samedi 17 septembre 2011

Pseudo élite flamingante obsédée par ses complexes et frustrations linguistiques.


Bart Maddens vindt BHV-akkoord ‘prestatie van Vlamingen’

vrijdag 16 september 2011 om 08u15
Politicoloog Bart Maddens noemt het bereikte BHV-akkoord een ‘prestatie van de Vlamingen en dan vooral van Wouter Beke’.
Politicoloog Bart Maddens
Politicoloog Bart Maddens © Belga
Politicoloog Bart Maddens van de Katholieke Universiteit Leuven (KUL) noemt het BHV-akkoord dat formateur Elio Di Rupo bereikte met de acht onderhandelende partijen een “aangename verrassing” en “een prestatie van de Vlaamse onderhandelaars en dan vooral van CD&V-voorzitter Wouter Beke.”
Naar de Leuvense politicoloog is de in Vlaamsnationalistische middens populaire Maddens-doctrine genoemd. Die doctrine bepleit een afwachtende houding aan Vlaamse kant wat betreft de staatshervorming om zo de druk te verleggen naar de Franstalige kant.
Maddens noemde op de VRT-radio het bereikte BHV-akkoord een “aangename verrassing” omdat er geen grote toegevingen gedaan zijn. Hij spreekt zelfs van een “prestatie van de Vlamingen en dan vooral van Wouter Beke (CD&V).”
Maar hoewel het niet allemaal kommer en kwel is, is het ook niet meteen allemaal rozengeur en maneschijn: “In de lepel suiker die de Franstaligen krijgen, zit ook een bittere pil voor de Vlamingen: het uitzonderingsstatuut van de Franstaligen in de faciliteitengemeenten.” Maddens gaat ervan uit dat die gemeenten op die manier opgegeven worden.
Maddens: ‘Drempel inschrijvingsrecht uit Egmontpact verdwijnt’
Ander punt van kritiek is de manier waarop die toegeving gedaan werd. De Franstaligen moeten zich niet verplaatsen, klinkt het. “Waar in het Egmontpact van 1977 bepaald werd dat de Franstaligen zich moesten gaan inschrijven in Brussel, moeten ze nu simpelweg hun kiesbrief omdraaien.” De drempel uit het Egmontpact verdwijnt op die manier, aldus Maddens.
Maddens: ‘Moeilijk moment voor N-VA’
Wat de impact van het akkoord op de N-VA betreft, moet er niet flauw gedaan worden: “Dit is duidelijk een moeilijk moment voor de N-VA: dit akkoord sluit te dicht aan bij de nota van Bart De Wever om van een kaakslag te spreken.” Waar de N-VA wel gelijk in heeft, vervolgt Maddens, is dat we voorlopig nog niet echt weten waar we over spreken.
“Een groot vraagteken bijvoorbeeld, is die ‘communauté métropolitaine’: wordt dat, zoals Olivier Maingain van het FDF zegt, een lege doos? Of een Trojaans paard waarmee Franstalige bevoegdheden binnen gehaald worden?” (SD)

Flaminganten buiten.


Les vérités gênantes de Maingain.


NVA 10 ans et toujours la même rage.


Avis de Guy Spitaels.


Les minables négociateurs francophones ont servi BHV sur un plateau d'argent aux flamingants.

Si les francophones ne se ressaisissent  pas les flamingants procéderont à une épuration linguistique forcée comme leurs amis nazi l'ont fait avec les juifs et roms. Les fous du nord sont trop fascistes et rancuniers depuis des générations. Ils n'arrêteront jamais leurs diktats et persécussions.

Les négociateurs seront responsables de l'exclusion, discrimination envers les francophones et l'argent de Bruxelles ira exclusivement en Flandre.  Di Rupo a vendu Bruxelles et en même temps la rente de Wallonie (7,5 Mia de Bruxelles vers les wallons).








Verbatim Maingain.

Tous dans les mollets, un peu dans la tête et aucun respect pour 1,2 Mio de belges francophones de BHV.

jeudi 15 septembre 2011

Enorme hypocrisie flamingante.



