samedi 13 juillet 2013

Habituels mensonges et lamentations flamingante; le flamand éternelle victime des francophones !!!

Jan Jambon (N-VA): 'Voor Franstaligen kiezen zit blijkbaar in DNA van andere partijen'

zaterdag 13 juli 2013 om 09u25
Jan Jambon © Belga
N-VA-Kamerlid Jan Jambon haalt fors uit naar de federale regering, na het akkoord over de zesde staatshervorming. ‘Het zit blijkbaar in het DNA van de andere partijen om op cruciale momenten te kiezen voor de Franstaligen. En altijd op de kap van de werkende Vlaming.’

In een interview met De Standaard doet Jan Jambon zijn beklag over de zesde staatshervorming. Die deugt niet volgens hem. ‘Een staatshervorming op zich interesseert mij niet. Ik kijk naar de inhoud. Ik wil een goede staatshervorming.’

‘De vraag is: gaan we de dingen beter kunnen doen? En het antwoord is: neen. We mogen een deel van de pensioenen betalen, maar we mogen niets bepalen. Kunnen wij in Vlaanderen nu iets doen aan de loonkost? Aan de fiscale druk? Niets van dit alles. En bovendien wordt de factuur voor deze operatie nog eens naar Vlaanderen doorgeschoven,' zo zegt Jambon in de krant.

‘Dit is helemaal geen copernicaanse omwenteling. Maar we staan moederziel alleen met die houding. Gelukkig moeten wij in Vlaanderen niet de andere partijen overtuigen, maar de kiezers.’

Jambon haalt zwaar uit naar de federale regering. ‘Het zit blijkbaar in het DNA van de andere partijen om op cruciale momenten te kiezen voor de Franstaligen. En altijd op de kap van de werkende Vlaming. De dienstencheque, de firmawagen, het spaarboekje, de aandelenopties: alles is duurder geworden onder deze belastingregering.’

vendredi 12 juillet 2013

Les flamingants rêvent d'un état purement flamand et pour y arriver détruisent systématiquement la Belgique. Comme BHV est majoritairement et désespérément francophone et que les flamingants veulent mettre la main sur Bruxelles, son prestige et son argent ils n'osent pas déclarer unilatéralement l'indépendance de la Flandre parce que Bruxelles ne veut ni une tutelle flamande et encore moins une dictature flamingante. Et ce qu'il ne peuvent s'approprier, ils le détruisent petit à petit ! Vider Bruxelles de ses richesses a déjà commencé.

Ceci n'est pas la dernière réforme de l'Etat !


jeudi 11 juillet 2013 à 09h27
A peine conclu l’accord historique au sujet des textes de la réforme de l’Etat, la N-VA réclame déjà une nouvelle révolution. Le nouveau fédéralisme de coopération à la belge, expliquent des experts, ne réussira qu’à certaines conditions. Ils n’excluent pas un recours, ensuite, à l’article 35 de la Constitution.

