Genèse ? Le PS n’a plus d’intérêt électoral en périphérie, par contre il a la main à BXL. Est-ce une raison suffisante pour laisser tomber le sort de 150 000 francophones en périphérie ? Il devrait comprendre que le sort des deux est étroitement lié. Il faut sortir BXL du carcan de la Flandre et renforcer le statut de cette région par son élargissement Accepter ce qu’il se passe maintenant, c’est accepter de prendre des coups de bâton sans mot dire, sous prétexte qu’il vaut mieux se faire battre par son mari plutôt que d’envisager un divorce à l’amiable.
Aurions-nous si peur, sommes nous aussi lâches ? Accepterons-nous de vendre 150 000 personnes dans la périphérie contre 500 000 000 d’euros pour la région bruxelloise ? Et quand l’argent ne sera plus ? Ne sera-ce pas au tour de BXL de se faire désosser, avant le reste du pays ?
C’est cette réflexion que nous devons avoir. Repartir d’une feuille blanche, et savoir ce que nous voulons encore réellement faire ensemble ! Croire qu’on va résoudre les soucis communautaires en deux mois alors qu’ils existent depuis un siècle, c’est croire qu’on va pouvoir faire tenir un bouquet de roses fleuries dans un vase pendant six mois sans qu’elles ne dépérissent !
Je fais donc un appel pressant à l’unité et l’union des francophones : laissons nos différends au placard et voyons comment contrer l’impérialisme de la NV-A, seul parti à ne pas vouloir avancer dans une réforme juste de l’Etat et acceptable pour tous les Belges, car ce parti ne veut pas (plus) écouter ses interlocuteurs. Tout ce qui est sur la table est largement défavorable aux francophones, beaucoup plus que ce qui était proposé en 2005, lorsque nous étions, MR-FDF compris, sur le point de trouver un compromis que le SPa "Spirit", ancienne branche de la Volksunie, a fait capoter.
Repartir en négociation maintenant, même sans la NV-A comme le proposait Bart De Wever hier soir dans l’émission "Panorama", serait une erreur magistrale, car 90% des revendications flamandes sont atteintes, les 10% restant seulement du coté francophone. Il est temps de faire ses comptes et de se poser les bonnes questions.

Il est légitime de brûler des symboles de la peste jaune.

Des drapeaux flamands détruits à Fourons

Belga
Mis en ligne le 12/06/2010
Le bourgmestre constate qu'il n'y avait eu cette année aucun problème avec les francophones et déplore que Joëlle Milquet ait allumé la mèche.
Dans la nuit de vendredi à samedi, des vandales ont détruit plusieurs drapeaux flamands, à l'effigie du lion flamand, à Fouron-le-Comte et à Mouland, a fait savoir le bourgmestre Huub Broers (Voerbelangen) samedi, pointant du doigt les francophones de la localité. Selon lui, ce serait un courrier de la présidente du cdH, Joëlle Milquet, distribué dans la localité et invitant les citoyens à aller voter à Aubel, qui aurait mis le feu aux poudres. Le bourgmestre constate qu'il n'y avait eu cette année aucun problème avec les francophones et déplore que Joëlle Milquet ait allumé la mèche.
L'échevin francophone José Smeets (Retour aux Libertés, affirme ne pas être au courant de ces actes de vandalisme. "Il n'y avait en tout cas aucun mot d'ordre de notre part mais je peux comprendre la colère des gens. Ils en ont marre que la commune ne reconnaisse plus leur droit aux facilités", a-t-il expliqué à Belga.
Il remarque que seuls les drapeaux flamands ont été visés et non les drapeaux belges et européens.José Smeets dénonce l'attitude du bourgmestre flamand. "Huub Broers dit que Fourons est une commune flamande et que les facilités doivent finir. Elu CD&V, il montre son rapprochement avec la NV-A. Il montre enfin sa vraie face, en étant de plus en plus extrémiste flamingant", a-t-il encore remarqué.
Pour lui, en dénonçant le tract de Joëlle Milquet incitant les francophones à voter à Aubel, Huub Broers méconnaît "les droits démocratiques qui le dérangent".

