lundi 6 août 2012

Provocation de jeunes scouts en Wallonie ! A cet âge ils sont déjà lobotomisés ....


Rel = émeutes !  Les flamingants victimisent une fois de plus. De 1940 à 1945 les croix gammées flottaient partout ; on ne veut pas recommencer avec des fascistes flamingants !
La jeunesse flamingante prouve qu’elle est lobotomisée et formatée « flamingant » comme la Hitler Jugend.
Le propriétaire du terrain leur a demandé de faire disparaître ce torchon et comme la graine de fasciste refusait, il a coupé l’électricité. Le maire y est aussi allé …..
L’affaire est amplifiée comme d’habitude par les flamingants et les lecteurs flamands de cet article veut avaler cette propagande sans broncher ni réfléchir. Il n’y a pas eu d’émeute et aucune milice du type TAK, VMO, Voorpost n’a été dépêchée sur les lieux comme ce serait le cas en Flandre.
Mentez, mentez et mentez encore, il en restera toujours quelque chose.



Rel rond Vlaamse leeuwenvlag op jeugdkampen in Ardennen

zaterdag 04 augustus 2012 om 10u41
In de Ardense gemeente Jalhay is een communautaire rel ontstaan nadat de KSJ van het Limburgse Mopertingen een vlag met de Vlaamse leeuw boven zijn kamp hing. In meerdere Waalse gemeenten is die vlag bij reglement verboden.

Vlaamse leeuw © Belga
De KSJ van Mopertingen is op kamp in Royompré een deelgemeente van Jalhay in de Ardennen. De leiders van de jeugdbeweging hebben aan hun kamp een Vlaamse leeuwenvlag gehesen. Bij het gemeentebestuur zouden daartegen klachten van inwoners van de gemeente binnengelopen zijn.

Belgische driekleur
Ook de eigenaar van het terrein uitte zijn ongenoegen over de Vlaamse vlag. De jeugdbeweging werd zelfs even zonder elektriciteit gezet. De eigenaar eist de verwijdering van de vlag of er moet een Belgische driekleur naast gehangen worden.

'Onze jeugdbeweging wil geen enkele politieke boodschap uitdragen,' zegt KSJ-leider Jasper Willems in Het Belang van Limburg. 'Moeten wij ons nu al schamen voor onze eigen vlag? Dat is toch te gek voor woorden.'

Reglement
Jalhay heeft, net als andere Waalse gemeenten, een reglement goedgekeurd dat het gebruik van Vlaamse vlaggen verbiedt, tenzij in combinatie met de Waalse, de Belgische of de Europese vlag.

''In Wallonië vinden veel mensen de Vlaamse leeuw provocerend,' zegt jeugdkampcoördindator Charles Seynhaeve van Jalhay. 'Het uithangen van die vlag kan de openbare orde verstoren.'
Contract
De jeugdbeweging heeft van de gemeente een Belgische vlag in bruikleen gekregen om die op te hangen naast de leeuwenvlag. Volgend jaar gaat de KSJ van Mopertingen op kamp in Houffalize. In die gemeente hebben ze een contract moeten ondertekenen dat hen verbiedt om de Vlaamse vlag te hijsen. (EE)

Pourquoi les flamingants s'opposent au vote de la scission BHV ?


Pourquoi les flamingants s'opposent au vote sur la scission de BHV?

BELGIQUE | Mis à jour le mardi 10 juillet 2012 à 13h03


    • Lundi soir à Linkebeek, des flamingants du TAK, le "Taal Aktie Komitee" et du VVB "Vlaamse Volksbeweging", ont occupé la maison communale pour dénoncer le compromis sur la scission de BHV, dont le texte doit être adopté vendredi par le parlement fédéral. Quelles sont les raisons de cette insatisfaction persistante ? Tentative de réponse avec Jean Faniel, politologue au Crisp, le centre de recherche et d'information socio-politiques.
      Cela fait 35 ans que les Flamands réclament la scission de BHV et la semaine où cette scission doit être votée, l'aile la plus radicale du mouvement flamand manifeste à Linkebeek, une commune à facilités de la périphérie bruxelloise.
      Ce qui peut paraître déconcertant de prime abord, s'explique "dans le fait que la solution qui va être coulée en texte de loi par le parlement fédéral à la fin de la semaine est le fruit d'un compromis et ce sont les éléments de ce compromis qui ne sont pas satisfaisants", analyse Jean Faniel.
      Pas de scission pure et simple au niveau électoral
      Pour le politologue, le premier élément d'insatisfaction se trouve dans le volet électoral de ce compromis. "Les francophones ont obtenu qu'il ne s'agisse pas d'une scission pure et simple". En d'autres termes, "les habitants des six communes à facilités de la périphérie bruxelloise pourront, sans se déplacer, continuer à voter pour les listes présentées à Bruxelles". 
      Or, selon la logique flamingante, quand on habite en Flandre, on vote pour des listes flamandes."Le TAK et le VVB dénoncent le statut spécial qui demeure et qui est même renforcé pour les six communes à facilités de la région bruxelloise", explique Jean Faniel.
      Une représentation flamande qui n'est plus garantie à Bruxelles
      Alors que cette scission électorale de BHV permet aux francophones des six communes à facilités de préserver ce droit de vote, les Flamands n'ont pas obtenu de garantie de représentation à Bruxelles pour le parlement fédéral. Or les Bruxellois néerlandophones sont beaucoup moins nombreux que les francophones. Les Flamands craignent de ne plus arriver à faire élire un député flamand dans l'arrondissement de Bruxelles.
      Mais sur ce point, le politologue ne sait pas si c'est une revendication du TAK et du VVB dans le sens où ces extrémistes flamingants réclament une scission pure et simple.
      Il rappelle, par ailleurs, qu'Olivier Maingain s'est exprimé sur la question le week-end dernier. Le patron du FDF a dit regretter cette perte de représentation, "un facteur d'unité", selon lui.
      Autre motif d'insatisfaction : le volet judiciaire
      Selon les Flamands, la scission de BHV sur le plan judiciaire, accorde trop de garanties aux francophones, explique Jean Faniel, "parce que cela va permettre aux francophones des 35 communes de Hal-Vilvorde d'intenter des procédures en justice en basculant du néerlandais vers le français". Or, toujours selon "la logique flamingante, quand on est en Flandre, seule la langue flamande doit s'appliquer". 
      Une solution qui a "le mérite d'exister"
      En conclusion, les tensions communautaires sont loin d'être terminées, en témoigne la manifestation de ce lundi soir à Linkebeek. "Quand les mesures auront été mises en œuvre, il y aura de nouvelles demandes", affirme Jean Faniel qui ajoute que ceux qui pensent pouvoir retirer une épine du pied en votant la scission de BHV se trompent. D'autant que du côté francophone, le FDF estime qu'il n'y a pas assez de garanties.
      Malgré tout, le politologue estime "qu'on a réussi à trouver une solution et à trouver une majorité qui appuie cette solution. Ce qui était d'autant plus difficile à trouver car il fallait majorité qualifiée" (majorité de deux tiers des suffrages + majorité dans chaque groupe linguistique) . "En soi, la solution a le mérite d'exister", ajoute-t-il. 

      C. Biourge