jeudi 29 novembre 2012

Quand on préfère les nazis aux compatriotes francophones, il ne faut s'étonner de rien.


Les francophones de Flandre contre un "génocide culturel silencieux"

Christian Laporte
Mis en ligne le 26/11/2012
La francophonie en Flandre a sauté dans cette brèche pour interpeller la Belgique sur la non-reconnaissance de certains droits, notamment culturels, à l’égard des francophones en Flandre.
Ces mardi 27 et mercredi 28 novembre se tient à Genève le Forum des minorités de l’Onu. L’événement n’est pas qu’académique : cela fait vingt ans que l’assemblée générale de l’Organisation des Nations unies a adopté la Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques. Cette reconnaissance a donné un souffle nouveau à l’action de l’Onu dans ce domaine. La Déclaration proclame ainsi le droit des minorités à jouir de leur propre culture; de professer et de pratiquer leur propre religion; d’utiliser leur propre langue; et de quitter tout pays, y compris le leur, voire de retourner dans leur pays.
Comme les Etats sont invités à prendre des mesures afin de promouvoir le respect de ces droits, l’Association pour la promotion de la francophonie en Flandre a sauté dans cette brèche pour interpeller la Belgique sur la non-reconnaissance de certains de ces droits, notamment culturels, à l’égard des francophones en Flandre toujours pas considérés comme une minorité même si en septembre 2002 un rapport de la députée suisse Lili Nabholz-Haidegger fut approuvée dans ce sens au Conseil de l’Europe.
Le Forum genevois est donc une belle occasion pour (re)taper sur le clou, en attendant la suite du traitement de la plainte initiée par les responsables de l’APFF, Marcel Bauwens et Edgar Fonck. Mais comme la thématique retenue est l’avenir et la jeunesse, c’est Emilie Fonck, étudiante en Master en études européennes à finalité politique à l’Institut d’Etudes européennes de l’ULB, qui demandera de pouvoir intervenir au nom de l’APFF. Elle le fera mercredi matin dans la partie intitulée "Difficultés et problèmes rencontrés dans la mise en œuvre pratique de la Déclaration".
"Ce sera une nouvelle occasion d’évoquer à un échelon international ce que nous n’hésitons pas à qualifier de génocide culturel silencieux même si le terme est très fort, reconnaît le président de l’APFF, Edgar Fonck. Nous y évoquerons certainement aussi toutes les difficultés rencontrées depuis que nous avons lancé le processus en respectant les modalités de la procédure 1503 de la Commission des droits de l’homme. Comme les règles sont très strictes, notamment en matière de confidentialité, il est même difficile d’obtenir des renseignements sur l’avancement de la plainte."
Et d’expliquer qu’un premier examen de la plainte a eu lieu à la fin du mois d’août par le groupe de travail des communications de la procédure de requête mais à ce jour l’APFF n’a pas eu le moindre signe de la manière dont son traitement se poursuivra. Soit, elle pourrait être classée sans suite, soit elle pourrait revenir à la session suivante pour un examen approfondi ou parce qu’un complément d’information est nécessaire, soit, enfin, elle pourrait passer au groupe de travail sur les situations.
Le mutisme total des autorités
"La Belgique a certainement déjà dû formuler un avis mais nous n’avons pas la moindre idée dans quelle direction il irait. Pas à ce flou absolu, il est temps que l’on nous dise au moins vers quoi on se dirige. Pour l’heure, c’est vraiment le pot de terre contre le pot de fer. C’est évidemment déjà un miracle que l’Onu s’intéresse à une petite association représentant les plus de 350 000 francophones de Flandre."
Edgar Fonck se demande aussi à juste titre si les entités fédérées auront aussi leur mot à dire. "Nous comptons en tout cas nous faire entendre avant que la minorité francophone n’ait droit à un enterrement de première classe"

Décidément les frustrations et complexes linguistiques en Flandre sont génétiques.


Eric Van Rompuy estime que la scission de BHV n'a rien changé

Belga
Mis en ligne le 29/11/2012
Eric Van Rompuy s'en prend à la fois au radicalisme de la N-VA et des FDF.
Le député CD&V Eric Van Rompuy, porte-drapeau durant des années de la scission de Bruxelles-Hal-Vilvorde, estime que cette dernière n'a finalement rien réglé sur le terrain. "On l'a fait, mais on a mis sept ans pour y arriver. Trop tard ! C'est la N-VA qui a tout raflé", affirme dans une interview au Vif le député-échevin de Zaventem (Brabant flamand).
Ce chantre de la scission de BHV reconnaît désormais que ce combat était "une bataille symbolique", car "la vague francophone" en périphérie bruxelloise a changé de nature depuis quelques années.
"Il s'agit souvent de Marocains et de Turcs de deuxième ou troisième génération, qui ne parlent pas le néerlandais ni, bien souvent, le français. Il s'agit moins de francisation que d'internationalisation", affirme M. Van Rompuy. Si la problématique est ainsi moins communautaire, d'autres le restent bien.
Eric Van Rompuy s'en prend à la fois au radicalisme de la N-VA et des FDF. Dans la perspective des élections de 2014, il met en garde les francophones en agitant la perspective séparatiste s'ils n'optent pas pour une politique de droite.
"Je ne suis pas sûr que les francophones se rendent compte à quel point les partis flamands traditionnels sont politiquement de plus en plus marginalisés", fait-il observer, voyant son parti "lutter pour sa survie".
Il critique l'immobilisme socialiste en citant la vice-première ministre Laurette Onkelinx, mais se dit en revanche "plutôt clément" pour Di Rupo 1er et ses solutions "pragmatiques" pour le budget 2013 et la compétitivité.

dimanche 25 novembre 2012

Taal van de knechten. (Langue des laquais)

 Avant d'emmerder les gens et les contraindre à apprendre le sabir de la Flandre, Bourgeois ferait bien de se faire soigner pour ses frustrations et complexes linguistiques.

Heureusement pour l'humanité que Pasteur, Flemming, Pierre et Marie Curie, Einstein, Oppenheimer  ainsi que les nombreux prix Nobel n'étaient des flamands complexés. Que n'aurait-on perdu !!!!

Chers lecteurs, si vous devez faire des efforts et investir du temps pour apprendre une ou des langues, choisissez de l'international comme l'anglais, le français, l'espagnol ou le portugais.
En apprenant le flamand vous ne faites que satisfaire la vanité des flamingants qui n'ont jamais digéré qu'il n'y a pas si longtemps on traitait leur sabir de langue des laquais (Taal van de knechten).

Ah qu'il est loin le bon vieux temps de la collaboration et dictature nazie.


Dommage que le ridicule ne tue pas à Wemmel; on pourrait y côtoyer des personnes intéressantes.