© Image Globe
Elio Di Rupo n’a que des superlatifs à la bouche pour saluer la sixième réforme de l’Etat, dont les textes ont été finalisés mardi soir. C’est « la plus grande réforme de l’histoire de notre pays », insiste le Premier ministre, elle le « stabilise » et elle le rend « optimiste pour l’avenir du pays ». Désormais, en Belgique, tout est possible y compris la conclusion d’une série d’accords majeurs et la gestion de virages historiques en moins de dix jours : contrôle budgétaire 2013, grandes lignes du budget 2014, répartition de l’effort entre fédéral et entités fédérées, compromis sur le statut ouvriers/employés, abdication du roi et maintenant réforme de l’Etat avec son nœud de la loi de financement. Ouf : voilà un bilan au départ duquel les partis de la majorité comptent bien convaincre l’électeur pour 2014.
Bart De Wever, leader de la N-VA et chantre de l’opposition, n’est évidemment pas sur la même longueur d’onde. Il en a « marre », dit-il, des longues négociations institutionnelles dont « on sort tondu ». « Les francophones ne sont demandeurs de rien et finissent à la longue avec un accord qui vous met à genoux ». Selon lui, il faut négocier sur base de l’article 35 « afin de déterminer ce que nous voulons encore faire ensemble », Flamands et francophones. « Construisons quelque chose qui peut-être fonctionne au lieu de gaspiller sans fin du temps, de l’énergie et de l’argent pour réformer le bric-à-brac de l’Etat ».
C’est dans ce contexte que les facultés universitaires Saint-Louis et la VUB sortent fort opportunément deux ouvrages (1) qui analysent les contraintes européennes qui pèsent sur la réforme de l’Etat et, surtout, les évolutions nécessaires pour que le « fédéralisme coopératif » à la belge fonctionne.
Le constat des auteurs ? Face aux risques de blocages générés par ces nouvelles délégations de compétences, un organe méconnu va être appelé à prendre de plus en plus de place : le Comité de concertation qui réunit le gouvernement fédéral et les entités fédérées. A terme, celui-ci pourrait devenir plus important même… que le Conseil des ministres fédéral . Il sera appelé à déminer les nombreuses bombes à retardement sous forme de conflits de compétences et à forcer des accords de coopération quand c’est nécessaire.
En outre, cette sixième réforme de l’Etat risque bien de ne pas être la dernière tant les appels d’air seront nombreux. Il y aura encore des glissements de compétences, prédisent-ils. Et une évolution à terme vers l’article 35 de la Constitution est loin d’être exclue, ce pourrait être la « prochaine étape ».
Le rôle croissant du Comité de concertation. « Le grand public ne connaît pas du tout le Comité de concertation, souligne Emmanuel Vandenbossche, professeur à la VUB et expert auprès du Comité de mise en œuvre de la réforme de l’Etat (Comori). On se dit sans doute qu’il s’agit de quelque chose d’informel, que le Premier ministre téléphone quand il le faut aux ministres-présidents, mais non, c’est bien une institution bien organisée. » Avant, souligne-t-il, elle n’avait pas grand-chose à se mettre sous la dent, quelques conflits d’intérêts de temps à autre : si une Communauté ou une Région s’estime lésée par la décision d’une autre entité, elle peut s’en référer au Comité. Mais l’agenda est de plus en plus fourni, précise-t-il. « De nombreux projets de loi y transitent, tous les accords de coopération, les stratégies budgétaires pour déterminer qui paye quoi ou encore toutes les transpositions des directives européennes. » C’est le lieu où se font aussi les comptes rendus des conférences interministérielles qui réunissent les ministres responsables pour les compétences divisées entre différents niveaux de pouvoir. « Avec la nouvelle réforme de l’Etat viendra la nécessité d’une structure élargie qui suivra tout cela en permanence et imposera des accords de coopération, insiste-t-il. Ce sera une institution interfédérale où fédéral, Régions et Communautés sont représentées sur pied d’égalité. A terme, son rôle sera plus important que celui du Conseil des ministres. » Ce sera l’essence même du « fédéralisme de coopération ».
Les contraintes européennes incitent aussi à collaborer. « Oui, il y a une ingérence de l’Union européenne dans la façon dont la Belgique gère ses compétences, souligne Sébastien Van Drooghenbroeck, des facultés universitaires Saint-Louis. C’est un phénomène émergent, il y aura encore beaucoup d’interférences par la suite. » Il signe à titre d’exemple les décrets flamands sur l’assurance-dépendance pour les personnes âgées ou le « Women in eigen streek », tous deux mis à mal par la Cour européenne de justice parce qu’ils vont à l’encontre de la libre circulation des personnes. « La Cour européenne est aveugle sur la répartition des compétences entre le fédéral, les Régions et les Communautés, dit-il. Ce qui lui importe, c’est le respect des traités et des directives européennes. » Là aussi, le rôle du Comité de concertation aura un rôle croissant à jouer avec la nouvelle réforme de l’Etat. De même que la Cour constitutionnelle sera sans doute appelée plus encore qu’aujourd’hui à inciter les différentes parties du pays à collaborer. « Il faut, par exemple, se rendre compte que les contraintes européennes sont réelles en matière de fiscalité. »
L’article 35 de la Constitution ? Une possibilité, mais… une bombe aussi. Le risque est grand, souligne Hugues Dumont des facultés Saint-Louis, que le nouveau système mis en place par la sixième réforme de l’Etat génère des blocages. Nous sommes dans un « fédéralisme de la méfiance » : de nombreux mécanismes sont « verrouillés » par des lois spéciales, les recours à des instances juridiques sont de plus en plus nombreux, la complexité du système rend les processus de décision épineux. C’est précisément l’un des argumentaires de la N-VA qui veut tout simplifier via l’article 35 de la Constitution.
« Quand on parle de l’article 35 de la Constitution, on pense tout de suite au confédéralisme, mais ce n’est a priori pas le cas, insiste Emmanuel Vandenbossche. L’article 1 de la Constitution rappelle que la Belgique est un Etat fédéral. Oui, l’article 35 pourrait être la prochaine étape, cela pourrait rendre des choix plus clairs, mais cela ne résoudra rien malgré tout car il n’y a pas de hiérarchie des normes dans notre pays, que l’Etat fédéral serait quand même amené à intervenir dans certains domaines. » Bref, la coopération belgo-belge serait quand même indispensable ! « On fétichise cet article 35 », estime Sébastien Van Drooghenbroeck. Mais on pourrait arriver à la même chose sans passer par là, à force de transférer des compétences aux entités fédérées. » « Si l’article 35 est pris dans un sens destructeur, avec la volonté de laisser le minimum minimorum au niveau fédéral, c’est tout de même une bombe à retardement », estime Hugues Dumont.
Le vrai danger : il est budgétaire. « Ce n’est pas tellement l’article 35 qui est un danger pour l’avenir du pays, conclut Emmanuel Vandenbossche. La véritable bombe, c’est la santé budgétaire du fédéral qui pourrait se retrouver, à terme, incapable de faire face à certaines dépenses. La charge des pensions des fonctionnaires, par exemple. »Surtout dans un contexte où les Régions et Communautés disposeront d’une masse budgétaire plus importante que le fédéral et de la capacité à lever l’impôt…
La sixième réforme de l’Etat incitera les entités belges à coopérer davantage, oui. Encore faut-il qu’elles en aient la volonté politique. Quant à la stabilité de l’Etat, visiblement, elle est loin d’être garantie.
(1) « Contraintes européennes et réformes de l’Etat », Emmanuel Vandenbossche, Sébastien Van Drooghenbroeck (éds), éd. La Charte, 424 pp.
« Evolutions dans le fédéralisme coopératif belge », Emmanuel Vandenbossche (ed.), éd. La Charte, 154 pp.

