jeudi 12 décembre 2013

Ils sont et restent les collaborateurs des boches et nazis; c'est génétique ! Ils ne savent toujours pas ce qu'est l'Europe du 20ième et 21ième siècle !!!!

Un patron flamand sur deux vote N-VA

Source: Trends-Tendances
jeudi 12 décembre 2013 à 11h09
Les entrepreneurs et CEO du nord du pays soutiennent massivement le parti de Bart De Wever. Ils ont par contre un jugement sévère sur le gouvernement Di Rupo.
Le patronat flamand est majoritairement sur la même longueur d’onde que la N-VA. C’est ce qui ressort d’une enquête exclusive réalisée par nos confrères flamands de Trends auprès de 595 entrepreneurs et CEO. Cet échantillon est composé de 31 % d’entrepreneurs à la tête d’une société unipersonnelle, de 49 % de patrons de TPE (moins de 10 employés) et de 18 % de patrons de PME (moins de 100 employés).
Interrogés sur leurs préférences s’ils votaient demain dans le cadre d’élections fédérales, ces patrons se prononcent massivement en faveur du parti nationaliste de Bart De Wever. La N-VA recueille 51,4 % de leurs suffrages. Vient ensuite l’Open Vld (22,7 %), puis le CD&V (8,2 %). Les autres partis récoltent les miettes. L’enquête de Trends confirme peu ou prou un sondage réalisé en novembre par le Syndicat national des indépendants (SNI) auprès de 542 entrepreneurs flamands, dont les intentions de vote étaient les suivantes : 53 % pour la N-VA, 19 % pour l’Open Vld et 11 % pour le CD&V.

De Wever Premier ministre

Les patrons et entrepreneurs flamands plébiscitent également Bart De Wever. Ils sont 39,5 % à inviter le leader de la N-VA à occuper le poste de Premier ministre au sein du prochain gouvernement fédéral. Kris Peeters (CD&V) est deuxième avec 21,2 %, Alexander De Croo (Open Vld) troisième avec 8,2 %.
L’aversion des patrons flamands pour le gouvernement Di Rupo se confirme avec la note, en dessous de la moyenne, réservée à l’exécutif fédéral : 3,7/10. Le Premier ministre récolte exactement la même appréciation. Le gouvernement flamand de Kris Peeters s’en tire un peu mieux avec une cote de 5,7/10 (5,9 pour le ministre-président lui-même).
Interrogé par nos confrères de Trends, le patron de l’Unizo (Union des entrepreneurs flamands) Karel Van Eetvelt n’est pas étonné par les piètres résultats de l’équipe Di Rupo auprès de ses affiliés : «Ils comprennent que le gouvernement doit assainir les finances publiques de manière urgente, mais ce dernier a pris des mesures qui portent durement préjudice aux entrepreneurs et aux entreprises. Les mesures anti-fraude étaient clairement une attaque à l’encontre des entrepreneurs. Les hausses d’impôts comme les bonis de liquidation et le précompte mobilier ont surtout touché les entrepreneurs. N’oubliez pas non plus que la pression fiscale a augmenté sous le gouvernement Di Rupo», commente le patron de l’Unizo.
GILLES QUOISTIAUX

lundi 2 décembre 2013

Racisme et xénophobie des flamands.

La moitié des Flamands n'aiment pas les immigrés

mardi 26 novembre 2013 à 10h42
Selon une étude réalisée par le Moniteur flamand de Migration et d’Intégration et révélée par le quotidien De Morgen, près de la moitié des Flamands désirent côtoyer le moins possible de personnes d’origine étrangère malgré le fait que seule une minorité de répondants les fréquente régulièrement.
© Belga
Le service d’étude du gouvernement flamand a interrogé des Flamands âgés de 18 à 85 ans sur la composition de leur quartier idéal. Quarante-cinq pour cent ont répondu vouloir vivre dans un quartier habité seulement de personnes d’origine belge. Trente-huit pour cent préfèrent un quartier peuplé de "plus de personnes d’origine belge qu’étrangère".
Menace
47 pour cent des participants estiment que les immigrés "viennent profiter de notre sécurité sociale". Pour ce qui est des musulmans, 40 pour cent déclarent qu’ils "représentent une menace pour notre culture et nos usages". Cependant, la moitié des Flamands considèrent la présence de différentes cultures comme un enrichissement pour la société.
Plus de la moitié des Flamands (51%) n’ont jamais de contact avec les personnes d’origine étrangère de leur quartier. Moins de trois Flamands sur dix indiquent bavarder avec des personnes d’origine étrangère au moins une fois par mois.
"On n’aime que ce qu’on connaît" déclare Jozef De Witte, le directeur du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre le racisme. Il impute l’origine du problème à l’échec de la politique de migration et d’intégration. "Au lieu d’accepter l’immigration et de l’encadrer, les Flamands se trouvent toujours dans une phase de déni. Nous nous trouvons supérieurs alors que nous n’avons jamais eu si peur de sombrer". 

jeudi 28 novembre 2013

Nous sommes francophones et déterminés à le rester.

