Francophones de Bruxelles et de sa périphérie, nous attirons votre attention sur les agissements "anti-francophones" des politiciens et extrémistes du Nord. Ne soyons plus les victimes de leur duplicité !
lundi 26 décembre 2011
lundi 12 décembre 2011
La scission de la Belgique !!!???
Le plan B d’Elio Di Rupo : la scission de la Belgique
lundi 12 décembre 2011 à 11h52
Le journal De Morgen révèle ce lundi le contenu d’une réunion confidentielle qui a eu lieu le dimanche 4 septembre 2011, dans l’appartement bruxellois d’Elio Di Rupo, alors formateur.
© Belga
En plus du formateur lui-même, étaient présents à cette réunion: Anne Poutrain, la conseillère de Di Rupo, le président du MR, Charles Michel et le président du FDF, Olivier Maingain.
Pas satisfait du compromis trouvé sur la scission de l’arrondissement judiciaire de Bruxelles-Hal-Vilvorde, Olivier Maingain aurait exigé de Charles Michel qu’il fasse sauter les négociations. « Il y a des choses plus importantes que BHV, comme la sécurité sociale », aurait alors déclaré Elio Di Rupo. Ce à quoi Maingain aurait répondu : « Mais croyez-vous vraiment que toutes ces concessions sur BHV vont sauver le pays pour 10 ou 20 ans ? »
C’est alors que vient la réponse surprenante d’Elio Di Rupo : « Non, mais nous devons faire un choix. Et après l’accord institutionnel, les francophones se mettront à travailler ensemble sur un plan B. C’est une certitude. » Par plan B, comprenez la fin de la Belgique.
Nous supposons que le journal De Morgen a vérifié ses sources et puisqu’aucun des participants n’a envoyé de démenti, nous pouvons conclure qu’Elio Di Rupo, aujourd’hui Premier ministre, continue à travailler de concert avec les francophones, sur le plan B.
Si Elio Di Rupo était d’une grande honnêteté, il répéterait ses propos devant la Chambre de représentants. On pourrait alors apporter les modifications nécessaires à son plan B et le mettre en application.
Rik Van Cauwelaert, directeur du Knack.
Pas satisfait du compromis trouvé sur la scission de l’arrondissement judiciaire de Bruxelles-Hal-Vilvorde, Olivier Maingain aurait exigé de Charles Michel qu’il fasse sauter les négociations. « Il y a des choses plus importantes que BHV, comme la sécurité sociale », aurait alors déclaré Elio Di Rupo. Ce à quoi Maingain aurait répondu : « Mais croyez-vous vraiment que toutes ces concessions sur BHV vont sauver le pays pour 10 ou 20 ans ? »
C’est alors que vient la réponse surprenante d’Elio Di Rupo : « Non, mais nous devons faire un choix. Et après l’accord institutionnel, les francophones se mettront à travailler ensemble sur un plan B. C’est une certitude. » Par plan B, comprenez la fin de la Belgique.
Nous supposons que le journal De Morgen a vérifié ses sources et puisqu’aucun des participants n’a envoyé de démenti, nous pouvons conclure qu’Elio Di Rupo, aujourd’hui Premier ministre, continue à travailler de concert avec les francophones, sur le plan B.
Si Elio Di Rupo était d’une grande honnêteté, il répéterait ses propos devant la Chambre de représentants. On pourrait alors apporter les modifications nécessaires à son plan B et le mettre en application.
Rik Van Cauwelaert, directeur du Knack.
La haine flamingante est minable et absurde !
Armes wallonnes : attention, dossier sensible
lundi 12 décembre 2011 à 10h01
La police fédérale belge a passé commande de 20.000 pistolets Smith & Wesson MP 9 aux Etats-Unis ? Les dents wallonnes grincent face au camouflet infligé à la FN Herstal. Les armes wallonnes sont, plus que jamais, un dossier épineux.
La police fédérale belge a passé commande aux Etats-Unis de 20.000 pistolets Smith & Wesson MP 9, soit huit fois plus qu'annoncé voici six mois, indique ce dimanche La Dernière Heure. Le député wallon et sénateur de Communauté Richard Miller (MR) juge «incompréhensible» que la FN Herstal ait pu rater un contrat de cette importance (lire ci-après).