Remarque d'un lecteur à propos de l'éventuelle démission "forcée" de Didier Bellens.


brabant | 15 septembre 2011
Si Bellens ( francophone)part: par qui sera t ' il remplacé ? Ce sera le même scénario quand 1 ministre a démissionné (Louis Michel) ou 1 fonctionnaire qui a été en "balance" ( Koeckelbergh): il sera remplaçé par 1 flamand pur jus. Depuis quelques années c'est comme cela que ça se passe... Il parait quand même que le bilan de Bellens n'est pas si mauvais à Belgacom qui rapporte 1 dividende chaque année à l'état. Ce n'est pas le cas de la SNCB dirigée par les flamands.

Le FDF et la N-VA rejettent l'accord.


  • Images

    Damien Thierry émet des critiques sur l'accord de cette nuit, comme la N-VA
    Damien Thierry émet des critiques sur l'accord de cette nuit, comme la N-VA
    Deux partis font déjà connaître leur opposition à l'accord. Le FDF, par la voix du bourgmestre non-nommé de Linkebeek Damien Thiéry, et la N-VA, via le chef de groupe à la Chambre, rejettent ce qui a été négocié hier.

    Interrogé par Bertrand Henne sur les ondes de La Première pour savoir si sa position serait celle de tout le FDF, Damien Thiéry n’a pas vraiment hésité : " Nous avons toujours eu une position commune sur notre ligne de conduite. Je pense que ce sera le cas ici ".Damien Thiéry (FDF), bourgmestre non nommé de Linkebeek a réagi ce matin de façon assez négative à l'accord de la nuit. "Je peux difficilement m'inscrire dans ce qui a été décidé. On a utilisé la nomination des bourgmestres contre la scission de BHV. Si la nomination des bourgmestres doit être tranchée par le Conseil d'État, c'est un peu la roulette russe, car selon que le Président du Conseil sera francophone ou néerlandophone on aura une décision favorable ou pas. Je constate aussi qu'on est en train de retirer des droits aux 80 000 francophones des communes sans facilités. Il sera très délicat de dire "oui" à cet accord".  
    Pantalon baissé
    Côté flamand, la N-VA a déjà fait savoir qu’elle rejette cet accord. " Le CD&V et l'Open Vld sont en train de baisser leur pantalon jusqu'aux genoux, non, jusqu'aux pieds", a réagi jeudi dans le chef de groupe N-VA à la Chambre.
    Jan Jambon, cité dans De Standaard et Het Nieuwsblad au sujet de la scission de BHV. "Nous n'accepterons pas que le gouvernement flamand perde la tutelle sur les bourgmestres dans la périphérie flamande" de Bruxelles, a-t-il dit. "Si cela s'avère, la manifestation de ce dimanche à Linkebeek amènera énormément de gens, toutes des personnes qui, comme la N-VA, refusent d'avaler ce qui est proposé", a ajouté Jan Jambon.
    Le chef de groupe des nationalistes flamands prédit des problèmes pour le gouvernement flamand, au sein duquel se retrouve la N-VA. "Il avait été convenu que les partis flamands qui négociaient respecteraient l'accord de gouvernement flamand. Il ne semble pas que ce soit le cas".
    Sacha Daout

mardi 13 septembre 2011

"La note de Di Rupo : De la dynamite pour BHV "


Si les partis flamands acceptent les propositions de Di Rupo, cela pourrait mettre en péril les fondements de la Belgique. C’est du moins l’avis de Rik Van Cauwelaert, le directeur du magazine Knack qui a pu mettre la main sur la dernière version de la note.
Elio Di Rupo
Elio Di Rupo © Belga
Celui qui lit la note adaptée et ses propositions sur la scission de Bruxelles-Halles-Vilvorde ne peut que conclure qu’Elio Di Rupo souhaite utiliser le Conseil d’Etat pour éloigner les communes à facilités du giron du gouvernement flamand.

Samedi dernier l’ancien président du PS Guy Spitaels a fêté ses 80 ans. A cette occasion, il évoque dans les colonnes du Soir son point de vue sur les négociations et le rôle d’Elio Di Rupo en tant que formateur. La conclusion de Spitaels ne laisse aucune place au doute. «Il n’y a pas de solution ». Dans la situation actuelle, prédit Spitaels, on achète au mieux un armistice temporaire de maximum 18 mois.