Leeuw-Saint-Pierre est une commune de la périphérie bruxelloise et constitue une entité administrative qui porte le nom officiel de Sint-Pieters-Leeuw .
Le statut unilingue - sans aucune facilité - implique que, de par la Loi, tous les habitants de la commune sont considérés comme Flamands et impose à tous l'usage exclusif de cette langue dans toutes les matières officielles.
Parce que la réalité est différente de la vérité officielle de nombreux habitants francophones se sont organisés pour démontrer qu'ils existent. Ce site est l'expression de la volonté de ceux qui affirment:
"Nous sommes francophones et déterminés à le rester."

mercredi 20 novembre 2013

Hypocrisie flamingante. Dictature flamingante.

"L'Open VLD a un message flamand extrêmement dur emballé dans un pseudo fédéralisme unioniste"

Céline Bouckaert
Source: De Morgen
mercredi 20 novembre 2013 à 11h03
Le politologue Nicolas Bouteca (Université de Gand) estime que l’Open VLD ne diffère pas de la N-VA en prônant un fédéralisme basé sur le principe de majorité qui démantèlerait les mécanismes destinés à protéger les francophones contre la majorité flamande numérique.
Maggie De Block, Bart Somers, Gwendolyn Rutten et Patrick Dewael (Open VLD) © Belga
Selon Bouteca, l’Open VLD fait de son mieux pour se distinguer des nationalistes flamands tout en disant essentiellement la même chose. Ce week-end, le parti présentera sa "déclaration d’avenir" qui opte pour un fédéralisme de coopération entre les régions dans le respect de la diversité de celles-ci.
Si ce point de vue s’oppose effectivement à la N-VA qui aspire au confédéralisme, Nicolas Bouteca estime que "l’étape suivante de la logique des libéraux flamands fait fondre la distinction avec les nationalistes de la N-VA comme neige au soleil puisque l’Open VLD aspire à un fédéralisme basé sur le principe de majorité (résolution 84) qui démantèlerait les mécanismes destinés à protéger les francophones contre la majorité flamande numérique. Cette exigence aligne le point de vue libéral communautaire sur les souhaits de la N-VA".
Ce démantèlement signifierait la fin de la "constitution de verrouillage" (grendelgrondwet) instaurée en 1970 pour empêcher les néerlandophones de prendre des mesures contestées par les francophones. Le politologue de l’Université de Gand souligne le caractère étonnant du souhait de l’Open VLD de révoquer cette "constitution de verrouillage". D’après lui, cette mesure exige une réforme de l’état poussée entraînant de longues négociations à laquelle le parti déclare s’opposer et, plus fondamentalement, "signifierait la fin de la Belgique fédérale que le parti prétend défendre".
"L’Open VLD peut donc difficilement être considéré comme une alternative au ‘séparatisme édulcorée’ de la N-VA. Au contraire, c’est un message flamand extrêmement dur emballé dans un pseudo fédéralisme unioniste" conclut-il.
Le parlementaire et bourgmestre de Malines Bart Somers (Open VLD) conteste la vision de Bouteca : "Nous nous focalisons bel et bien sur la réforme économique et ne souhaitons pas de septième réforme de l’état à court terme". Il ajoute cependant qu’une révision de la "constitution de verrouillage" pourrait avoir lieu dans un avenir plus lointain : "il faut y réfléchir à long terme". Selon lui, les francophones n’ont rien à craindre : "Nous ne souhaitons pas éliminer toutes les protections pour les francophones. Nous embrassons le fédéralisme".

samedi 16 novembre 2013

Mémoire flamingante de 14-18 rejetée par les anglais.


La très flamingante B. Grouwels.


Le plan de De Wever après l'essai allemand en 14-18 .....







Comment les flamands ont kidnappé l'économie belge.










N-VA: les trois dossiers qui fâchent.


Merci Bart et N-VA: les mots pour le dire.



Un confédéralisme..... de droite.


Le bleu "trop foncé" de B. Grouwels.



Double risque pour la N-VA.





Les parlers de chez nous ....


Minorité francophone en Flandre. Qu'osera dire l'Europe en 2016 ?


Hypocrisie de Peumans.