Toujours en matière d’armes wallonnes, le gouvernement régional planche depuis avril 2010 sur une réforme de la procédure d'autorisation de l'exportation d'armes. Le projet fait apparemment débat entre les composantes PS, Ecolo et cdH de la coalition… et suscite toujours l'opposition farouche des 3.000 travailleurs et des 30 entreprises du secteur.
Un dossier des plus sensibles : on voit en effet, sur le graphique ci-dessus, que si le nombre de licences a quasiment doublé depuis 2004 (de 618 à 1.137), le montant a, lui, chuté entre 2009 et 2010.
20.000 Smith & Wesson pour la police : «Incompréhensible que la FN passe à côté !»
Richard Miller juge donc «incompréhensible» que la FN Herstal ait pu rater un contrat de l'importance de celui décroché par la société américaine Smith & Wesson avec la police fédérale belge. Le député interrogera Jean-Claude Marcourt, ministre wallon de l'Economie, et relaiera le dossier au Sénat.
Lors d'une question posée en mai dernier à l'ancienne ministre de l'Intérieur, Annemie Turtelboom, Richard Miller s'était entendu dire que la FN n'avait formulé «aucune réaction» au contenu d'un document reprenant diverses remarques relatives aux qualités et manquements des armes proposées par les soumissionnaires du marché. Or, la «fiabilité» des armes figurait parmi les critères d'évaluation.
«Cet échec, dans le chef d'une entreprise dont l'actionnariat est la Région wallonne, n'est pas seulement dommageable en termes de manque à gagner, mais aussi en termes d'image, a réagi dimanche Richard Miller après publication de La Dernière Heure. Avec l'expérience qui est celle de l'entreprise liégeoise, on peut difficilement croire que des différences qualitatives puissent être telles qu'elles justifient le choix de l'arme américaine par les autorités fédérales» belges.
Trends.be, avec Jean-Christophe De Wasseige et Belga
jeudi 8 décembre 2011
Les flamingants furieux continuent le combat pour un grand Reich flamand ! Di Rupo et ses négociateurs se sont fait avoir comme des bleus.
N-VA zal Di Rupo keihard bekampen: 'dit is niet onze premier'
donderdag 08 december 2011 om 11u32
De N-VA heeft in de kamer keihard uitgehaald naar de regering Elio Di Rupo. De andere partijen verwijten de N-VA schijnheiligheid, volksverlakkerij en leugenachtigheid.
Jan Jambon © Belga
"Dit is niet onze regering. Dit is niet onze premier. Dit is een door Franstaligen gedomineerde belastingregering die in deze Kamer gesteund wordt door een overgrote meerderheid van de Franstaligen en een minderheid van de Vlamingen".
Dat heeft N-VA-fractieleider Jan Jambon in de Kamer verklaard tijdens het debat over de regeerverklaring die premier Elio Di Rupo aflegde. De N-VA laat geen spaander heel van het regeerakkoord en zal het volgens Jambon "keihard bekampen".
'Schijnheiligheid, volksverlakkerij en leugenachtigheid'
Jambon kreeg het aan de stok met de Vlaamse meerderheidspartijen, die de N-VA "schijnheiligheid, volksverlakkerij en leugenachtigheid" verwijten.
Jambon mocht als fractieleider van de grootste partij de spits afbijten in het Kamerdebat over de regeerverklaring. Zoals verwacht maakte hij het regeerakkoord met de grond gelijk. N-VA gaat dan ook keihard oppositie voeren tegen deze regering. "Want Vlaanderen verdient beter", was zijn conclusie.
'Vette vis gevraagd, geen vette regering'
Samengevat vindt N-VA dat de regering teveel nieuwe belastingen heft, te weinig bespaart, de sociaaleconomische aanbevelingen van Europa niet uitvoert, voor een slecht communautair akkoord heeft gezorgd dat Vlaanderen geld zal kosten en zelf het goede voorbeeld niet geeft door te kiezen voor 19 regeringsleden. "De Vlamingen hebben een vette vis gevraagd. Geen vette regering".
Tegenwind
Jambon kreeg felle tegenwind van de Vlaamse meerderheidspartijen Open Vld, CD&V en sp.a. Open Vld-fractieleider Patrick Dewael verweet de Vlaams-nationalisten de Vlaming iets wijs te maken en zelf te zwijgen over de manier waarop de N-VA 11,3 miljard zou besparen. "Pure volksverlakkerij", klonk het. (Belga/EE)
Dat heeft N-VA-fractieleider Jan Jambon in de Kamer verklaard tijdens het debat over de regeerverklaring die premier Elio Di Rupo aflegde. De N-VA laat geen spaander heel van het regeerakkoord en zal het volgens Jambon "keihard bekampen".