jeudi 11 juillet 2013

Que ces flamingants dégagent sans prendre le grand BHV et bon débarras.

La Flandre, « région autonome reconnue internationalement »

Source: Belga
jeudi 11 juillet 2013 à 13h46
La Flandre, une région autonome reconnue à l'échelon international. Tel est l'un des messages que le président du parlement flamand, Jan Peumans (N-VA), a lancés jeudi à l'occasion de la fête de la Communauté flamande. Le nationaliste flamand s'est en revanche montré peu bavard à propos de la 6e réforme de l'Etat que son parti combat.
Jan Peumans © Belga
La Flandre, une région autonome reconnue à l'échelon international. A l'appui de sa thèse, Jan Peumans a invoqué la jurisprudence récente de la Cour de justice européenne qui, dit-il, a reconnu l'autonomie constitutionnelle des régions en les traitant comme des Etats membres.

"Non seulement l'Union européenne mais aussi les Etats pris individuellement reconnaissent le parlement flamand comme une assemblée autonome et la Flandre comme une région autonome", a-t-il expliqué, en faisant référence aux nombreuses délégations parlementaires, ministres et ambassadeurs étrangers qu'il a reçus au cours de la législature.

Pour M. Peumans, la Flandre ne doit toutefois pas s'arrêter en chemin. "Certaines autres régions jouissent de compétences que force nous est de leur envier", a-t-il souligné.

Le président a cité la république serbe de Bosnie, le Pays basque ou les Länder allemands, compétents l'une pour la police et les services de secours, l'autre pour lever les impôts et déterminer sa contribution à l'Etat fédéral, les troisièmes pour la justice.

"Malgré le transfert de compétences qui résultera de la 6e réforme de l'Etat, bien des compétences continueront de dépendre du fédéral alors que d'autres régions ont démontré dans la pratique qu'elles étaient parfaitement capables de fonctionner en toute autonomie à leur niveau".

Une 6e réforme de l'Etat qui transférera des compétences vers la Flandre sans l'ensemble des moyens qui leur correspondent, a constaté M. Peumans avant d'appeler à la création d'une Commission de suivi des réformes au sein de l'assemblée flamande.