"L'élargissement de Bruxelles est une position défendable"

MÉDIATEURS

De Wolf : "l'élargissement de Bruxelles? Une position défendable"

Ruggieri Gianni
Mis en ligne le 07/09/2010
Vincent De Wolf (MR) concernant les positions du FDF au sein du MR : "Le préalable, c'est vraiment la nomination des Bourgmestres; l'élargissement de Bruxelles… c'est une position logique et défendable".
Vincent De Wolf au micro de Twizz
Le MR cherche à être invité autour de la table des négociations pour la formation du prochain Gouvernement fédéral. A ce sujet, la presse quotidienne évoque le débat qui s'est tenu lundi au Bureau du Mouvement Réformateur sur la stratégie à adopter et les conditions à mettre sur la table.
Dans ce contexte, Vincent De Wolf, Député bruxellois et Chef de groupe adjoint MR, estime que le PS, le Cd&h et ECOLO ne défendent pas assez l'intérêt des Bruxellois dans la mesure où ils tiennent le MR à l'écart des discussions : "Il y a un sentiment d'injustice et de dépit parce que nous avons été en 2007 les grands vainqueurs des élections… et Didier Reynders dirigeait l'ensemble des francophones dans leur rencontre… nous avons eu l'élégance de faire des réunions préalables où l'ensemble des francophones pouvaient donner leur avis…".
Quant à la rencontre entre le MR et la Nv-a (et d'autres partis flamands), Vincent De Wolf estime que : "… Ce n'est évidemment pas fait dans le dos de qui que ce soit… est-ce qu'on devient fou dans ce pays ? Nous sommes un parti démocratique, on a encore le droit de rencontrer d'autres mandataires pour discuter de l'avenir du pays et sonder les positions des uns et des autres, cela apparaît légitime et responsable...".
Quid, sur le fond, de l'élargissment de Bruxelles, thème cher au FDF ? "Le préalable, c'est vraiment la nomination des Bourgmestres, l'élargissement, oui idéalement, est-ce que c'est possible sur le terrain politique ? Je crois que cela peut-être un départ de négociation… L'élargissment de Bruxelles… c'est une position logique, on n'est pas demandeur au départ de la scission, c'est une position logique et défendable".
Vincent Dewolf, député bruxellois MR, s'est confessé ce mardi matin pourTwizz Radio. Une confession sous forme de coup de gueule contre l'attitude du PS dans les négociations du moment. Connaissez-vous la posture du singe hurleur ? Découvrez-la avec ce confessional.
Ecoutez et réécoutez Twizz Radio grâce au Twizz Replay (http://www.twizz.be)

Rappel de l'intolérance flamingante quant aux citoyens belges francophones.


De Wever : les francophones de Flandre sont des "immigrants"

Mis en ligne le 02/08/2008
Sur les ondes de la RTBF, le président de la NV-A s'est livré sans langue de bois.
Pour le président de la NV-A, Bart De Wever, il n'existe pas de minorité francophone en Flandre, mais seulement des "immigrants qui doivent s'adapter".
"Je pense qu'il n'y a pas de minorité francophone en Flandre, il y a des immigrants qui doivent s'adapter. On demande cela à des Marocains, des Turcs. On ne leur dit pas : 'Vous êtes nombreux, donc l'arabe va devenir une langue officielle'. C'est dingue", a déclaré M. De Wever sur les ondes de La Première (RTBF), où il répondait à des questions d'auditeurs.
"Nulle part dans le monde on accepte cette logique", a-t-il poursuivi, réfutant être un "homme intolérant".
"Arrêter le colonialisme"
"Tout le monde est le bienvenu en Flandre. On peut continuer à y parler français. Tout ce qu'on demande, c'est que la langue de gestion soit le néerlandais", a encore dit le président de la NV-A, en exhortant à "arrêter le colonialisme" de Bruxelles vers la Flandre.
A ses yeux, la proposition flamande d'un bilinguisme général, rejetée par les francophones dans les années 20 et 30, aurait pu "sauver la Belgique comme nation". "C'est très ironique", a-t-il ajouté.
Aujourd'hui, toutefois, il estime que la "valeur ajoutée de la Belgique est minimale", entre la "douce évolution" qu'il dit observer aujourd'hui vers les régions d'une part, et vers l'Europe d'autre part.
Quant à Bruxelles, "ville historiquement flamande qu'on a francophonisée", c'est là que se trouve "l'identité belge qu'on a inventée au XIXe siècle", estime-t-il. Et"puisque c'est l'enfant de la Belgique, je pense que les deux parents doivent s'en occuper", a-t-il dit à propos de la Flandre et de la Wallonie, refusant de reconnaître la Région bruxelloise comme Région à part entière. (Belga)

Les pratiques de la NV-A sont dignes de l'Occupation allemande. (N'oublions pas !!!)


mercredi 31 mars 2010 à 09h31

"Les pratiques de la N-VA sont dignes de l'Occupation allemande"