'Schijnheiligheid, volksverlakkerij en leugenachtigheid'
Jambon kreeg het aan de stok met de Vlaamse meerderheidspartijen, die de N-VA "schijnheiligheid, volksverlakkerij en leugenachtigheid" verwijten.
Jambon mocht als fractieleider van de grootste partij de spits afbijten in het Kamerdebat over de regeerverklaring. Zoals verwacht maakte hij het regeerakkoord met de grond gelijk. N-VA gaat dan ook keihard oppositie voeren tegen deze regering. "Want Vlaanderen verdient beter", was zijn conclusie.
'Vette vis gevraagd, geen vette regering'
Samengevat vindt N-VA dat de regering teveel nieuwe belastingen heft, te weinig bespaart, de sociaaleconomische aanbevelingen van Europa niet uitvoert, voor een slecht communautair akkoord heeft gezorgd dat Vlaanderen geld zal kosten en zelf het goede voorbeeld niet geeft door te kiezen voor 19 regeringsleden. "De Vlamingen hebben een vette vis gevraagd. Geen vette regering".
Tegenwind
Jambon kreeg felle tegenwind van de Vlaamse meerderheidspartijen Open Vld, CD&V en sp.a. Open Vld-fractieleider Patrick Dewael verweet de Vlaams-nationalisten de Vlaming iets wijs te maken en zelf te zwijgen over de manier waarop de N-VA 11,3 miljard zou besparen. "Pure volksverlakkerij", klonk het. (Belga/EE)
jeudi 1 décembre 2011
Les très vieilles rancoeurs des flamingants sont tenaces. Tout est bon pour humilier et persécuter les francophones.
Grimbergen appelle à dénoncer l'usage du français
"La commune travaille pour préserver le caractère flamand (...). Malheureusement nous constatons que tout le monde ne le respecte pas (...). Vous avez vu des publicités en français ou entendu parler une autre langue? Vous pouvez déposer plainte à la commune", peut-on ainsi lire dans le périodique communal.
L'échevin de la culture CD&V Patrick Vertongen indique qu'il s'agit d'une méprise. Les francophones sont les bienvenus à Grimbergen, ils doivent simplement apprendre le néerlandais, tempère-t-il. (mdv)
30/11/11 13h20
Hors de Flandre personne dans le monde ne s'intéresse à la langue flamande !!
Grimbergen pousse à la délation des francophones
La commune de Grimbergen appelle à la délation dans le journal communal de décembre. Elle invite à dénoncer les citoyens qui s’expriment et écrivent en français.
"La commune travaille pour préserver le caractère flamand (…) Malheureusement nous constatons que tout le monde ne le respecte pas (…) Vous avez vu des publicités en français ou entendu parler une autre langue ? Vous pouvez déposer plainte à la commune", peut-on y lire.
Jessica Nibelle et Elisabeth Wouters se sont rendues dans cette commune proche de Bruxelles ou 20% des 35.000 habitants sont francophones. Les Flamands rencontrés se sont dit surpris par cette initiative communale. "J’aime la Belgique. Je n’aime pas les extrêmes, l’extrême droite ou l’extrême gauche. Je trouve qu’entre Belges on devrait se comprendre, quel que soit l’endroit où on habite. Tout le monde devrait être le bienvenu en Flandre du moment que l’on fasse quelques efforts pour apprendre la langue", expliquait le client d’un café.
Les francophones critiquent timidement
Les francophones, eux, n'étaient pas totalement révoltés: "Je trouve ça un peu extrémiste. Mais évidemment d’autre part je me dis que les francophones devraient se dire que la langue étant le flamand, ils devraient parler le flamands", expliquait un passant. Les francophones sont-ils les bienvenus dans cette commune ? "Oui… si ce sont des touristes oui. Voilà, je ne dirai pas plus", expliquait un autre. Même le parti de l’Union des Francophones ne contestait l'initiative qu'à demi-mot: "La commune donne une mauvaise image. A quelques mois des élections certains se radicalisent", constatait simplement le conseiller communal Marc Hamelrijckx.
