mercredi 8 mai 2013

Comment exclure et rejeter ce qui n'est pas flamingant !


Le décret flamand Wonen in eigen streek  recalé par la Cour de Justice européenne.      Péripherie Info 8 mai 2013


Ce décret " Habiter dans sa propre région".  adopté en 2009, visait notamment à reserver les logements, tant à l'achat qu'à la location, dans certains quartiers à des candidats qui pouvaient prouver un "lien suffisant" avec la commune concernée. Discriminatoire dit aujourd'hui la Cour.
Les francophones y voyaient une entrave qui leur était spécifiquement destinée. ils ont donc obtenu gain de cause.
La ministre flamande du Logement Freya Van den Bosschea déjà réagit déclarant ne pas vouloir retirer le
décret . Elle proposera au gouvernement flamand de préciser l'objectif social du dispositif en s'appuyant sur l'arrêt rendu.

Distribution : vers l'instauration progressive d'un tarif unique                        De Tijd 3 Mai 2013

Les gestionnaires du réseau de distribution - les intercommunales - pratiquent diffférents tarifs, et c'est pourquoi les factures énergétiques de deux familles identiques ayant la même consommation et le même fournisseur peuvent malgré tout varier d'un montant qui peut aller jusqu'à 260 euros. Ces différences sont d'origine historique et géographique : construire et entretenir un réseau dans une grande ville comptant des centaines de milliers d'utilisateurs sur une superficie réduite est bien moins coûteux que le faire dans une zone peu peuplée et éloignée, où une canalisation de plusieurs kilomètres ne dessert qu'une poignée de clients.  Le gouvernement flamand veillera à ce que les coûts des diverses taxes incluses dans la facture énergétique, depuis les subsides aux panneaux solaires jusqu'aux mesures sociales en passant par les primes à l'isolation, soient harmonisés. Une prochaine étape consisterait ensuite à établir un tarif unifié pour toute la Flandre, mais c'est une perspective qui rebute (surtout) Infrax, dont les tarifs sont actuellement moins élevés que ceux d'Eandis.
La date exacte de l'introduction d'un tarif unifié dépend du timing de la réforme de l'Etat, qui donnera à la Flandre l'entière compétence pour cette matière. Vanden Bossche vise le 1er janvier 2016. Les tarifs de distribution actuels viennent à échéance fin 2014, ce qui signifie qu'ils devront rester gelés une année supplémentaire.

lundi 6 mai 2013

Le très flamingant Ben Weyts a peur du référendum !!!!! Explication confuse entre élections et référendum !


Ben Weyts: 'Wie bang is van verandering, moet bang zijn'


vrijdag 03 mei 2013 om 09u09
Ben Weyts, ondervoorzitter van N-VA, ziet geen reden om bang te zijn van hem en zijn N-VA: 'Je moet bang zijn als je bang bent voor verandering. Sommige partijen zijn bang omdat ze de macht dreigen te verliezen.'

Ben Weyts (N-VA) © Belga

Ben Weyts, de nummer twee van de N-VA, legt in een interview met zusterblad Le Vif/L’Express zijn nationalistische project voor 2014 uit. Hij is verontwaardigd over de aanvallen van de traditionele partijen en ziet niet waarom het onmisbaar karakter van zijn partij in vraag wordt gesteld. Ben Weyts wordt voorgesteld als potentiële opvolger van voorzitter Bart De Wever aan het hoofd van de N-VA na de verkiezingen van 2014. Interview zonder taboes. 'De winnaar van de verkiezingen heeft het initiatief, punt!'

Iedereen wacht op uw positie inzake de zeer belangrijke multi-stemming van 2014… Is dit het moment van waarheid voor uw partij?

Ben Weyts: "Het is evident dat de campagne zeer moeilijk zal zijn. Ik heb de indruk dat de traditionele partijen beseffen dat ze zich in een ingewikkelde positie bevinden. Cijfermatig aanvaarden ze hun verliezen maar ze proberen vooral een nieuwe vooruitgang van de N-VA te vermijden door de bevolking schrik aan te jagen. Op basis van onwaarheden en zelfs leugens."

Zelfs de CD&V neemt afstand van jullie…

Ben Weyts: "Ik stel vast dat verschillende partijen meedoen met het systeem dat ons wil demoniseren, ja. We bereiden ons concreet voor op de belangrijkste inzet van deze verkiezing: het confederalisme. Een notie die we trouwens in het programma van CD&V en Open VLD terugvinden. Als de verkiezingen zoals ze voorgesteld worden een sleutelmoment zijn om je programma te realiseren, hopen we dat we niet de enigen zijn die dat verdedigen."

Wat betekent dat concreet?

Ben Weyts: "Voor ons heeft confederalisme dezelfde definitie als bij CD&V en Open VLD: de Franstaligen en de Vlamingen moeten hun eigen problemen oplossen met hun eigen oplossingen en hun eigen verantwoordelijkheden. Dat is de logica.

Met andere woorden: communautaire regeringen maar geen federale regering meer?

Ben Weyts: "Maar nee ! Anders spreken we van onafhankelijkheid. Confederalisme betekent dat je verantwoordelijk bent voor je eigen bevoegdheden. We zullen de bevoegdheden die we nog samen willen uitoefenen in overleg bepalen. Niet omdat we verplicht zijn om mee te werken, zoals het vandaag het geval is, maar omdat we dat willen."

Een onbeschreven blad?