Les modifications de la note autour de la scission de BVH, confirment les impressions de Spitaels. Si les partis flamands acceptent dans les grandes lignes les propositions de Di Rupo, les bases de la Belgique seraient mises en danger tant ces dernières seront construites sur des socles explosifs. Parce qu’avec ses propositions Di Rupo enlève la juridiction des six communes à facilités au gouvernement flamand. Ce qui place en particulier le CD&V, qui avec Kris Peeters est la tête du gouvernement flamand, dans une position des plus délicates.

Dans sa note Di Rupo propose que ce soit l’assemblée générale du Conseil d’Etat qui statue en cas de refus de la région flamande de nommer un bourgmestre. Avant, cette décision était prise par la chambre néerlandophone du Conseil d’Etat. Si le conseil d’Etat ne statue pas dans les 30 jours, ce qui n’est encore jamais arrivé à ce jour, alors le bourgmestre reste en place jusqu’à la prise d’un arrêt définitif. Ce qui peut prendre des années. De cette façon, la tutelle du gouvernement flamand sur les communes à facilités est vidée de sa substance.

Le reste de la note ne semble pas plus avantageuse pour les Flamands. Si les propositions de Di Rupo sont acceptées telles quelles, la communauté flamande va perdre un milliard d’euros d’ici 2030. Même dans les prévisions de transferts de compétence, il y a de nombreuses lacunes. En particulier pour la sécurité sociale, si on s’en tient à la note, il y aura peu de changements. Les financements et les mécanismes de solidarité resteront au niveau fédéral, seule l’exécution sera transmise aux régions. C’est aussi, en substance, ce qu’a confirmé le secrétaire d’état Melchior Wathelet (cdH) dimanche midi sur les chaînes francophones.

La première version de la note du formateur Elio Di Rupo n’aurait servi qu’à écarter Bart De Wever et la N-VA. La note adaptée n’aurait pour objectif que de tenir jusqu’en 2014, et même si cela doit être tiré par un gouvernement bancal qui butera constamment contre de nouvelles pommes de discorde. Le tout dans un contexte rendu encore plus explosif par ses dernières modifications. Tout ça alors que pas un seul mot n’a encore été prononcé sur des mesures d’économies qui devraient atteindre plusieurs milliards d’euros.

Rik Van Cauwelaert

Francophones de BHV accusés de tous les maux de Flandre. Divorçons.

Il serait temps d'arrêter les revendications et diktats de la Flandre et divorcer maintenant. Créons une Belgique avec un BHV très élargi et la Wallonie. Enfin débarrassé d'une Flandre fascisante dont la grande majorité silencieuse rêve de nous expulser de chez nous, flamandiser totalement BHV et s'emparer des richesses de Bruxelles.
Seul le divorce est la bonne solution actuellement; coupons les ailes aux ambitions de conquête flamande.  Nous ne voulons pas devenir des citoyens de second ordre dans une Flandre raciste et xénophobe.

Pour ceux qui lisent et comprennent le flamand, ce document est un concentré de haine et de victimisation des flamingants.
Les francophones de BHV sont aux flamingants ce que les juifs étaient aux nazis.



lundi 12 septembre 2011

Frustrations et complexes linguistiques de Pascal Smet.


Le Soir et LLB du 12 septembre 2011. Des francophones qui s'aplatissent ....

Les pseudos négociations sont une fois de plus les diktats flamingants devant lesquels, hélas, des francophones sont prêts à se coucher.  Grossière erreur, c'est donner aux flamingants notre maison qui est BHV.  BHV, c'est chez moi et les flamingants n'ont pas à ce l'approprier, imposer leur dictature et interdire notre langue et notre culture française.






Ne négocions plus, divorçons. BHV doit être le Verdun de flamingants.