Du côté de la majorité communale, on a dénoncé une méprise : "Cette information est mal interprétée. Les francophones sont les bienvenus. Nous leur demandons seulement d’apprendre le néerlandais", selon l’échevin de la culture CD&V Patrick Vertongen.
lundi 28 novembre 2011
Au lieu des couleurs Bruxelloises, les flamingants ont imposé leurs couleurs. Rien d'anodin mais très hypocrite des flamingants et ces francophones molassons .....
Reconnaître un taxi bruxellois
Depuis le 1er septembre 2011, les taxis bruxellois sont obligatoirement de couleur noire et présentent, sur leurs 4 portières, une bande en damier noir et jaune mangue avec 2 Iris symbolisant la Région de Bruxelles-Capitale.
Les taxis bruxellois disposent sur leur toit d'un voyant lumineux appelé « spoutnik » à motif en damier noir et jaune mangue.
Ils sont également équipés d'une plaquette d'identification rectangulaire à 4 chiffres jaunes sur fond bleu avec l'Iris bruxellois représenté. Cette plaquette est accrochée au pare-chocs avant-droit du taxi. Le numéro d'identification du taxi est aussi reproduit sur les ailes arrière des véhicules. Vous pouvez également retrouver ce numéro d'identification taxi à l'intérieur du véhicule à deux endroits précis, sur une plaquette fixée au tableau de bord (généralement au-dessus de la boîte à gant) ainsi que sur l'affichette tarifaire plastifiée fixée au dos d'un des appuie-têtes du véhicule.
L'ensemble des taxis bruxellois sont munis d'une plaque d'immatriculation commençant par les lettres TX.
dimanche 20 novembre 2011
mercredi 16 novembre 2011
jeudi 10 novembre 2011
Le flamand angélique !!!!!
Cela fait 60 ans au moins que les francophones de Belgique sont harcelés, persécutés, spolier, etc .... par les flamingants qui se congratulent pour leurs succès.
Il faut reconnaître que nos politiciens francophones ne sont que des c.... molles devant les diktats flamingants.
Madame NON et Charles Michel ont subitement retourné leur veste et bradé BHV, sacrifié notre BHV et son 1,5Mio de francophones.
Et les flamingants n'en ont pas finis ! Ils reviendront à la charge .....
Le complexe flamingant reste vif !!!
Un pamphlet anti-CD&V dans le toutes-boîtes de la N-VA bruxelloise
- Source: L'Avenir
(Illustration)
brussel.n-va.be
ANDERLECHT - "Un cheval de Troie de la monarchie francophone en pleine Flandre". Voilà comment est décrit le CD&V dans un pamphlet reçu par certains Anderlechtois. Le tract émanerait d'un membre de la N-VA. Mais le parti nationaliste prend ses distances.
"Le CD&V est un parti de barons qui trahissent les Flamands". Ou bien "Toute religion est une forme d'esclavage de l'esprit". Ou encore: "Wouter Beke, représentant de la monarchie catholique francophone et de la nation wallonne: avec ses mensonges, il préfère le FDF extrémiste aux Flamands".
Voilà en trois extraits rapides repris sur le site néerlandophone BrusselsNieuws la teneur du tract que des Anderlechtois néerlandophones ont reçu dans leur boîte aux lettres. D'après la N-VA, ce pamphlet qui décrit le CD&V comme le "cheval de Troie de la monarchie francophone" émanerait "d'un membre isolé de la N-VA d'Anderlecht". Voilà qui fait tâche dans les alliances régionales à moins d'un an des communales.
"Contre toute éthique politique"
"Je suis tombé des nues quand j'ai vu ce tract, témoigne le parlementaire et président du groupe N-VA bruxellois Paul De Ridder sur BrusselsNieuws. Il l'a reçu de son collègue CD&V anderlechtois Walter Vandenbossche, qui l'a lui-même reçu chez lui. "C'est une campagne de caniveau à l'encontre de toute éthique politique. Ce pamphlet a visiblement comme but de semer le discrédit sur l'engagement politique et social de nombreuses personnes".
Le texte attaque aussi les médias qu'il accuse "de virer à gauche et d'influencer les bourgeois flamands". Il estime que le CD&V, "avec ses 16% de voix", n'a pas le loisir de diriger face à la "N-VA et ses 31%". Ce texte aurait été de surcroît publié dans le toutes-boîtes de contact de la N-VA bruxelloise.