Les propos sont d'Olivier Maingain, le patron du FDF. Ils confirment ainsi ceux du Wall Street Journal, qui qualifiaient l'attitude flamande de "fascisme rampant".
Olivier Maingain, président du FDF.
Olivier Maingain, président du FDF. © Belga
Le président du FDF Olivier Maingain estime mercredi dans les colonnes de La Libre que les déclarations "qui reviennent à dire qu'on va nommer des bourgmestres qui n'ont pas la confiance des électeurs" sont "des pratiques dignes de l'Occupation allemande".
L'arrêté de non-nomination des candidats-bourgmestres des communes à facilités de Crainhem, Linkebeek et Wezembeek-Oppem a été assorti mardi d'une demande aux communes de formuler une proposition d'"autres candidats acceptables". Ce qui fait bondir le patron du FDF: "Où va-t-on? Ce sont des pratiques, et j'ose l'expression qui est très forte, dignes de l'Occupation allemande. C'est comme sous l'Occupation lorsqu'on désignait des bourgmestres parce qu'ils étaient les alliés de l'occupant! C'est une comparaison forte mais c'est visiblement l'état d'esprit de la N-VA... Et c'est insupportable. Si les gens élus ne conviennent pas au pouvoir flamand, ils doivent être évincés...", commente M. Maingain.
"Après les décrets flamands refusant l'accès à la propriété et au logement social dans certaines communes aux francophones, aux Européens et à tous ceux qui ne sont pas d'expression néerlandaise, le gouvernement flamand s'enfonce dans un nationalisme que le Wall Street Journal avait, à juste titre, qualifié de 'fascisme rampant'.

Elargir les frontières de Bruxelles

En tous les cas, cette nouvelle sortie de la N-VA n'aidera pas Olivier Maingain à modérer ses revendications dans le dossier BHV. Pour lui, "cette nouvelle agression" confirme qu'il n'y aura de pacification communautaire en périphérie qu'après le rattachement d'au moins six communes à Bruxelles. "Les francophones ne peuvent en aucun cas accepter une réforme de l'Etat ou un accord sur Bruxelles-Hal-Vilvorde sans que cette exigence ne soit rencontrée".

Le CD&V mécontent

C'est donc la tâche de Jean-Luc Dehaene qui se voit désormais fortement compliquée, alors qu'il doit remettre dans quelques jours le résultat de ses travaux pour une solution équitable au problème de BHV. Le CD&V n'a d'ailleurs pas manqué de se fâcher quelque peu sur son partenaire au gouvernement flamand, la N-VA. Le "timing" du nouvel arrêté de non-nomination des trois candidats-bourgmestres des communes à facilités est selon lui "très malheureux".
Le porte-parole du parti a par ailleurs souligné la "similitude frappante" entre la décision et surtout le timing adoptés par Geert Bourgeois et ceux adoptés par son prédécesseur Marino Keulen (Open Vld) à la fin de l'année 2008. Celui-ci avait décidé pour la deuxième fois de refuser la nomination des trois bourgmestres alors que le ministre-président flamand Kris Peeters s'occupait activement du dialogue institutionnel dans le cadre de la réforme de l'Etat. Ce coup-ci, ça tombe quelques jours avant que Jean-Luc Dehaene ne remette ses travaux sur BHV.
Le porte-parole du CD&V a ouvertement regretté le timing du ministre flamand des Affaires Intérieures Geert Bourgeois "d'autant plus qu'il n'y a pas de raison contraignante à prendre un arrêté à ce sujet maintenant". Par son intermédiaire, le CD&V a invité toutes les partis impliqués dans la négociation sur le dossier BHV à garder "leur sang froid" afin de "ne pas mettre en péril la concertation constructive".
LeVif.be, avec Belga

vendredi 19 novembre 2010

On ne rit pas avec "ça" .......

Le flamingants notoire Eric Van Rompuy qui manque d'humour et se fâche quand Philippe Geluck lui propose de partager la côte belge avec les francophones doit étouffer de rage ....
Vincent Peiffer y ajoute une bonne couche qui devrait irriter nombre de flamingants et achever Eric Van Rompuy.

jeudi 18 novembre 2010

Armée : bras de fer communautaire.


Ce que les flamands reprochent aux Francophones.

Chers visiteurs du site, il faut absolument lire le contenu de cet article paru dans un Paris Match de novembre 2010 pour vous rendre compte des complexes et frustrations linguistiques des flamingants qui, s'ils le pouvaient, obligeraient le monde à apprendre leur langue.

Hors il se fait qu'aucun pays de par le monde ne trouve utile d'apprendre cette langue inutile pour eux, ce qui frustre les flamingants qui eux, sont obligés d'apprendre d'autre langues .....  Alors on se venge sur les francophones de Belgique qui eux, n'ont pas de complexes et se moquent pas mal des flamingants et leurs frustrations.

Il est honteux de d'obliger les francophones d'apprendre le flamands alors que cette population nous harcèle, persécute, nous insulte et pratique la discrimination par des lois comme les nazi vis-à-vis de Juifs. Les flamingants ne méritent pas notre respect.

Ne courbez pas l'échine devant ces fascistes !!!!!