La Belgique francophone est en train de subir un génocide culturel sans précédent

La Belgique francophone est en train de subir un génocide culturel sans précédent.
Et il est incessant.
Il est de mon devoir de vous en informer et du votre, chers autres modérateurs, de me donner le droit à la publication.
Merci pour 4.600.000 francophones abandonnés de tous.
Il était plus que temps !
Malgré les coups fourrés, la compromission de l'entièreté de notre presse subsidiée, la révolte francophone contre le diktat flamingant prend de l'ampleur.
Une indignation d'autant plus grande qu'on sait enfin maintenant à quel point nos chers aparatchiks du bureau central socialiste sont prêts à nous trahir. A obérer notre culture et vendre nos libertés contre du fric pour continuer leur stalinisation à outrance de la Wallonie désindustrialisée par la mondialisation. Une Wallonie financièrement exsangue dont la situation présente – et par leur seule faute ! n'est pas loin de valoir celle de la Grèce.
Malversations multiples, gestion parasitaire, mensonges éhontés, promesses intenables, camaraderie à outrance, mise en examen et autres condamnations judiciaires déjà effective d'une pléthore de ses dirigeants.
N'en jetez plus, il paraît que ces gens-là sont de gauche, Monsieur !
En théorie, pas dans les faits.
Alors que le pays vit depuis un an et demi sans gouvernement, les dirigeants nantis du front impopulaire acceptent sans sourciller de lâcher incessamment 250.000 francophones pour la seule et bonne, très bonne et inavouable raison que ceux-ci ne votent pas pour eux. Un magnifique moyen de s'assurer à bon, très bon compte la continuation sans contrôle d'une gestion désastreuse.
Désastreuse et d'abord malhonnête. Malhonnête et polymultipliée jusqu'à l'écoeurement.
La rente de situation.
Qu'il est triste d'être d'obédience socialiste chez nous...

Essayons de vous faire comprendre en peu de mots le vrai enjeu, de ce BHV dont nous sommes les seuls à saisir le sens.
Et ce n'est guère reluisant...
Bruxelles est une ville francophone à 94 %, elle est gérée paritairement par nos deux communautés, ceci incluant au nom de la paix linguistique concédée aux Flamands une représentation quadruplée par rapport à ses votants.
Sinon, ce serait bien simple, ils n'en auraient aucun...
Démocratie censitaire, passons... Et qui plus est avec deux vice-présidences sur quatre ! Les transports ( sa responsable unanimement abhorée fut élue avec ...moins de 2.000 voix réunies sur son nom ! Son slogan le plus connu : je préfère engager un flamand incompétent plutôt qu'un francophone compétent ) et les finances confiées à un “ libéral flamingant “, mot contradictoire s'il en est.
Objectif ? Asphixier financièrement Bruxelles, en faire une ville coupe-gorge et rendre toute mobilité individuelle ou commune impossible. Engluer la capitale dans le marasme. Le but est atteint, cela ne fait aucun doute.
Bruxelles capitale de la Flandre. Une ville où ils ne sont guère plus de 5 %... et qu'ils détestent, haïssent du plus profond de leur âme.
Gonflés les mecs, non ?
Accessoirement, très accessoirement, dois-je vous rappeler que Bruxelles est aussi la capitale de l'Europe ?
Mais cela, ils s'en foutent au nom de l'espace vital, Le leur, rien que le leur :.
Ce que la Flandre fait seule, elle le fait mieux.
Notre peuple d'abord.
La Wallonie nous fait honte
Rats francophones, déguerpissez !

Comme toute ville en expansion et qui plus est de par son statut, Bruxelles, ville d'un million d'habitants, s'étend et s'étend encore. En périphérie ( BHV ), les francophones sont aujourd'hui à ce point majoritaires qu'ils en composent plus d'1,5 million des habitants contre 250.000 aux conquérants. Des conquérants qui, soit dit en passant, deviennent inexorablement de moins en moins nombreux au fur et à mesure des processus électoraux successifs, au point d'être AUSSI devenus minoritaires face aux autres communautés qui s'installent chez nous, principalement les familles de ceux qui travaillent directement ou indirectement pour le mamouth communautaire européen.
Chers Flamands qui, après avoir refusé tout recensement dont ils savent pertinement qu'il aboutirait à leur donner une claque de dimension, ont décidé seuls d'un tracé dit de frontière.
...Contre des facilités linguistiques qu'ils n'ont d'ailleurs jamais respectées !
Pourquoi ? Pour encercler ma, notre, votre capitale d'un mur de pureté linguistique.
Et la bouffer tout cru ensuite, ces pervers ne s'en cachent même pas.

