Francophones de Bruxelles et de sa périphérie, nous attirons votre attention sur les agissements "anti-francophones" des politiciens et extrémistes du Nord. Ne soyons plus les victimes de leur duplicité !
vendredi 4 octobre 2013
mardi 1 octobre 2013
Bourgeois se fera passer comme victime, selon les vieilles habitudes flamandes.
Bourgmestre non-nommée à Crainhem: Geert Bourgeois condamné à payer 40.000 euros
Source: Belga
mardi 01 octobre 2013 à 07h40
mardi 01 octobre 2013 à 07h40
Le ministre flamand des Affaires intérieures Geert Bourgeois (N-VA) a été condamné lundi par le tribunal de première instance de Bruxelles à payer 40.000 euros de dommages et intérêts matériels et moraux à la bourgmestre non-nommée de Crainhem Véronique Caprasse (FDF). Le ministre a indiqué qu'il allait interjeter appel de cette décision.
Geert Bourgeois (N-VA). © Image Globe
Véronique Caprasse n'a pas été nommée par le ministre, ayant fait savoir à ce dernier qu'elle n'était pas disposée à se conformer à l'interprétation flamande des lois linguistiques.
La FDF a saisi le tribunal civil afin d'exiger un dédommagement de 35.000 euros - la différence entre son salaire de premier échevin et celui qu'elle aurait empoché si elle avait été nommée bourgmestre - ainsi que 10.000 euros de dommages moraux.
Le tribunal a suivi Véronique Caprasse pour le dédommagement de 35.000 euros mais a revu les dommages moraux à la baisse, à 5.000 euros. Selon le juge, le ministre avait pour seul but de contrôler si Caprasse se plierait à l'interprétation de la Région flamande, dans ses circulaires, des lois linguistiques fédérales et y a ainsi trouvé un prétexte pour ne pas la nommer. Véronique Caprasse a dès lors été "discriminée".
Le juge a estimé abusives les motivations pour ne pas nommer Véronique Caprasse. Le tribunal a ajouté que la région n'était pas compétente pour interpréter les lois linguistiques.
Le ministre a indiqué qu'il allait interjeter appel de cette décision, jusqu'à la Cour de cassation.
La FDF a saisi le tribunal civil afin d'exiger un dédommagement de 35.000 euros - la différence entre son salaire de premier échevin et celui qu'elle aurait empoché si elle avait été nommée bourgmestre - ainsi que 10.000 euros de dommages moraux.
Le tribunal a suivi Véronique Caprasse pour le dédommagement de 35.000 euros mais a revu les dommages moraux à la baisse, à 5.000 euros. Selon le juge, le ministre avait pour seul but de contrôler si Caprasse se plierait à l'interprétation de la Région flamande, dans ses circulaires, des lois linguistiques fédérales et y a ainsi trouvé un prétexte pour ne pas la nommer. Véronique Caprasse a dès lors été "discriminée".
Le juge a estimé abusives les motivations pour ne pas nommer Véronique Caprasse. Le tribunal a ajouté que la région n'était pas compétente pour interpréter les lois linguistiques.
Le ministre a indiqué qu'il allait interjeter appel de cette décision, jusqu'à la Cour de cassation.
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