Ancien du Vlaams Blok
L'éditeur responsable du texte est en fait René Demol. Ce dernier, ancien membre du Vlaams Blok, est effectivement membre de la N-VA. Dans le passé, il s'est présenté sur les listes du Blok à Anderlecht et sa fille a siégé 6 ans pour le parti d'extrême droite. "Il a lui-même décidé cette publication, regrète Paul De Ridder. Je désapprouve cette initiative personnelle comme le contenu du texte".
La N-VA assure qu'une telle initiative "ne se reproduira plus". Mais elle restera comme le signe d'effritement au sein de l'aile dure du parti nationaliste flamand.
Voilà en trois extraits rapides repris sur le site néerlandophone BrusselsNieuws la teneur du tract que des Anderlechtois néerlandophones ont reçu dans leur boîte aux lettres. D'après la N-VA, ce pamphlet qui décrit le CD&V comme le "cheval de Troie de la monarchie francophone" émanerait "d'un membre isolé de la N-VA d'Anderlecht". Voilà qui fait tâche dans les alliances régionales à moins d'un an des communales.
"Contre toute éthique politique"
"Je suis tombé des nues quand j'ai vu ce tract, témoigne le parlementaire et président du groupe N-VA bruxellois Paul De Ridder sur BrusselsNieuws. Il l'a reçu de son collègue CD&V anderlechtois Walter Vandenbossche, qui l'a lui-même reçu chez lui. "C'est une campagne de caniveau à l'encontre de toute éthique politique. Ce pamphlet a visiblement comme but de semer le discrédit sur l'engagement politique et social de nombreuses personnes".
Le texte attaque aussi les médias qu'il accuse "de virer à gauche et d'influencer les bourgeois flamands". Il estime que le CD&V, "avec ses 16% de voix", n'a pas le loisir de diriger face à la "N-VA et ses 31%". Ce texte aurait été de surcroît publié dans le toutes-boîtes de contact de la N-VA bruxelloise.
Ancien du Vlaams Blok
L'éditeur responsable du texte est en fait René Demol. Ce dernier, ancien membre du Vlaams Blok, est effectivement membre de la N-VA. Dans le passé, il s'est présenté sur les listes du Blok à Anderlecht et sa fille a siégé 6 ans pour le parti d'extrême droite. "Il a lui-même décidé cette publication, regrète Paul De Ridder. Je désapprouve cette initiative personnelle comme le contenu du texte".
La N-VA assure qu'une telle initiative "ne se reproduira plus". Mais elle restera comme le signe d'effritement au sein de l'aile dure du parti nationaliste flamand.
samedi 5 novembre 2011
mercredi 2 novembre 2011
mardi 25 octobre 2011
lundi 24 octobre 2011
Très révélateur de la mentalité et égoïsme flamand !!!!
Colruyt renonce à son atelier de découpe de viande
EdA
LEUZE-EN-HAINAUT - À la suite, semble-t-il, d’une pression syndicale côté flamand, Colruyt a renoncé à investir 10 millions € dans le zoning de Leuze Europe 2.
Le groupe Colruyt a renoncé à son projet de construction d’un atelier de découpe de viande dans le zoning de Leuze Europe 2, selon Pierre Wacquier, président de l’intercommunale Ideta.
Colruyt n’a toutefois pas informé par écrit l’intercommunale qui gère le zoning de son intention de renoncer au projet.
« Rien n’est perdu »dit-on à Ideta
En 2009, le groupe de distribution Colruyt avait une option sur un terrain de huit hectares dans le nouveau zoning de Leuze Europe 2 à Leuze-en-Hainaut.
Un an plus tard, Colruyt achetait ce terrain et confirmait sa volonté de délocaliser son atelier de découpe de viande de Halle, en Flandre, vers Leuze, en Wallonie, en créant 300 emplois.
Plus de dix millions d’euros allaient être investis dans ce projet.
Les syndicats flamands auraient fait pression sur Colruyt pour conserver l’emploi en Flandre. « Il semblerait en effet que c’est une question de paix sociale », relate Pierre Wacquier.
Selon le président de l’intercommunale, celle-ci devrait racheter le terrain vendu en 2010 à moindre prix en vue d’accueillir de nouvelles entreprises, créatrices d’emplois.
« Pour la Wallonie picarde, c’était une bonne chose d’accueillir de l’emploi avec une densité aussi élevée mais nous n’avons rien perdu puisque rien n’a été créé. Nous essayerons de trouver autre chose », relativise Pierre Wacquier.¦
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