Ben Weyts: "Ja, een onbeschreven blad. Door de efficiëntie voor onze gemeenschappen en de wil om samen te werken voorop te zetten. Dat is samen werken! In het kader van ons congres van volgend jaar willen we de bevoegdheden bepalen die volgens ons moeten overgeheveld worden aan de federale entiteiten en welke op confederaal niveau moet blijven. En welke concrete politieke veranderingen we zouden kunnen invoeren."

Blijft de kwestie Brussel, altijd al een knoop voor de Vlaamse Beweging.

Ben Weyts: "Het is niet omdat een probleem moeilijk is dat je het niet moet proberen oplossen. Vandaag wordt er gedacht dat confederalisme ingewikkeld is! Brussel, Europa, dat zal niet gaan, hoor je… Wij zijn van mening dat hindernissen opgeheven kunnen worden als je dat wilt.

Politiek wordt dit moeilijk voor u. Geert Bourgeois heeft gezegd: 'N-VA moet onmisbaar zijn'.

Ben Weyts: "Ik ga ervan uit dat wanneer je de verkiezingen wint, je in een democratie de facto onmisbaar wordt en je het initiatief hebt, toch? In een normaal land zou dat zo moeten zijn. Ik hoop dat dat het geval zou zijn.

Er is dus geen reden om bang te zijn van u? 

Ben Weyts: "Absoluut niet ! Je moet bang zijn als je bang bent voor verandering. Sommige partijen zijn bang omdat ze de macht dreigen te verliezen.

Wat denkt u over het idee van een referendum over de onafhankelijkheid van Vlaanderen?

Ben Weyts: "Referenda, dat zijn verkiezingen. Bij ons willen sommigen een referendum organiseren wanneer ze een probleem hebben met het resultaat van de verkiezingen. Dat is niet coherent."




Ben Weyts (N-VA) : "Si vous avez peur du changement, vous devez avoir peur"

vendredi 03 mai 2013 à 06h46
Le numéro deux de la N-VA explique le projet nationaliste pour 2014. Il s’indigne des attaques des partis traditionnels. Et ne voit pas pourquoi on remet en question le caractère incontournable de son parti. "Le vainqueur des élections a l’initiative, point !"
Le député N-VA Ben Weyts. © Image Globe
Ben Weyts est présenté comme le successeur potentiel de Bart De Wever à la tête de la N-VA après les élections de 2014. Interview sans tabous.
Le Vif/L’Express : Tout le monde attend votre positionnement pour le multi-scrutin très important de 2014... Est-ce le moment de vérité pour votre parti ?
Il est évident que cette campagne sera très difficile. J’ai l’impression que les partis traditionnels se rendent compte qu’ils sont dans une position compliquée, ils acceptent leurs pertes en termes comptables mais tentent surtout d’éviter une nouvelle progression de la N-VA en effrayant la population. Sur la base de contre-vérités voire de mensonges.
Même le CD&V prend ses distances avec vous...
Je constate que plusieurs partis participent à ce système qui vise à nous diaboliser, oui. Nous, nous préparons concrètement à ce qui sera l’enjeu principal de cette élection : le confédéralisme. Une notion que l’on retrouve d’ailleurs dans le programme du CD&V et de l’Open VLD. Si les élections sont, telles qu’on les présente, un moment-clé pour réaliser son programme, alors nous espérons que nous ne serons pas les seuls à défendre cela.
Concrètement, qu’est-ce que cela signifie ?
Pour nous, c’est la même définition que pour le CD&V et l’Open VLD : les francophones et les Flamands doivent pouvoir résoudre leurs propres problèmes avec leurs propres solutions et leurs propres responsabilités. C’est cela la logique.
En d’autres termes : des gouvernements communautaires mais plus de gouvernement fédéral ?
Mais non ! Sinon, c’est l’indépendance. Le confédéralisme, cela signifie que l’on est responsable pour ses propres compétences. Nous parlerons ensemble pour déterminer les compétences que nous sommes encore prêts à exercer ensemble. Pas parce que nous sommes contraints à collaborer, comme c’est le cas aujourd’hui, mais parce que nous le voulons.
Une page blanche ?
Oui, une page blanche. En considérant avant tout l’efficacité pour nos Communautés et la volonté de travailler ensemble. C’est cela collaborer ! Dans le cadre de notre congrès du début de l’année prochaine, nous voulons déterminer les compétences qui, selon nous, doivent être transférées aux entités fédérées et ce qui doit rester au niveau confédéral. Et quels changements de politique concrets nous pourrions apporter.
Il reste la question de Bruxelles, qui a toujours été un nœud pour le mouvement flamand.
Ce n’est pas parce qu’un problème est difficile qu’il ne faut pas essayer de le régler. Aujourd’hui, on considère que le confédéralisme, c’est compliqué ! Bruxelles, l’Europe, cela n’ira pas, dit-on... Nous considérons que ces obstacles peuvent être levés si on le veut.
Politiquement, ce sera difficile pour vous. Geert Bourgeois a dit : la N-VA doit être incontournable.
Je pars du principe que quand on gagne les élections, dans une démocratie, on devient de facto incontournables et on a l’initiative, non? Dans un pays normal, ce devrait être comme ça. J’espère que ce sera le cas.
Il n’y a donc pas de raison d’avoir peur de vous ?
Absolument pas ! Vous devez avoir peur si vous avez peur du changement. C’est le cas de certains partis parce qu’ils risquent de perdre du pouvoir.
Que pensez-vous de l’idée d’un référendum sur l’indépendance de la Flandre ?
Les référendums, ce sont les élections. Chez nous, certains veulent organiser un référendum quand ils ont un problème avec le résultat des élections. Ce n’est pas cohérent.