Quelques-unes de leurs exactions présentes ...en attendant pire :
Interdiction d'emploi du français dans tous les rapports avec l'administration et le pouvoir
Abrogation de tout enseignement même primaire dans la langue de Molière
Obligation d'ester en justice en seul néérlandais
Refus total de toute manifestation culturelle en français
Non nomination des maires démocratiquement élus
Refus de signature de la convention sur la protection des droits des minorités
Reflamandisation à outrance du territoire via l'interdiction d'achat de terrain et toute accession au logement social à qui ne fait pas preuve d'intégration tangible à LEUR communauté ...largement minoritaire et qui diminue et diminue inexorablement malgré les nombreux incitants à s'y installer et des décrets sataniques jugés illégaux, y compris par la communauté des 27..
ETC, etc...
LA FLANDRE QUI GAGNE, C'EST LA FLANDRE QUI TRICHE !

Ne soyons pas fastidieux, la liste des exactions serait encore plus longue que celle à laquelle nous a habitués Imhotep lorsqu'il s'en prend au sens démocratique de votre Président bien-aimé.
Une communauté européenne par ailleurs présidée par UN FLAMINGANT qui habite précisément une des communes sacrées où ils sont si minoritaires : le sieur Van Rompuy von Bildenberg, dit la serpillière humide
Nous qui avons la tare d'être nés francophones, nous ne comptons plus les vexations, les injures, les coups, les milices privées néo-fascistes qui s'y promènent impunément protégées par LEUR police, les provocations, les hurlements, les menaces...
Et nos fils de pute de socialistes ( excusez du mot, mais...) sont en passe d'accepter constitutionnellement d'avaliser cela.
Plus lâche que cela, tu meurs...
Oh, ils ne sont pas les seuls ! Les écologistes et les “ chrétiens-crétins rebaptisés humanistes “ suivent.
Oh, pas pour rien ! Contre des miettes de pouvoir pour leurs dirigeants. Des mandats et encore des mandats, la seule chose qui compte,
Oui, nos écologistes à nous refusent tout recensement démocratique et ont accepté de discuter d'inférieur à égal avec l'extrême-droite flamingante du sieur De Wever dont je vous ai déjà parlé dans un précédent article !!! Pire, ils cèdent devant elle qui ne fait même pas mystère de ses sympathies pour Le Pen et, comble du comble, viennent par la voix d'un de leurs ministricules gonflé d'importance de traiter ouvertement leurs confrères démocrates d'obstinés, de fanatiques, de fossoyeurs du pays.
ECOLOS COLLABOS, C'EST à NE RIEN Y COMPRENDRE !
VIVE EVA JOLY, MAIS PAS CELA !

Appellée à la rescousse après plus d'un an de discussions stériles, la droite, eh oui, la droite !!! a enfin été conviée à table pour tenter de redonner vie à un processus bloqué par nos nordistes pour qui le dialogue consiste à faire avaliser leur seule position, tout le reste, c'est à dire rien, étant évidemment discutable.
Et c'est cette même droite qui, oh joie ! se coupe aujourd'hui en deux :
- d'une part les participationnistes belgicains avides de reprendre un pouvoir régional qui leur échappe depuis plusieurs législatures, honte à eux !
- de l'autre, miracle, de vrais démocrates issus de son aile centriste qui ont décidé de dire non au diktat flamingant. Une Flandre de plus en plus nazie dont tout le monde ici connaît l'objectif : préparer les conditions de l'étape suivante, soit l'indépendance de leur nation vert de gris avec Bruxelles dans ses bagages !
NOUS FRANCOPHONES BELGES SOMMES DONC OBLIGÉS DE SOUTENIR UNE POSITION POLITIQUE PARFOIS INVERSE à LA NÔTRE ( c'est mon cas et je suis loin d'être le seul ) POUR éVITER D'ËTRE TRAITÉS EN TANT QUE SOUS-HOMMES.
Une honte. Une double honte entendu que nous sommes en passe d'être vendus à l'anti-démocratie fascisante par les héritiers de Jaurès.
Il n'y a qu'en Belgique qu'on puisse concevoir un scénario pareil. !