"Pour le prochain gouvernement flamand, gérer efficacement ces nouvelles compétences (...) pour répondre aux attentes de la Flandre et des Flamands sera tout un défi. Le défi sera d'autant plus grand que les moyens financiers nécessaires pour exercer ces compétences comme il se doit ne seront pas transférés à 100 pc".

Si la Flandre jouit d'une reconnaissance internationale, il n'en va pas toujours de même en Belgique, a regretté le président du parlement qui s'en est pris à la ministre de l'Intérieur, Joëlle Milquet. M. Peumans a évoqué l'éternelle querelle autour de l'envoi des convocations électorales dans les communes à facilités de la périphérie bruxelloise.
Hommage à l'implication du Roi Albert 
La Constitution ne subordonne pas le parlement flamand au parlement fédéral, a-t-il rappelé. "Pourtant, nous trouvons encore au niveau fédéral des élus politiques qui l'ignorent. L'année dernière encore, le ministre fédéral de l'Intérieur déclarait que les lois linguistiques fédérales avaient préséance sur la circulaire flamande Peeters en ce qui concerne l'interprétation de la législation linguistique dans les communes à facilités de la périphérie".

M. Peumans a entamé son discours en rendant hommage à l'implication du Roi Albert dans les drames qu'a traversés la société belge, qu'il s'agisse de l'affaire Dutroux ou de l'accident de Sierre. Il a aussi évoqué le rôle politique du souverain des Belges.

"Le Roi a vu la Belgique poursuivre son évolution vers une autonomie accrue des entités fédérées et accepté la réalité institutionnelle de ce pays. La mission difficile d'un règne moderne adapté au rôle d'un chef d'Etat du XXIe siècle attend son successeur".

mardi 9 juillet 2013

Les vieux démons se réveillent une fois de plus. Pas de dictature flamingante sur BHV à large majorité francophone.

Quand le gouvernement flamand prépare un 11 juillet teinté de séparatisme

Céline Bouckaert
Source: De Morgen
lundi 08 juillet 2013 à 10h36
À quelques jours du 11 juillet, fête de la Communauté flamande, le gouvernement flamand recommande une liste d’orateurs possibles dans le cadre des festivités. La liste mentionne le nom de Wim De Wit, le président de la Veillée de l’Yser qui chaque année demande la scission de la Belgique. C’est ce que révèle le quotidien De Morgen.

© Belga
Sur son site officiel, le gouvernement flamand promeut les festivités organisées pour le 11 juillet. Sous l’annonce, l’internaute peut cliquer sur un lien vers Vlaanderen Feest !, un site web consacré aux festivités du 11 juillet comportant une liste d’orateurs susceptibles de prononcer un discours. Alors que selon les organisateurs, il s’agit de "représentants de différentes organisations de la société civile", la liste recense certaines personnes ultranationalistes et séparatistes.
Le nom de Wim De Wit étonne quand on sait qu’il est président de la Veillée de Yser, un mouvement de dissidence provenant du Pèlerinage de l’Yser et fraternisant avec des organisations d’extrême droite telle que Voorpost. De Wit est un partisan féroce de l’indépendance flamande et appelle régulièrement à la scission de la Belgique.
Erik Stoffelen, le président de l’Union générale de la chanson néerlandaise, figure également sur la liste. L’année passée, il a conclu son discours annuel par la formule "Amis wallons, séparons-nous dans l’intérêt de chacun". Kurt Moons enfin, est président de pro Flandria, un réseau d’entrepreneurs et d’académiciens engagés pour une Flandre indépendante.
La fête de la Communauté flamande est organisée et subsidiée par le gouvernement flamand et soutenue financièrement par des entreprises nationales telles que la Loterie Nationale et Electrabel. La porte-parole d’Electrabel, Sarah De Bruyn, a déclaré au Morgen que "l’entreprise est très étonnée que ces noms soient mentionnés". Elle ajoute que pour Electrabel, le 11 juillet est "une initiative destinée à unir les gens, pas à prôner le séparatisme".
Les festivités organisées autour de 11 juillet tombent sous la compétence du ministre-président flamand Kris Peeters (CD&V). Ce dernier n’a pas encore réagi. 

La N-VA veut un contrôle du chef du Cabinet du Roi.

Que ces flamingants restent dans l'ombre et ne contaminent pas le roi et son entourage avec leurs complexes, frustrations et débilités.

Wait and see.