Et subitement, à la veille de la capitulation, des voix se sont levées. Rien n'est gagné parce que les révoltés ne sont pas – pas encore – assez nombreux au Parlement pour empêcher d'atteindre le quota nécessaire à une modification constitutionnelle. Mais dans tous les partis, cela commence ENFIN à ruer dans les brancards.
Deux nouveaux convertis suffiront pour tout bloquer. Seulement deux !
Nos représentants élus vont-ils choisir la dignité ou la discipline de parti ? Tout est là.... Avec une épée de Damoclès sur la tête, car c'en sera fini pour eux d'être dorénavant positionnés en ordre utile lors de futures élections. Adios mandats juteux, grosse bouffe, parachutages futurs dans des fonctions grassement payées, pouvoir occulte, pensions confortables sur le dos de la Nation.
La bonne soupe ou l'honneur...
Grande est la crainte qu'ils choisissent “ en âme, portefeuille et conscience “ la première solution.
Sauf heureusement ( ou malheureusement, c'est selon ) du côté droit de l'échiquier dont la direction actuelle sait que si les révoltés n'obtiennent pas satisfaction, ils vont créer leur propre liste électorale et donc écraser la droite de la droite comme des punaises.
Rien que cela devrait suffire en soi, non ?
J'appelle tous les francophones sensés et les hommes politiques courageux à faire pour une fois fi de leurs tendances politiques propres et à rejoindre et soutenir en masse le FRONT DES FRANCOPHONES
...en priant celui-ci de s'ouvrir vite, très vite au centre et à gauche sur base d'un programme exclusivement constitutionnel, il n'en faudra pas plus pour nous rendre à nouveau maîtres de notre destin, si pas vous rejoindre, sait-on jamais.
Et vous Français à nous aider, à nous soutenir sans réserve au nom de la culture séculaire qui nous est commune. Y compris, oh horreur ! par la voix de votre Président en exercice qui se soucie manifestement plus de la démocratie ( ? ) en Libye qu'en Belgique.

Halte à la peste brune, il y va de notre survie !
Yougoslavie ou Tchécoslovaquie : aux Flamands de faire le bon choix lorsqu'il s'agira de se séparer.

ASTERIX c/o l'allocaterre sur les forums belges

Il est le seul vrais rempart contre les perpétuelles agressions flamingantes.


Cherchez l'intrus : Olivier Maingain en jeu

lundi 12 septembre 2011 à 08h43

Pleins feux sur le président du FDF : les partenaires flamands à la négociation réclament sa tête, les partis francophones s'irritent de ses postures. Olivier Maingain n'en a cure : il a les moyens de forcer le MR et son président Charles Michel à le garder à la table.
Olivier Maingain, président du FDF.
Olivier Maingain, président du FDF. © Belga
Il ne sent pas qu'il gêne à table. Ou si c'est le cas, il ne fait pas mine d'en être affecté, encore moins de vouloir en tirer les conséquences. Il faut dire qu'il a le chic pour tenir la posture. Pour un peu, il en tirerait même un titre de gloire. Olivier Maingain en « mouton noir » du landerneau politique : le rôle n'est pas pour lui déplaire. Il le connaît bien, pour l'avoir endossé dans d'autres castings. Il s'y investit une fois encore, placide comme à l'accoutumée. Le président du FDF entend ses oreilles siffler par les temps qui courent. Depuis que le fol espoir d'une sortie de crise politique revient timidement sur le tapis, il n'y en a que pour lui. Si ça ne tenait qu'à elle, il y a belle lurette que la Flandre l'aurait expédié aux cent mille diables. Les partis flamands rêvent d'accrocher le scalp de Maingain à leurs montures. Ils en font une question... de juste retour des choses. C'est qu'à leurs yeux Maingain ne serait ni plus ni moins qu'un De Wever version francophone. Le CD&V en particulier est à la cravache : la N-VA hors jeu des négociations, les troupes de Wouter Beke ne cessent de réclamer le même sort pour le FDF. Ils exhortent les francophones à se distancier de l'empêcheur de flamandiser en rond. Au nom d'un raisonnement que rappelait le ministre des Affaires étrangères Steven Vanackere (CD&V) à la veille de la reprise des discussions : « Une négociation ne peut réussir que lorsque les deux extrêmes sont absents. »
Ce genre de logique s'arrête là où commence celle de Maingain. La sienne revendique tout au contraire la présence du FDF à la table des négociations, certainement lorsque les sujets qui lui tiennent le plus à c£ur seront en jeu : le sort incertain de Bruxelles, l'avenir compromis de BHV. C'est une question de légitimité démocratique : « Je ne m'impose en rien, mais la démocratie a voulu que je sois le parlementaire le mieux élu dans Bruxelles-Hal-Vilvorde. Il me semble que cela a une certaine signification politique », relève le président du FDF, sur l'air de ne pas y toucher. A bon entendeur : le CD&V peut aller se rhabiller. Et si des partis francophones avaient aussi des objections à formuler à son égard, qu'ils se lèvent : Maingain s'est dit très curieux de prendre les noms...
Ce n'est pas dit comme ça. Mais cela jase ferme dans les rangs francophones. Maingain qui juge « inacceptables » les seules propositions du formateur Di Rupo (PS), qui retape sur le clou de l'élargissement de la Région bruxelloise, qui remet sur le tapis les exigences de protection francophone en périphérie comme conditions impératives à une scission de BHV. Maingain qui se répand et parle trop, agace et irrite PS, CDH et Ecolo. Ils jugent ses « grandes déclarations » inopportunes pour un retour précaire à la paix du ménage belgo-belge. Seulement voilà, le bavard n'est pas seul à donner de la voix. Le président du FDF a du beau monde autour de lui. Au MR, d'autres lui ont emboîté le pas. Daniel Bacquelaine, chef de groupe à la Chambre, est revenu à la charge avec l'idée d'une consultation populaire dans les communes de la périphérie. Didier Reynders est à son tour monté au créneau : appeler les partenaires flamands de la négociation à prouver qu'ils sont devenus plus modérés sans la N-VA à leurs côtés, soutenir la présence de Maingain aux négociations, s'inquiéter de certains reculs francophones dans la négociation à venir. Pas triste, la dernière sortie du ministre des Finances, figure toujours très écoutée parmi les libéraux francophones qu'il a présidés jusqu'au début de l'année. Du coup, tous les regards se tournent vers son successeur, Charles Michel. C'est à lui, le président du MR, à apprécier et à recadrer les choses. A clarifier les points de vue à l'intention des partenaires francophones des négociations. Ceux-là cherchent à décoder ce qui se mijote ou se trame au sein de cette planète bleue qui donne ainsi des signes d'agitation. Ils s'inquiètent du cap suivi par le MR et de la capacité de son patron à le maintenir contre vents et marées internes. Il n'échappe à personne que le trio qui s'est publiquement distingué ne veut pas nécessairement que du bien à Michel Jr : Reynders lui doit une « sortie » prématurée, Maingain n'est pas le plus chaud de ses partisans, Bacquelaine a été son rival malheureux à la présidence. Charles Michel ne peut que le répéter : n'en déplaise à certains, le MR ne lâchera pas le FDF. A un an des élections communales, la perspective serait tout bonnement suicidaire à Bruxelles. L'inconnue reste donc totale : jusqu'à quel point la formation d'Olivier Maingain sera-t-elle autorisée à mettre son grain de sel dans la discussion communautaire ?
Ça commence à crisper et faire désordre dans le camp francophone, ça s'impatiente dans les rangs des partis flamands (CD&V, Open VLD, SP.A, Groen !). Deux excellentes raisons d'accélérer la cadence des négociations et de franchir sans plus trop tarder l'écueil BHV, qui n'est encore que le premier au programme. Sous peine pour les huit partis en lice de faire naufrage, emportés par un climat de plus en plus pourri. Et envoyés par le fond par une N-VA en embuscade qui n'attend que cela. Mais avant de canonner de plus belle, son président Bart De Wever a lancé à l'adresse du CD&V et de l'Open VLD comme un ultime appel à quitter le navire pour rejoindre la N-VA dans un front flamand. Et abandonner ces francophones à leur triste sort.
PIERRE HAVAUX